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Depuis que nous avons lancé le site MedicalKidnap.com fin de 2014, nous avons fait état de nombreuses histoires où les enfants sont enlevés à leurs familles aimantes tout simplement parce que l'on a découvert des preuves de fractures et autres traumatismes du squelette. Des recherches de plus en plus nombreuses montrent aujourd'hui que d'autres conditions médicales peuvent provoquer pareils traumatismes en dehors du « syndrome du bébé secoué » et qu'il ne s'agit pas nécessairement de maltraitance d'enfants.

Certains de ces enfants ont des marqueurs génétiques spécifiques qui les rendent davantage sujets à ces types de dommages, comme le syndrome d'Ehlers-Danlos et l'ostéogenèse imparfaite. On dit que ces types de maladies sont héréditaires, mais leur augmentation conduit des personnes honnêtes à chercher d'autres causes en dehors de la génétique. L'ensemble des domaines de l'épigénétique nous a montré ces dernières années que des modifications génétiques peuvent aussi se produire à cause de facteurs externes et environnementaux. Du fait que l'augmentation de ces troubles génétiques coïncide aussi avec l'augmentation du nombre de vaccins ajoutés au programme vaccinal, j'ai demandé à Christina England d'effectuer une recherche sur ce problème et de me fournir un rapport (que vous pourrez trouver ci-dessous).

Le programme américain d'indemnisation des victimes des vaccins a déjà payé plusieurs millions de dollars à des individus et des familles dont la santé a été endommagée ou sont décédés après des vaccins. Aucune recherche destinée à examiner pourquoi certains enfants sont davantage susceptibles de souffrir des effets indésirables des vaccinations n'a été entreprise. Au lieu de cela, les législateurs des États-Unis tentent d'éliminer les exemptions et d'appliquer une politique passe-partout de vaccination publique.

Étant donné que les compagnies pharmaceutiques bénéficient d'une immunité juridique par rapport à la production de vaccins qui peuvent s'avérer dangereux, comment pouvoir penser que ces industries se sentiraient motivées à fabriquer des vaccins plus sûrs ? Que faudra-t-il pour pouvoir ralentir le rythme de plus en plus effréné de la production de nouveaux vaccins, comme pour consacrer du temps à la recherche en vue d'améliorer les vaccins existants, Combien d'enfants devront-ils encore être sacrifiés sur l'autel du « plus grand bien » ?

Il est peut-être temps pour le Congrès de réexaminer la pertinence du programme de dédommagement des victimes de vaccins qui accorde l'immunité aux compagnies pharmaceutiques par rapport à leur marché, et qui ne les incite pas à fabriquer des vaccins plus sûrs. Les États-Unis se classent en bien mauvaise place parmi les pays développés en ce qui concerne les problèmes de santé de l'enfance. Les États-Unis sont aussi en tête pour le nombre de vaccins qui d'après le calendrier vaccinal doivent être administrés aux enfants.

Les vaccinations pourraient-elles être responsables de la modification des gènes ? (Par Christina England)

Au cours des dernières années, les médecins ont vu une augmentation du nombre d'enfants souffrant de maladies génétiques comme le Syndrome d'Ehlers-Danlos et l'ostéogenèse imparfaite. Beaucoup se sont demandé si l'augmentation du nombre de vaccinations ne pourrait pas être en cause. Alors que pour la majorité d'entre nous, tout ceci pourrait paraître relever davantage de la science-fiction que de la réalité, d'autres envisagent la possibilité que ces deux conditions sont liées à des mutations de gènes causées par les vaccinations.

Un autre facteur inquiétant est le fait qu'un nombre croissant de parents ont signalé que leur enfant était en parfaite santé avant de recevoir ses vaccins et que les problèmes ne se sont développés qu'après avoir reçu les vaccins.

L'examen des faits

Le syndrome d'Ehlers-Danlos est un trouble héréditaire du tissu conjonctif caractérisé par une hypersensibilité de la peau (une peau qui présente la caractéristique de pouvoir être davantage étirée qu'une peau normale), une peau douce et fragile, des retards dans la cicatrisation des plaies, ainsi que la formation de cicatrices atrophiques, des ecchymoses et une hypermobilité articulaire généralisée.

Selon le site web Genetics Home Reference - Your Guide to Understanding Genetic Conditions, certaines mutations des gènes ADAMTS2, COL1A1, COL1A2, COL3A1, COL5A1, COL5A2, PLOD1 et TNXB sont responsables de l'apparition du syndrome d'Ehlers-Danlos.

Certains de ces gènes (COL1A1, COL1A2, COL3A1, COL5A1 et COL5A2) fournissent les instructions pour produire des protéines qui sont utilisées pour assembler différents types de collagène. Les collagènes sont des molécules qui donnent la structure et la résistance aux tissus conjonctifs de l'ensemble du corps. D'autres gènes (ADAMTS2, PLOD1 et TNXB) fournissent les instructions pour la fabrication de protéines qui interagissent avec le collagène.

