La réélection de Vladimir Poutine a donné lieu à un déchaînement antirusse et à un torrent de démocratisme sur les chaînes françaises. Après, qu'elles ne viennent pas donner des leçons d'histoire sur les « glorieuses » campagnes de presse de 1914 qui finiront en boucherie...
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De la part du combo France Télévisions-BFM TV, qui incarne la télé du pouvoir, à la fois visible et profond, rien de surprenant. Mais sur TVL, qui était censée être une télé non pas prorusse mais indépendante de ces pouvoirs, cela interroge.


Après vérification, TVL ne se mêle pas au chœur antirusse, mais dénonce la propagande de France 5. Avec cette sortie délirante, Colosimo tente peut-être de sortir du collimateur dans lequel cette giga boulette l'a fourré :
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Une boulette malencontreuse que France Info corrigera prestement. On sait jamais, avec toutes ces officines de surveillance et de délation...

Dans le concert anti-Poutine actuel, il ne manque plus que les trains à la gare du Nord avec l'inscription « À Moscou ! » et le piège sera total. Les chaînes françaises, publiques ou privées, ont en revanche très vite oublié les massacres qu'elles ont soutenus et encouragés depuis 20 ans en Libye, en Syrie et en Irak.

Villepin le rappelait à BHL fin février 2022, peu après le déclenchement de l'opération militaire russe de récupération du Donbass, un BHL qui avait la mémoire — lui qui n'a que le mot mémoire à la bouche — soudain très courte...


Si Poutine présente un danger pour la France, ce n'est pas pour son peuple, mais bien pour ses élites médiatico-politiques, soumises au diktat israélo-américain.

Pour France 24, c'est Poutine qui a fixé son propre score