« Cette injection n'est pas un vaccin, c'est une thérapie génique et expérimentale qui ne peut pas être rendue obligatoire. [...] Cette injection est responsable de complications. Alors, on appelle ça des effets indésirables mais ça s'appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l'hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de dix-sept et vingt ans ont des myocardites, deux jours après la vaccination. »Des mots qui ne plaisent pas à Pierre Ricordeau, directeur de l'ARS Occitanie, qui dénonce, lors d'une conférence presse qui a eu lieu le 25 août 2021, « des propos inacceptables de la part d'un médecin en période de crise sanitaire ».
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