stage de france
© THOMAS SAMSON / EPA / MAXPPPPhoto d’illustration : Des citoyens font la queue pour être vaccinés contre le Covid-19 au centre de vaccination mis en place au stade de France, Saint-Denis, le 6 avril 2021
Deux points concernant cette condamnation honteuse à une peine de prison ferme. Premièrement, il vaut mieux être accusé d'agression sexuelle et d'inceste, on a plus de chance en France de s'en tirer avec une peine de prison avec sursis. Encore mieux, voler quelques millions d'euros d'argent public ou ne pas les déclarer au fisc, on risque même d'être élu comme député ou désigné comme ministre ! Deuxièmement, ce qui se passe est très grave car cette loi est totalement illégitime, illégale et anticonstitutionnelle ; elle piétine également bon nombre d'accords internationaux signés et validés par la France. Toutes ces peines de prison et ses amendes auront vocation à être annulées, vous pouvez en être certains.
Un homme de 44 ans a été condamné à quatre mois de prison ferme pour avoir trompé le centre de vaccination anti-Covid du Stade de France, a rapporté Le Parisien ce 4 août 2021.

En faisant un malaise factice, il aurait réussi à se procurer un passe sanitaire de manière frauduleuse. Son stratagème n'a pas été aussi fructueux qu'espéré puisqu'il a également écopé d'une amende de 1 000 €.

Selon les informations du Parisien, il s'agit d'un habitant de Saint-Denis. Titulaire d'un rendez-vous le 28 juillet pour se faire vacciner, il avait simulé un malaise, alors qu'il était dans la file d'attente pour recevoir sa dose.

Il a ensuite expliqué au personnel présent sur place qu'il était préférable qu'il rentre chez lui se reposer, afin de revenir plus tard dans la journée pour procéder à l'injection sans devoir reprendre rendez-vous.

La fraude rapidement détectée

L'homme n'est finalement réapparu au Stade de France que le lendemain. Il a alors indiqué avoir reçu sa dose la veille, mais pas son certificat de vaccination afin de bénéficier du précieux sésame sans passer par la case vaccination. Un agent lui a alors remis le document, avant de se rendre compte un plus tard qu'il existait un décalage entre le nombre de vaccinées et les doses injectées ce jour-là.

Si le quadragénaire a pu profiter de son passe sanitaire pendant quelques heures, il a rapidement été rattrapé par les faits. La police l'a interpellé le 29 juillet avant de l'interroger.

Pendant sa comparution, l'homme a plaidé coupable, indiquant même avoir conseillé à ses proches d'user de la même stratégie, décrit Le Parisien.

Source : Ouest France