Traduction : SOTT

La comète ISON le 15 novembre 2013. Le champ de vision est de 2,5°, cinq fois la largeur de la pleine lune.
© Damian PeachLa comète ISON le 15 novembre 2013. Le champ de vision est de 2,5°, cinq fois la largeur de la pleine lune.

Commentaire : Note des Éditeurs

Cet article se base sur un extrait d'un livre à paraître, aux éditions Red Pill Press, qui s'appuie sur le concept d'« Univers Électrique », la théorie de l'information, l'astronomie, la paléogéologie - et bien davantage - pour présenter une cosmologie étendue reliant le soi-disant « changement climatique » et les « bouleversements terrestres » avec le rôle de l'humanité au sein du plus grand environnement cosmique.

L'article qui suit, écrit par Pierre Lescaudron, rédacteur et chercheur pour SOTT.net, offre une explication au comportement « bizarre » et « inattendu » de la comète ISON jusqu'à ce jour, particulièrement au sujet de sa survie imprévue lors de sa rencontre avec le Soleil le 28 novembre 2013.


Comètes ou astéroïdes ?

Classification des comètes, astéroïdes, météores et météorites – selon la science conventionnelle.
© NarwhallClassification des comètes, astéroïdes, météores et météorites – selon la science conventionnelle.
Comme le décrit l'illustration ci-dessus et comme l'avance systématiquement la science conventionnelle, les comètes sont de « gros morceaux de glace et de roche », c'est-à-dire « des boules de neige sales ». Cependant, cette croyance est incompatible avec les données réelles. Par exemple, en 2011, la comète Lovejoy a plongé dans l'atmosphère solaire et émergé de l'autre côté après un voyage d'une heure à travers la couronne solaire. Sa taille et sa brillance n'ont pas semblé avoir diminué[1]. Voici quelques commentaires (assez typiques) d'observateurs de cet événement :
Ce matin, une armada d'engins spatiaux ont été témoins d'un événement que beaucoup d'experts pensaient impossible. La comète Lovejoy a traversé l'atmosphère chaude du Soleil et en est ressortie intacte. « C'est absolument stupéfiant, » déclare Karl Battams du laboratoire de recherche navale de Washington DC. « Je ne pensais pas que le noyau glacé de la comète était assez gros pour survivre à un plongeon dans les plusieurs millions de degrés de la couronne solaire pendant près d'une heure, mais la comète Lovejoy est encore parmi nous. »
Mais si la température de la couronne solaire fait plusieurs million de degrés[2] et si la comète Lovejoy n'est rien de plus qu'un gros morceau de glace de seulement quelques centaines de mètres de diamètre selon les estimations, comment est-il possible qu'elle ne se soit pas vaporisée ?

La comète Lovejoy réapparaissant derrière le Soleil le 15 décembre 2011.
© NASA/SDOLa comète Lovejoy réapparaissant derrière le Soleil le 15 décembre 2011.
Dans la même veine, en 2004, la sonde spatiale de la NASA, Stardust, passa à environ trois cents kilomètres de la comète Wild 2 et en prit des photos détaillées. D'après les manuels, ces images de la comète auraient dû révéler une masse de « neige sale ». Voici ce que le directeur du programme Stardust a déclaré à la réception des photographies :
« Nous pensions que la comète Wild 2 serait comme une boule cotonneuse de neige sale, noire » a déclaré l'investigateur principal de Stardust, le Dr. Donald Brownlee de l'université de Washington à Seattle. « Au lieu de cela, ce fut stupéfiant de voir un paysage varié dans les premières images de Stardust, dont des crêtes, des trous et des cratères qui doivent être supportés par une surface cohésive. »
Donc, les comètes ne sont finalement pas des « boules de neige sales ». D'après toutes les données disponibles, ce sont en substance de gros morceaux de roche, tout comme les astéroïdes. En fait, il a été reconnu récemment que la différence entre « comètes » et « astéroïdes » pourrait ne pas être aussi tranchée, bien que les efforts pour combler les lacunes incluent des suggestions que les astéroïdes sont des comètes qui se retirent vers la ceinture d'astéroïdes en tant que « comètes rocheuses éteintes », et d'où elles peuvent être « rallumées ». Au final, la différence ne tient pas tant à la composition chimique ou structurelle, c'est-à-dire des comètes gelées sales et cotonneuses par opposition à des astéroïdes rocheux. Mais plutôt, comme les théoriciens du plasma le suggèrent depuis longtemps, ce qui différencie les « comètes » des « astéroïdes », c'est leur activité électrique.

