Terrorisme étatique : que faire quand on veut punir des parents pour leurs croyances politiques ? On s'en prend à leurs enfants. Des enfants dont les parents étaient sympathisants du mouvement national-socialisme aux Pays-Bas furent raflés dans les jours qui suivirent la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Ils furent jetés dans des camps de concentration, et y vécurent dans des conditions déplorables.
Le 2e jour de la 22e Conférence internationale sur le SIDA qui s'est tenue à Amsterdam le 24 juillet, l'actrice sud-africaine
Charlize Theron a loué la Hollande pour
« ses politiques d'intégration, son multiculturalisme et sa liberté d'expression », affirmant que la capitale néerlandaise était
« un modèle d'ouverture et de tolérance ».Quand il s'agit de servir les desseins de la gauche en matière de guerre culturelle, les Néerlandais sont certes extrémement « tolérants ». Début juin, la ville d'Amsterdam a autorisé des immigrants illégaux à se livrer à des actes de violence et à s'introduire par effraction dans 30 immeubles inoccupés,
voire occupés pour certains. Ça n'a pas eu l'air de déranger le bourgmestre par intérim d'Amsterdam, Jozias van Aartsen, qui s'est même fait prendre en photo avec le porte-parole du mouvement instigateur (
We Are Here). Squatter est une activité illégale aux Pays-Bas.
En Hollande, la « liberté d'expression » s'applique aussi, bien évidemment,
aux pédophiles, et le
trafic néerlandais de pédopornographie est inclus dans cette grande et joyeuse fête de la tolérance.
Toutefois, le gouvernement néerlandais change de discours lorsqu'il a affaire à des personnes dont les croyances s'opposent au credo gouvernemental.
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