Ces dernières semaines, pas moins de sept éminents docteurs tués ou décédés dans des circonstances peu courantes ont été dénombrés (par exemple ici et aussi cet autre article). Mais que Diable avaient en commun ces médecins et quels traitements étaient-ils en train de prescrire ou d'explorer ? Se pourrait-il qu'un des remèdes qu'ils proposaient était une menace pour le cartel pharmaceutique pesant des millions de dollars ? Si c'était le cas, se pourrait-il que des agences du gouvernement et/ou des intérêts privés puissent être mandatés pour persécuter et peut-être même assassiner ces individus ?
Commentaire : Si vous n'êtes pas encore au courant de la récente vague de disparitions et de décès dans le milieu des médecins holistiques [Articles en anglais - NdT] :
- Un docteur en médecine retrouvé assassiné dans sa maison en Floride - C'est le sixième en trente jours, les cinq autres ont été déclarés disparus
- Un cinquième médecin holistique de trente-trois ans retrouvé mort en Floride, ce qui porte le compte à cinq morts et cinq disparus
- Les thérapies holistiques deviennent une profession à haut risque : cinq thérapeutes holistiques ont été retrouvés morts au cours des quatre dernières semaines, et cinq sont toujours disparus
- Troisième décès chez les thérapeutes en santé alternative en deux semaines
La réponse pourrait résider dans la compréhension de la Nagalase, une protéine générée par des cellules cancéreuses et des virus.
La Nagalase est la première cause d'immunodéficience car elle bloque la production naturelle de GcMAF du corps, aussi connu comme le « facteur d'activation des macrophages de liaison de la vitamine D », un composé régulateur du système immunitaire produit naturellement par le corps, qui aide à combattre ce qu'on considère habituellement comme des maladies incurables... Certains chercheurs disent que l'on retrouve de la Nagalase parmi les nombreux autres composants toxiques des vaccins que l'on administre généralement aux enfants, avec entre autres le cocktail rougeole-oreillons-rubéole.
Commentaire: Note des éditeurs francophones
Il semble que le GcMAF soit en effet