Quand la différence de potentiel électrique entre un astéroïde et le plasma environnant n'est pas trop élevée, l'astéroïde présente un mode de décharge sombre[3] ou pas de décharge du tout. Mais quand la différence de potentiel est suffisamment élevée, la comète passe en mode de décharge luminescent.[4] À ce stade, l'astéroïde est une comète. Selon cette perspective, une comète est simplement un astéroïde luminescent et un astéroïde est une comète non luminescente. Ainsi, le même corps peut, successivement, être une comète, puis un astéroïde, puis une comète, etc., selon la variation du champ électrique ambiant auquel il est soumis.[5]

Remarquez qu'une comète peut également présenter le troisième mode de décharge de plasma, notamment l'éclair ou « mode de décharge en arc », ce qui s'est probablement produit lorsque la comète Shoemaker-Levy est entrée dans le voisinage de Jupiter en juillet 1994 :
« Les astronomes s'attendaient à ce que la rencontre soit un événement banal. « Vous ne verrez rien. La chute de la comète ne sera rien de plus qu'une poignée de galets tombant dans un océan à 800 millions de kilomètres de la Terre. » Puis vint la rencontre et un revirement. Comme le relatait Sky & Telescope, « Quand le fragment 'A' a frappé la planète géante, il a émis contre toute attente une boule de feu tellement brillante que la communauté astronomique mondiale a paru en tomber à la renverse... »

Le télescope spatial Hubble (TSH) détecta un scintillement du fragment 'G' de Shoemaker-Levy bien avant l'impact à une distance de 3,7 millions de kilomètres de Jupiter.

Pour les théoriciens électriques, ce flash se serait produit quand le fragment a traversé la gaine de plasma de Jupiter ou la frontière de la magnétosphère. »[11]
« Impact » du fragment G de la comète Shoemaker-Levy sur Jupiter.
© Siding Spring telescope« Impact » du fragment G de la comète Shoemaker-Levy sur Jupiter.
Les deux dernières catégories dans la classification ci-dessus sont les « météores » et les « météorites ». Les météores sont simplement des astéroïdes ou fragments d'astéroïdes qui atteignent l'atmosphère terrestre, et les « météorites » sont des morceaux de météores qui réussissent à atteindre la surface de la Terre. Donc, tout au long de sa vie, un astéroïde peut être une comète (lorsqu'il est en mode de décharge luminescent), un météore (lorsqu'il pénètre l'atmosphère) et finalement une météorite (si il atteint la surface d'une planète).

Actuellement, la comète ISON nous fournit des observations en temps réel qui, lorsqu'on les compare aux attentes relatives à la façon dont les comètes devraient se comporter selon la croyance conventionnelle, ont vivement révélé quelques incohérences.

1 - Brillance attendue et brillance observée

ISON était censée être la « comète du siècle » du fait de sa brillance prévue. Elle allait même être plus brillante que la pleine Lune, d'après certaines sources populaires[6]. Cependant, ISON n'a pas atteint de tels niveaux de brillance. La brillance de la pleine Lune est de magnitude -13[7] et ISON durant son voyage vers le Soleil a affiché une brillance entre 19[8], lorsqu'elle est devenue observable par des télescopes amateurs, et -2[9] le 28 novembre, quand elle a passé Delta Scorpii[10].

