Les Maîtres du MondeS


Star of David

Trahison en gros, pourquoi Israël a acheté le Congrès

Traduction Nicole pour Les attentats du 11 septembre vus par une conspirationniste

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L'AIPAC fanfaronne, "contrôle sur la politique américaine sans précédent"

"Etape n°2, "choc et effroi" pour l'Iran suivi par une invasion grande échelle qui, selon les experts militaires directement responsables de l'élaboration de nos plans de guerre, requiert la chute du Pakistan, sa "Balkanisation et l'occupation militaire du Baluchistan comme base d'action"

L'AIPAC, le lobby Israélien avait l'habitude, et bien, nous ne savons pas exactement ce dont ils "ont l'habitude" mais chaque politicien en Amérique en est terrifié pour quelque raison, l'AIPAC, donc, affirme avoir un contrôle total sur le nouveau congrès.

Ce n'est pas une "chose Juive", l'AIPAC s'est débarrassée de 6 Juifs qui étaient trop "pro-Américains" à leurs goûts. La dernière chose dont il est question est la sécurité d'Israël, une brute régionale, un petit territoire de missiles balistiques intercontinentaux, de laboratoires de guerre bactériologique et d'entrepôts remplis de munitions américaines qu'ils vendent dans le monde entier.

Nuke

Un mouvement antiguerre à l'envers : la « voie humanitaire » vers la guerre nucléaire ?

Traduction par Julie Lévesque pour Mondialisation.ca.

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Certaines guerres étasuniennes sont catégoriquement condamnées, alors que d'autres sont présentées comme des « interventions humanitaires ». Une part significative du mouvement antiguerre étasunien condamne la guerre mais appuie la campagne contre le terrorisme international, qui constitue le fondement de la doctrine militaire des États-Unis.

La théorie de la « guerre juste » a servi à camoufler la nature de la politique étrangère étasunienne, tout en procurant un visage humain aux envahisseurs. Autant dans sa version classique que contemporaine, la théorie de la guerre juste préserve l'idée de la guerre comme « opération humanitaire ». Elle appelle à l'intervention militaire pour des raisons éthiques et morales contre les « insurgés », les « terroristes » et les « États faillis » ou « voyous ».

Enseignée dans les académies militaires étasuniennes, une version moderne de la théorie de la guerre juste a été incorporée dans la doctrine militaire des États-Unis. La « guerre au terrorisme » et la notion de « préemption » sont fondées sur le droit à l'« autodéfense ». Elles définissent « quand il est permissible de faire la guerre » : jus ad bellum.

USA

Al-Qaïda au Yémen est un « produit occidental »

Traduction : Infoguerrilla.fr

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Déclaration du premier ministre yéménite

Le premier ministre yéménite Ali Muhammad al-Mujawar a déclaré samedi qu'Al-Qaïda était à l'origine un groupe créé par l'occident et non par son pays, selon Xinhua a rapporté l'agence de nouvelles étatique Saba.

Les remarques du premier ministre ont été faites lors d'une réunion dans la capitale Sanaa avec les ambassadeurs des pays asiatiques et africains au Yémen pour clarifier la position du Yémen contre ceux qui propagent des rumeurs négatives sur le Yémen à propos des colis piégés expédiés aux Etats-Unis la semaine dernière.

« Al-Qaïda a été essentiellement un groupe créé par l'Occident et non par le Yémen, ceci est allégué par ceux qui cherchent à propager ce point de vue international sur le Yémen, » selon Saba cité par Mujawar.

Pistol

Meilleur du Web: Mille raisons de ne pas faire confiance aux « autorités »

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© Image Flickr par terrenoire
Théorie du réchauffement climatique - aucun consensus (et la tyrannie des réchauffistes)

Le slogan de ceux qui croient au réchauffement climatique causé par l'homme est que la science aurait définitivement prouvé leur théorie et qu'il y aurait donc un "consensus scientifique" à ce sujet. Pourtant, cela ne pourrait pas être plus éloigné de la réalité. Voici une liste de 800 documents rédigés par des scientifiques respectés et honorifiques qui questionnent ou contredisent la théorie du réchauffement climatique anthropologique. La science n'est pas une question de "consensus" et en ce qui concerne la climatologique, elle est loin d'être à point et surtout, d'être définitive.

Et qu'est-ce que cette "science" lorsqu'elle est manipulée et tordue pour produire les résultats désirés? David Evans a publié une collection de photos qu'il a rassemblé dans ce document (PDF) démontrant la nature frauduleuse de l'arnaque climatique perpétrée par plusieurs à l'intérieur de l'establishment scientifique occidental. Ces photos mettent en lumière la localisation des thermomètres climatiques officiels qui sont intentionnellement placés proche de sorties extérieures d'unités d'air climatisé, et de sortie de ventilation, ou même en position de recevoir des jets de courants d'air chaud provenant d'avions à proximité, alors que d'autres de ces thermomètres manquent pas carrément. Troublant et incroyable.

Vader

Abou Ghraib était le plus grand centre de formation de la guérilla en Irak

Ali Al-Kaissi
© Nazim Ayadat/RFIAli Al-Kaissi, l’ancien prisonnier d’Abou Ghraib, symbole des exactions commises par les Américains sur leurs détenus irakiens, souhaite que son histoire « pourra changer les choses ».
Ali Al-Kaissi est mondialement connu. Sa photo a fait le tour du monde et restera à jamais gravée dans les mémoires. Malgré lui, il est devenu le symbole des pires traitements infligés par les Américains à leurs prisonniers irakiens du centre de détention d'Abou Ghraib. Le prisonnier, debout sur une caisse, le visage encagoulé, les bras en croix, et les mains reliées à des électrodes, c'était lui.

De notre correspondant à Amman

Ali Al-Kaissi. Numéro d'écrou 151716, bloc 1A, cellule 49. Sa photo, debout sur une caisse, le visage encagoulé, les bras en croix, et les mains reliées à des électrodes, est devenu le symbole de la torture à Abou Ghraib. Aujourd'hui, le seul lien entre le terrible cliché et cet homme aimable aux cheveux grisonnants, assis près du bar d'un grand hôtel d'Amman, c'est sa main gauche. Une main amputée de deux doigts lors d'un accident, avant sa détention, et qu'on devine sur la photo prise par ses geôliers.

La voix fatiguée, Ali raconte : « Mes ennuis ont commencé lorsque j'ai trouvé un terrain vague, et que j'en ai fait un espace de jeu pour les enfants. » Peu de temps après, explique-t-il, des soldats américains utilisent le terrain comme dépotoir. Les déchets de leur camp près de l'aéroport atterrissent sur le terrain de jeu. Un médecin de son district signale que des gamins se sont blessés, en essayant de trouver des objets de valeur parmi les ordures. Les responsabilités d'Ali sous l'ancien régime, (il était Mukhtar, c'est-à-dire chef de village), le désignent pour aller protester auprès de l'administration provisoire américaine.