macron coke scarface
Quand un président de la République se comporte comme un gamin mal poli qu'il faut remettre à sa place, il faut le faire. Le "casse-toi, pauvre con" de Sarkozy n'était pas très malin (même pas malin du tout), mais attribuable à un mouvement d'exaspération non contrôlé. Or il s'agit ici d'un acte intentionnel et mûrement réfléchi, qui confirme l'attitude présidentielle depuis l'accession de Monsieur Macron au sommet du Pouvoir : Monsieur Macron se voit comme un CHEF DE GUERRE !

- Dès le soir de son élection il a annoncé la couleur en remontant les Champs Elysées dans un véhicule militaire.

- Il s'est pris une pelle au Mali après y avoir exalté l'action de "pacification"... militaire de la France. Il a engagé la France en première ligne dans le conflit naissant entre la Grèce et la Turquie, etc. etc.

- Dès qu'il est intervenu dans la question du coronavirus, il a présenté l'affaire comme une GUERRE contre le virus.

- Il s'est comporté HIER comme un propagateur de guerre civile

- Je mets en garde AUJOURD'HUI contre son action en tant que président de la Communauté européenne à un moment où la guerre menace en Ukraine.

Je ne suis pas un "antivax". Je suis même un partisan ouvert de la vaccination obligatoire. J'ai contribué à attirer l'attention il y a 25 ans sur le retour de la tuberculose en Europe occidentale (arrivée de population en provenance de pays tiers, relâchement dans la vaccination obligatoire). Ceci dit, je suis convaincu qu'on a développé ces dernières années des politiques dites de vaccination qui témoignent de l'abus d'un mot, comme de bien d'autres d'ailleurs, et on a de ce fait discrédité la véritable vaccination, héritée de la lutte contre la variole (FLEAU de l'humanité). Si on trouvait un vaccin contre le paludisme, on sauverait des millions de vie !

Dans le cas qui nous occupe depuis deux ans, je prétends :

1) que ce prétendu "vaccin" ne concerne pas la question de la contamination, de l'épidémie elle-même. Il ne s'agit pas d'un vaccin.

2) que ce produit n'a pas été testé dans les règles. Je pense que Monsieur Macron, en tant que responsable de l'exécutif, portera TOUTE LA RESPONSABILITE des actes de l'autorité publique dans le cas où surgirait - ce qu'il ne faut pas souhaiter vu l'ampleur du risque qui a été pris et le nombre de victimes que cela engendrerait - une AFFAIRE DU VIRUS CONTAMINE, pour reprendre une expression connue des Français. Et qu'il ne cherche pas à se décharger de cette responsabilité sur ses conseillers, ce qui serait pure lâcheté de sa part !

Je suis convaincu que ce prétendu "vaccin" est une question de choix personnel (évaluation des avantages et des risques) : soit on désire se mettre à l'abri d'une éventuelle hospitalisation-réanimation en dopant son immunité, soit on préfère ne pas s'exposer aux conséquences imprévisibles d'un médicament qui n'a pas été testé et sur lequel on n'a aucun recul.

Mais le vaccin n'a AUCUN EFFET sur la contamination. Ne pas se faire vacciner n'a aucun effet antisocial. Le seul effet indésirable est qu'il risque de contribuer à l'encombrement des services de santé. Mais pour éviter cet encombrement, que faut-il faire ? Eviter les contaminations générales de la population lors des "vagues". Or on voit que la politique de M.Macron et de son équipe est depuis deux mois de laisser la porte grande ouverte au virus, et la politique du tout vaccinal a bien encouragé les vaccinés à faire n'importe quoi (convaincus qu'ils étaient protégés) et a contribué très largement au "tsunami" actuel, accentué par omicron, mais dans quelle mesure ? Nul ne peut le dire.

Et qu'on ne m'objecte pas la question de l'URGENCE face à une épidémie qui en deux ans a emporté 0,2% de la population dont les 3/4 de personnes âgées ou en état de santé très déficient. Soit 0,05 % de personnes en bonne santé, 1 pour 2 000. Pour ne faire qu'une comparaison : la grippe dite espagnole a emporté il y a un siècle 2% de la population, la majeure partie des victimes étant dans la population active (20-40 ans). 1 pour 50.

Le terme de "vaccin" est impropre et fait place dans d'autres pays au terme plus approprié de "booster" (à savoir booster d'immunité). Prenant la place de l'immunité "naturelle" des individus, quelles conséquences ce booster aura-t-il sur leur immunité future ? N'aurons-nous pas une population de "booster-dépendants", de gens condamnés pour survivre à se faire administrer une dose de "rappel", se faire reboostériser en permanence ? Ce qui accentuerait encore une situation que je dénonce : l'état de santé précaire d'une grande partie de la population dont la cause principale, hormis notre mode de vie, est sans doute la disparition du médecin "de famille", disparition programmée par l'Etat depuis un demi-siècle et dont la crise actuelle est une étape finale.

La gestion de l'étrange affaire du Covid a été (est) entièrement POLITIQUE, nullement SANITAIRE.

La volonté OUVERTE des gouvernements qui s'est manifestée à cette occasion est de détruire les rapports sociaux (confinement débile de mars 2020, trois jours après avoir autorisé des milliers de supporters en provenance de la région la plus contaminée d'Europe à venir assister à un match de foot à Lyon, deux jours après des élections maintenues), opposer les citoyens les uns aux autres (gestion de l'usage du masque et politique du tout vaccinal).

Maintenant, il s'agit clairement d'un appel à la GUERRE CIVILE. Désormais il y aurait selon le président de la République des citoyens et des non-citoyens. La première conséquence est évidente : seuls les citoyens français ont le droit de vote... Je demande donc OU que le président retire solennellement ses propos et présente ses excuses et, vu la gravité des faits, sa démission, OU que l'Assemblée nationale soit exige sa démision immédiate, soit vote une loi retirant le droit de vote à tous les non-vaccinés. Cela me semble les seules solutions cohérentes.

Je voudrais terminer ce billet en exprimant ma conviction profonde : notre connaissance de ce virus et de ses conséquences est tellement réduite qu'il vaut mieux dire que nous n'en savons RIEN et se contenter de mesures élémentaires de BON SENS. Tout ce bla-bla pour ne rien dire !... et pour nous déstabiliser tous en profondeur !

Je regrette d'avoir écrit ce billet et je vous prie de m'en excuser, mais tout cela m'est tellement insupportable !