Est-il possible que la magnitude prévue ait été surestimée du fait que la cosmologie traditionnelle considère les comètes comme des « boules de neige sales » ? Une compréhension de la nature électrique des corps célestes et de leurs interactions nous dit que la brillance des comètes devrait être proportionnelle au champ électrique qu'elles traversent. Il est possible que la luminosité plus faible que prévue d'ISON soit liée à la faible activité solaire, laquelle réduit le champ électrique héliosphérique, aussi connu sous le nom de Spirale de Parker. Comme vous l'avez peut-être noté, nous connaissons actuellement un maximum solaire inhabituellement calme.

2 - Éclat attendu et éclat observé

En route vers le soleil, ISON a connu plusieurs sursauts inattendus lorsque sa brillance a soudain augmenté considérablement. Par exemple, entre le 12 et le 14 novembre, la brillance d'ISON est montée en flèche de la magnitude 8 à la magnitude 4. Cela signifie qu'en seulement 72 heures, la brillance de la comète ISON a augmenté de quasiment 16 fois. [11]

Le 12 novembre par opposition au 14 novembre – Les photographies de la comète ISON montrent un soudain accroissement de brillance.
© Juanjo GonzalezLe 12 novembre par opposition au 14 novembre – Les photographies de la comète ISON montrent un soudain accroissement de brillance.
La NASA et consort n'avaient pas prévu ces sursauts et ont beaucoup de difficulté à les expliquer, invoquant divers facteurs extraordinaires tels que production d'eau, jets de gaz et de vapeur et rotation.

Si nous prenons en compte l'interaction électrique des corps célestes, le sursaut d'ISON a du sens car quelques jours avant cet événement, deux éruptions solaires de classe X se sont produites : une éruption X1.1 le 8 novembre et une éruption X1.1 le 10 novembre.

Les éruptions solaires sont d'énormes décharges de particules solaires de charge globale positive. Lorsque ces puissants vents solaires ont atteint ISON quelques jours après leur éjection, ils ont soumis ce corps chargé négativement (car il provient de l'extrémité du système solaire de charge négative) à un environnement chargé positivement. Cette différence électrique mène à :

a.) Une énorme décharge entre la comète et son espace environnant, résultant en une lueur plus intense de la comète (cette luminescence étant le second mode de décharge plasma)

b.) L'augmentation du potentiel électrique de la comète, le rapprochant du potentiel électrique de l'espace environnant. C'est l'un des deux facteurs qui expliquent la survie d'ISON pour transformer le rendez-vous en vol de reconnaissance solaire (voir le point 3 ci-dessous).

L’orbite excentrique de la comète ISON
© SOTT.netL’orbite excentrique de la comète ISON
L'orbite de la comète ISON, représentée ci-dessus, est similaire à celle de la plupart des comètes et suit une trajectoire fortement elliptique. Habituellement l'aphélie (le point le plus éloigné du soleil) se situe au-delà de la région des planètes externes, tandis que le périhélie peut faire moins d'une unité astronomique (distance Terre-Soleil) [12]. L'aphélie d'ISON est inconnu, bien que son orbite très allongée suggère un aphélie éloigné en dehors de notre système solaire.

Du fait de leurs orbites fortement excentriques, les trajectoires suivies par la plupart des comètes sont quasiment perpendiculaires au champ électrique du Soleil. Ceci signifie que le potentiel électrique environnant évolue rapidement le long du parcours de la comète à travers le système solaire[13]. Cela soumet la comète à une tension électrique croissante provoquée par l'accroissement de la différence de potentiel électrique entre la comète et son espace environnant. Ce déséquilibre dans le potentiel électrique déclenche d'énormes décharges solaires et flambées cométaires, comme illustré ci-dessous.

La brillante comète ISON approche du Soleil lors d'une grosse décharge électrique sous la forme d’une « éjection de masse coronale » (EMC)
© SOHO/NASALa brillante comète ISON approche du Soleil lors d'une grosse décharge électrique sous la forme d’une « éjection de masse coronale » (EMC)
En comparaison, les comètes non-électriques, que nous connaissons sous le terme d'astéroïdes, suivent habituellement des trajectoires orbitales plus circulaires, caractérisées par des variations de potentiel électrique plus faibles (car ils conservent grosso modo la même distance par rapport au Soleil au cours de leurs orbites). Ceci expliquerait pourquoi les astéroïdes ne sont pas en mode luminescent, comme c'est le cas avec les astéroïdes dans les nuages stationnaires, les astéroïdes qui suivent une orbite circulaire autour du Soleil, et les astéroïdes localisés dans la ceinture entre Mars et Jupiter[14].

