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© Tina Leggio via Flickr ((CC BY-NC-ND 2.0))
Alors que l'Europe connaît une canicule durable, une bonne nouvelle est parue le 9 juillet. De quoi s'agit-il ? Valentina Zharkova, un professeur d'astrophysique à l'université Northumbria, a présenté, ce jour-là, à la station balnéaire de Llandudno au Pays de Galles, une étude qui démolit la thèse du réchauffement climatique lié à l'activité humaine. D'ici 2030, une nouvelle ère glaciaire va succéder à la période actuelle marquée par une hausse conséquente de la température à l'échelle mondiale.

Alors que le GIEC (un groupe d'experts autoproclamés sur le changement de climat) nous assène que le réchauffement est lié à l'augmentation de CO2 dans l'atmosphère, Zharkova avance que celui-ci est lié à l'activité solaire. Cette dernière obéit à un cycle d'une durée comprise entre dix et douze ans mais chaque cycle est différent du précédent et aucun modèle mathématique n'a pu jusqu'alors expliquer ces fluctuations.

Des astrophysiciens ont avancé que la cause de ces cycles provenait d'une dynamo provoquée par la convection de fluides au centre du soleil. À présent, Zharkova et son équipe ont découvert un autre champ magnétique à la surface du soleil qui complète la vision de ces physiciens. Leur modèle s'appuie sur les observations relevées à l'observatoire Willcox en Californie. À l'aune de ces données, ils ont examiné trois cycles solaires pour la période 1976-2008. Ils ont comparé ces données avec le nombre de tâches noires observées à la surface du soleil. Il existe une corrélation étroite entre ces tâches noires et l'activité magnétique. Zharkova avance une erreur de 3% sur l'interprétation de ses résultats. La résonance des champs magnétiques au centre et à la périphérie du soleil que nous connaissons à l'heure actuelle va donc se découpler progressivement. Il va en résulter une réduction très significative de l'activité solaire, de l'ordre de 60% d'ici 2030, car les deux champs magnétiques vont se neutraliser au cours du vingt-sixième cycle en question.

Les conséquences de cette étude iconoclaste

La conséquence climatique serait un minimum de Mauder qui signifie pour les profanes un retour à un mini âge glaciaire observé en Europe entre 1645 et 1715. Annie (1868-1947) et Walter Mauder (1851-1928), un couple d'astrophysiciens, avaient étudié les changements de tâches à la surface du soleil au cours du temps. Des tableaux comme celui d'Abraham Hondius avec la Tamise gelée lors de l'hiver 1677 donnent une idée de ce qui nous attend. C'est une très bonne nouvelle pour la vieille Europe.

Sur un plan politique, cette étude qui va à l'encontre du dogme en vigueur est évidemment passée sous silence par nos médias. Un seul a relayé l'information : le site marketwatch.com. L'étude de Zharkova a été publiée par la Royal Astronomical Academy, une chose impensable dans notre pays. La France autiste accueillera comme prévu la conférence sur le changement climatique en décembre prochain. Gageons que ce sera la dernière quand le dogme sera confondu par la réalité. Sale temps pour les « réchauffistes » de tout poil qui nous culpabilisent et nous pourrissent la vie avec leurs réglementations tatillonnes !