Les mutations qui provoquent les différentes formes du syndrome d'Ehlers-Danlos perturbent la structure, la production ou le traitement du collagène. De ce fait, les molécules ne peuvent s'assembler correctement. Ces défauts affaiblissent les tissus conjonctifs de la peau, des os, ainsi que d'autres parties du corps entraînant les traits caractéristiques de cette affection.

L'ostéogenèse imparfaite est une maladie génétique qui fait que les os se brisent très facilement parce que les défauts génétiques empêchent le corps de produire des os sains, forts et solides. La mutation des gènes est aussi responsable de la maladie génétique ostéogenèse imparfaite que l'on appelle parfois le syndrome des os fragiles.

Sur le site web Genetics Home Reference - Your Guide to Understanding Genetic Conditions, il est précisé :
Des mutations des gènes COL1A1, COL1A2, CRTAP et P3H1 provoquent l'ostéogenèse imparfaite.

Des mutations dans les gènes COL1A1 et COL1A2 sont responsables de plus de 90% de tous les cas d'ostéogenèse imparfaite. Ces gènes fournissent les instructions pour l'élaboration des protéines qui sont utilisées pour permettre l'assemblage du collagène de type I. C'est ce type de collagène qui est la protéine la plus importante dans les tissus osseux, de la peau et autres tissus conjonctifs qui fournissent la structure et la résistance à ces parties du corps.
Les vaccins provoquent-ils la mutation de nos gènes ?

Bien que ces deux conditions soient dites héréditaires, un nombre inhabituellement élevé de parents signalent que leur enfant a développé ces conditions après avoir été vacciné. Si ceci est vrai, se pourrait-il que ce soit dû au fait que leurs enfants possédaient déjà les marqueurs génétiques de ces conditions et que les vaccinations auraient entraîné leurs corps à déclencher la maladie ?

M. Lloyd W. Phillips pense que c'est ce qui se passe en réalité. Dans une étude intitulée « Etude de 4 ans et Analyse des effets indésirables du vaccin Gardasil contre le HPV », publié par Americans disabled by vaccines, il explique que quand des enfants qui possédaient le marqueur génétique pour l'EDS (Syndrome d'Ehlers-Danlos) recevaient le vaccin Gardasil contre le HPV, beaucoup d'entre eux développaient le syndrome d'Ehlers-Danlos (EDS)

Phillips écrivait : « L'hypermobilité est un facteur de risque». Il poursuit : « L'activité physique comme facteur de risque d'une réaction indésirable au vaccin. »

« Nous avons pu observer que les enfants qui paraissaient être particulièrement en bonne santé avant de recevoir le vaccin Gardasil et qui étaient les plus physiquement actifs après la vaccination (sports divers, danse, vélo, patinage, ou toute autre activité physique) souffraient le plus de symptômes débilitants, y compris des troubles de la marche ou tout simplement l'incapacité de marcher. Cet état est vraisemblablement dû à une plus ample circulation des éléments vaccinaux dans tout le corps suite à l'exercice, et à un système cardio-vasculaire plus robuste. Ces filles se plaignaient aussi davantage de douleurs à la poitrine dans la région du cœur. Les médecins et les hôpitaux refusaient généralement de lancer des enquêtes à la suite de ces plaintes, mais se contentaient de tests de grossesse et de drogues avant de renvoyer ces patientes avec un diagnostic de « Trouble de conversion ».

Dans la version simplifiée de son article, Phillips a donné plus d'explications :
Un français du nom de Ramon avait remarqué que si on administrait un vaccin contenant de l'aluminium à un cheval qui faisait une infection, le système immunitaire de l'animal se mettait à produire un nombre élevé et imprévisible d'anticorps. Malheureusement pour de nombreux ancêtres irlandais, suédois, anglais, français, danois et autres chercheurs des pays de l'Europe de l'ouest et du nord, les gens qui présentaient certaines mutations génétiques pouvaient parfaitement abriter de nombreux autres agents pathogènes tout en tombant rarement malades... jusqu'à ce qu'ils reçoivent un vaccin. Le vaccin commence à s'attaquer aux virus et aux bactéries que ces personnes ont pu rencontrer dans leur vie, y compris des germes dormants qu'elles pensaient avoir été détruits depuis longtemps.
Mr Phillips a poursuivi en expliquant que les vaccins ont été conçus pour des personnes en parfaite santé, avec des systèmes immunitaires parfaitement intacts et sans aucune mutation génétique. Cependant comme beaucoup d'entre nous en sont conscients, en réalité cela est virtuellement impossible parce que des millions de mutations génétiques se produisent régulièrement. Et si un enfant a, dès sa naissance, été vacciné contre l'hépatite B, les chances qu'il possède encore un système immunitaire intact sont minces. Voir pour plus de détails l'article Vaccines and Immune Suppression.

Si les vaccinations favorisent dans le corps des enfants les marqueurs génétiques pouvant conduire au syndrome d'Ehlers-Danlos, pourrait-on dire la même chose pour l'ostéogenèse imparfaite ?