3 - Événements au périhélie prévus et événements au périhélie observés

Officiellement, le périhélie est une période/localisation dangereuse pour une comète, spécialement pour la comète ISON qui est censée être une « boule de neige sale » d'1,6 kilomètre de diamètre passant à moins d'1,6 million de kilomètre du centre du Soleil, où les températures atteignent environ 2 700°C, plus de deux fois la température nécessaire pour fondre l'acier[15].

Se souvenant de la « mission impossible » de la comète Lovejoy lorsqu'elle traversa les millions de degrés de la couronne solaire sans subir beaucoup de dommages, les scientifiques de la NASA ont cette fois été plus précautionneux et se sont demandé si finalement ISON survivrait à son survol solaire épique.

Lorsqu'ISON est entrée dans le voisinage du Soleil et n'a plus été observée pendant plusieurs minutes, les commentateurs ont annoncé la mort d'ISON. Sa mort aurait été une délivrance pour eux, la confirmation de leur théorie de la « boule de neige sale ».

Mais Thanksgiving 2013 avait une surprise en stock pour eux : après une période de suspense insoutenable, ISON est réapparue de l'autre côté du Soleil !

ISON a survécu à son survol autour du Soleil et est apparue après une période d’invisibilité.
© SOHO/NASAISON a survécu à son survol autour du Soleil et est apparue après une période d’invisibilité.
Le survol d'ISON a révélé deux données intéressantes :

a.) Elle ne s'est pas désintégrée.

b.) Elle est devenue moins brillante en approchant du Soleil[16].

Ces deux points sont totalement contraires au modèle de la boule de neige sale. Lorsqu'une « comète glacée » se rapproche du Soleil, elle devrait devenir plus brillante (plus d'évaporation, plus de jets de gaz) et elle devrait finir par fondre. Rien de ceci n'est arrivé, ce qui est cohérent dans un univers électrique.

Il se trouve que lors de son survol solaire, une comète est soumise à un champ électrique plutôt constant. Dans l'illustration ci-dessous, nous pouvons voir qu'ISON a traversé différentes lignes de champ électrique (représentées par les cercles concentriques +1, +2,...) pendant son approche. Comme décrit précédemment, cette différence de potentiel électrique entre la comète et son espace environnant a provoqué des éruptions solaires, l'intense brillance et augmenté le potentiel électrique d'ISON.

Le survol d’ISON : champs électriques et intensité de la brillance
© SOTT.netLe survol d’ISON : champs électriques et intensité de la brillance
Quand ISON est entrée dans le voisinage du Soleil (démarqué par la région +4 dans l'illustration), son potentiel était déjà plutôt positif ET elle a pénétré dans une région de potentiel électrique plutôt constant.

Contrairement à sa traversée des lignes de champ électrique[17] +1, +2, et +3 qu'elle a franchi presque perpendiculairement, quand elle a atteint la ligne de champ +4, sa trajectoire était pratiquement parallèle à celle-ci, impliquant que le potentiel électrique environnant était presque constant.

En conséquence, ISON a eu un « moment de répit » et a été soumise à une tension électrique réduite. Une moindre différence électrique entre la comète et l'espace environnant a alors généré moins de décharge, moins de luminescence, et moins de chance que la comète se désintègre.

Karl Battams[18], qui avait annoncé la mort d'ISON, a fait la déclaration suivante après sa ré-émergence derrière le Soleil :
Battams a ajouté qu'ISON avait été une comète très imprévisible, s'illuminant lorsque les gens s'attendaient à ce qu'elle s'estompe, et vice versa.

