Avant de regarder d'un œil critique comment la presse a relaté l'événement, attardons-nous en premier lieu sur les données scientifiques. Mieux vaut d'abord savoir de quoi l'on s'occupe avant d'en parler. Car à procéder comme les journalistes, on ne peut livrer qu'une information dont tout esprit bien formé ne peut savoir que faire. Ce qu'en toute rigueur on ne peut nommer « information ». À reprendre des interprétations toutes faites, on prend le risque de servir les intérêts de ceux qui les livrent.
Commentaire : N'est-ce pas en effet le rôle des journalistes des Grands Médias que de servir ces intérêts sans vraiment poser de question ?
Commentaire: Plutôt que de parler de réchauffement climatique, nous devrions parler de refroidissement climatique.