Je pose la question parce qu'au cours de ma recherche j'ai découvert un article intitulé Pediatrics in Tulsa & Eastern Oklahoma, écrit par Robert Kendall Enders, M.D. en 2009. Selon le Dr Enders, des cas de la maladie génétique ostéogenèse imparfaite se sont multipliés à des taux alarmants depuis la première partie du 20ème siècle.

Au cours de la première partie du 20ème siècle, on rapportait de 20 à 60 cas. Après l'article qui est paru dans JAMA en 1962, on relevait 10.000 cas, en 1976 environ 669.000 cas et en 1978 quelque 836.000 cas. Il a été estimé qu'en 1992 il y avait trois millions de cas dans le monde, et en 2000 environ 4 millions de cas (P.77/78)

Cette énorme augmentation du nombre de cas rapportés semble coïncider avec l'augmentation du nombre de vaccins administrés aux jeunes enfants. Evidemment, il peut s'agir de coïncidences, mais quand ces données sont mises en relation avec les travaux des Docteurs David Ayoub et Edward Yazbak dans « Fausses accusations du syndrome du bébé secoué », la chose a de quoi étonner. (Voir : « Is Shaken Baby Syndrome often misdiagnosed and caused by vaccine-induced Rickets ? »file:///C:/Users/user1/AppData/Local/Microsoft/Windows/Temporary%20Internet%20Files/Content.IE5/CJ7CURGM/Downloads)

Des preuves supplémentaires viennent à la lumière pour expliquer la mutation

Dans un article écrit par le Dr Harold E. Buttram,M.D., Susan Kreider, RN, et Alan R. Yurko, intitulé Vaccines and Genetic Mutation, les auteurs expliquent qu'ils ont découvert des preuves que des modifications génétiques surviennent chez des personnes qui ont eu des réactions indésirables aux vaccins. Les auteurs suggèrent un lien de causalité.

Leur article commente le travail de John Martin, M.D., PhD, Howard B. Urnovitz, PhD et le Dr MG Montinari. Ils reconnaissent clairement que n'étant pas des autorités en matière de génétique et d'immunologie, ils pensent néanmoins que des non-experts peuvent avoir une vue assez objective des choses, et ils écrivent :
« Ce que nous espérons pouvoir établir à partir du travail de ces chercheurs est qu'il est à la fois possible et plausible que des modifications génétiques subtiles mais très répandues puissent survenir à la suite des programmes actuels de vaccination des enfants, et qu'il est possible que ce phénomène affecte un grand nombre d'enfants. »
Le Dr Buttram et son équipe poursuivent :
« Le travail d'Urnovitz jette un fameux éclairage sur le fait que les vaccins peuvent induire des modifications génétiques. A la naissance, nos parents nous ont transmis des gènes particuliers. Il semble maintenant que ce matériel génétique brut puisse être malléable à la suite d'influences environnementales, y compris avec des produits chimiques toxiques et avec les vaccins. Sur base de l'information qui précède, il est à la fois possible et plausible que des translocations génétiques se produisent à la suite des vaccins. Il est certain qu'il s'agit là d'une raison d'inquiétude. »
Dans leur conclusion, le Dr Buttram et son équipe ont baptisé les modifications génétiques provoquées par les vaccins: « le trou noir de la connaissance scientifique ». Ils écrivent :
« Même si les choses se passent comme décrit plus haut, sommes-nous en possession de la technologie pour pouvoir les identifier, et sinon, disposons-nous du temps nécessaire pour attendre que les lents processus de la science puissent prouver pareille relation ? Des études d'Afrique, d'Angleterre, de Suède et de Nouvelle Zélande ont toujours montré une incidence plus importante des problèmes allergiques comme l'asthme et l'eczéma avec un nombre croissant de maladies chez les enfants complètement vaccinés comparativement à des enfants qui ont reçu peu de vaccins ou pas de vaccins du tout.

Il nous semble inconcevable que la génétique puisse être une chose et la santé une autre, ou que la détérioration de la santé ne correspondrait pas du tout à des modifications génétiques. »
Puisse le travail de ces chercheurs, ainsi que les autres documents auxquels nous avons fait référence commencer à expliquer pourquoi tant d'enfants apparemment en bonne santé développent des troubles génétiques potentiellement mortels, qui étaient très rares avant l'élargissement du calendrier vaccinal ?

Conclusion

Des recherches en matière de génétique sont absolument nécessaires pour permettre la mise au point de vaccins plus sûrs. Bien que nous ne puissions pas prouver de manière concluante que les vaccinations sont à l'origine du développement de troubles génétiques chez les enfants, la chose semble cependant extrêmement probable si nous prenons en compte toutes les études qui soulignent le fait que les vaccinations sont à l'origine de la mutation et de la modification des gènes.

Il est certain que tous les enfants devraient, dès la naissance, être examinés par rapport à ces problèmes avant de recevoir leurs premières vaccinations. Pareille politique épargnerait aux enfants vulnérables le développement de troubles génétiques dont les conséquences pourraient s'avérer mortelles après qu'ils aient été vaccinés.