« ISON est simplement bizarre. Elle se comporte de manière imprévisible par moments. Quand elle agit de façon étrange, nous passons du temps à nous gratter la tête, à trouver ce qui se passe, et lorsque nous pensons savoir ce qu'elle fait... elle se met alors à faire quelque chose de différent. »
Lorsque les observations continuent à apporter des données opposées à ce que le modèle conventionnel prévoit, la conclusion logique est que le modèle est erroné ! Bien sûr, il se pourrait qu'ici les intentions de la science ne soient pas de trouver la vérité, mais plutôt de maintenir le dogme dominant, auquel cas on accusera naturellement le phénomène observé en le qualifiant de « bizarre », d'« étrange » et d'« imprévisible ».

Notes

[1] Si vous allez sur cette page de la NASA, vous verrez une séquence de la comète Lovejoy plongeant dans l'atmosphère du Soleil et, une heure plus tard, ré-émergeant de l'autre côté.

[2] La couronne est l'atmosphère de plasma qui entoure le Soleil. Sa température est estimée entre 1 et 5 millions °C. Voir Gerald North, Astronomy in Depth, p 125.

[3] Voir le chapitre 5 dans le livre à paraître : « Modes de décharge ».

[4] Une circulation intense d'ions et d'électrons se produit entre un astéroïde et l'espace environnant. L'énergie fournie par cet intense transfert « excite » les électrons, lesquels génèrent des photons, d'où la brillance des astéroïdes. Voir : J. Meichsner, Nonthermal Plasma Chemistry and Physics, p.117.

[5] Thornhill W. & Talbott D., The Electric Universe, p. 95-99.

[6] Peter Grego. « New comet might blaze brighter than the full Moon », Astronomy Now. 25 septembre 2012.

[7] Plus la magnitude est élevée, plus la brillance est faible. Typiquement, la brillance du Soleil est d'environ -27, la pleine Lune est d'environ -13, la comète récente la plus brillante, Ikeya-Seki (1965) était de -10, la brillance de Vénus est de -5. Les objets de magnitude inférieure à 6,5 sont visibles à l'œil nu. Les objets de magnitude supérieure à 6,5 ne sont pas visibles à l'œil nu.

[8] Michael Bakich, « Comet ISON will light up the sky », Astronomy, 25 septembre 2012.

[9] Karl Battams, « Very quick update », CIOC, 27 novembre 2013.

[10] Étoile située dans la constellation du Scorpion.

[11] L'échelle de magnitude est logarithmique. Par exemple, accroître la magnitude de -0 à -6 (+3) signifie doubler en brillance.

[12] Dans le cas d'ISON, le périhélie est à environ 1,6 million de kilomètres du centre du soleil, c'est-à-dire 0,012 U.A. MPEC 2013-W16 : COMET C/2012 S1 (ISON). IAU Minor Planet Center, 26 novembre 2013. Voir : éruption X1.1 du 8 nov., éruption X1.1 du 10 nov.

[13] Thornhill W. & Talbott D., The Electric Universe, p. 90-95

[14] Aussi connu sous le nom de « ceinture principale d'astéroïdes ». Sa masse totale est censée faire 4 % de notre Lune. Krasinsky, G. A.; Pitjeva, E. V.; Vasilyev, M. V.; Yagudina, and E. I. (July 2002). « Hidden Mass in the Asteroid Belt », Icarus 158 (1) : 98 - 105.

[15] 4 900° Fahrenheit. Pour référence, la température de fusion de l'acier est de 1 200° Celsius, c'est-à-dire 2 100° Fahrenheit. Source

[16] « On s'attendait à ce qu'elle devienne de plus en plus brillante mais malheureusement, elle est devenue de plus en plus sombre à mesure qu'elle se rapprochait du Soleil, » a dit le Dr Presnell, scientifique du projet avec le Solar Dynamics Observatory de la NASA (SDO). Source

[17] Une ligne de champ électrique définit les endroits où le potentiel électrique est identique. Il équivaut aux lignes d'altitude sur une carte géographique où chaque point de la ligne se situe à la même altitude.

[18] Astrophysicien du Laboratoire de recherche navale qui gère le Projet des comètes qui frôlent le Soleil et a participé à un « Hangout Google+ » de la NASA au sujet d'ISON.