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Dans les toutes prochaines années, la Terre va hésiter entre réchauffement et refroidissement, avant de basculer dans les décennies à venir vers un refroidissement, affirme un chercheur Russe, (2006) spécialiste du rayonnement solaire. Ces prévisions vont à l'encontre des théories ayant cours actuellement.

Dans les 5 à 7 années à venir, notre planète va hésiter entre un réchauffement et un refroidissement global, estime KHABIBOULLO ABDOUSSAMATOV, du laboratoire d'études spatiales de l'observatoire astronomique principal de POULKOVO, relevant de l'académie des sciences RUSSES.

« Nous avons trouvé un nouveau témoignage de la baisse, depuis deux siècles, de l'intensité du rayonnement solaire. Cette baisse, qui est déjà là, conduira à une diminution de la température globale sur la Terre à partir de 2013-2015. Pour l'instant, durant quelques années, avant que ne débute ce prochain refroidissement, nous nous trouvons dans une phase d'équilibre, pendant laquelle la température va tourner autour de son maximum déjà atteint, sans augmenter davantage » a déclaré Kabiboullo Abdoussamatov à RIA Novosti.

Le chercheur est parvenu à la conclusion que depuis le début des années 90, le soleil a déjà commencé à diffuser moins d'énergie. Mais grâce à l'inertie thermique de l'océan mondial, notre planète se trouve pour l'instant en équilibre du fait de l'énergie « accumulée ».

Ce nouveau témoignage de la baisse de l'intensité du rayonnement, est apporté, selon Mr Abdoussamatov, par l'analyse du petit « cycle solaire actuel ». L'intensité du rayonnement et l'activité de notre astre changent de manière cyclique tous les 200 ans, ajoute l'astronome.

Le caractère exceptionnel du cycle actuel de 11 ans réside dans le fait qu'il a été le plus long de tous les « petits cycles solaire étudiés d'une manière fiable depuis 150 ans ». Le petit cycle actuel dure depuis déjà 12 ans, ce qui ne constitue pas une anomalie, mais témoigne simplement du fait que le cycle de 200 ans de variation de l'intensité du rayonnement solaire est entré dans une phase de baisse.

« Cette baisse solaire nous parvenant, qui se produit tous les deux siècles, entrainera à partir de 2013-2015 une longue période de refroidissement de notre planète qui atteindra son minimum - un froid profond - vers 2055-2060, et cette période de froid durera de 45 à 65 ans, pronostique le chercheur ».

Khabiboullo Abdoussamatov voit également la preuve d'un prochain refroidissement dans le fait qu'après le réchauffement global de la période 1998-2005, la température sur Terre a cessé d'augmenter, de nombreux scientifiques annonçant même une légère baisse en 2008.

Ce qui au grand dan des pseudos experts spécialistes du GIEC, s'avère être exact avec un hiver 2008/2009 très long et à inscrire parmi les hivers les plus froids.

Egalement l'hiver 2012/2013 qui joue les prolongations, quand à la canicule de 2003 elle fait désormais partie de l'histoire ancienne

Être membre ou dirigeant du GIEC, ne veut pas dire que ces gens soient tous au courant du détail des études prises en compte, ils sont là à titre d'arbitre plus que par connaissance approfondie de la méthode. Pour rappel, et contrairement aux affirmations qui circulent sur la quasi certitude du réchauffement climatique, le GIEC parle lui même de probabilité et non encore de certitude absolue, donc nuance. Autre point le GIEC suite à la polémique sur le rapport n°4 a fini par admettre que ses membres n'étaient pas tous des experts en la matière mais cependant a du mal à admettre les critiques...

Liens à suivre :

http://socialiste.forumactif.com/t5941-le-soleil-coupable-du-refroidissement

http://www.terraeco.net/Climat-les-Russes-jettent-un-froid,480.html

http://www.suivi-soleil.com/article-refroidissement-de-la-planete-56246663.html

http://www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=1990

http://archives.polemia.com/article.php?id=1405

Être membre ou dirigeant du GIEC, ne veut pas dire que ces gens soient tous au courant du détail des études prises en compte, ils sont là à titre d'arbitre plus que par connaissance approfondie de la méthode. Pour rappel, et contrairement aux affirmations qui circulent sur la quasi certitude du réchauffement climatique, le GIEC parle lui même de probabilité et non encore de certitude absolue, donc nuance. Autre point le GIEC suite à la polémique sur le rapport n°4 très controversé, a fini par admettre que ses membres n'étaient pas tous des experts en la matière mais cependant a du mal à admettre les critiques, dont certaines sont justifiées...