valls et gendarmerie
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Après les déclarations explosives du n°3 de la gendarmerie, Bertrand Soubelet, devant des députés, sur l'insuffisance de la réponse pénale, son patron a écrit à tous les gendarmes pour éteindre l'incendie. Et mettre en garde les éventuels réfractaires.


Dans la gendarmerie, « il ne saurait y avoir de malentendu ». C'est le message adressé par le numéro un de l'institution, le général d'armée Denis Favier, héros de l'assaut contre les preneurs d'otages de Marignane en 1994, aux quelque 100 000 gendarmes de France, dans un télex qui fera date et dont Le Figaro publie l'intégralité.

L'initiative vient en réaction à la polémique née des propos du général de corps d'armée Bertrand Soubelet, numéro trois de la maréchaussée, qui, le 18 décembre dernier, avait exprimé tout haut, devant les membres d'une mission d'information de l'Assemblée nationale, ce que ses hommes pensent tout bas.

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