Histoire SecrèteS


Star of David

L'incroyable pacte entre sionistes et nazis dans l'entre-deux-guerres

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« Chaïm Arlosoroff, directeur du département politique de l'Agence juive et proche collaborateur de Ben Gourion, a effectué un voyage en Allemagne au mois de juin 1933. Ami d'enfance de la femme de Goebbels, Chaïm Arlosoroff a probablement joué de ses relations pour préparer le terrain de la négociation. À peine rentré en Palestine, plusieurs semaines avant que l'accord ne soit signé, il fut accusé par un journal de s'être "roulé aux pieds d'Hitler" et assassiné, le même jour, sur une plage de Tel-Aviv. »

Tom Segev, historien israélien, in Le Septième Million. Les Israéliens et le Génocide
Dans l'avant propos de son livre Le Pacte germano-sioniste, Jean-Claude Valla écrit :
« Dans aucun manuel d'histoire vous ne trouverez mention d'un pacte germano-sioniste. Seuls quelques livres spécialisés, pour la plupart anglo-saxons ou israéliens, évoquent la réunion du 7 août 1933 au ministère allemand de l'Économie, au cours de laquelle des représentants de l'Agence juive et de l'Organisation sioniste mondiale ont signé avec de hauts fonctionnaires du Reich ce que l'on a appelé pudiquement l'accord de la haavara (du mot hébreu haavara qui signifie : transfert). »

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Des restes de lance de 280 000 ans retrouvés en Ethiopie

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On vient de retrouver les plus vieux restes d'une lance. C'est fantastique et très déconcertant. En effet, cet objet aurait carrément ... 280 000 ans ! Mais, attendez là ... il n'y avait pas d'humain à l'époque ! Cette récente découverte laisse donc pantois les chercheurs et a engendré la naissance de deux hypothèses explicatives qui sont aussi incroyables l'une que l'autre.

La première est que nous nous sommes trompés sur l'histoire de notre espèce : elle serait bien plus ancienne que prévu (80 000 ans de plus à notre actif). Notre arbre généalogique en serait très perturbé. La seconde est plus probable : les ancêtres de notre espèce étaient bien plus malins et adroits qu'on ne le supposait. Ils étaient capables de réaliser des outils très sophistiqués (pour l'époque).

Ce reliquat de lance en obsidienne a été trouvé sur un site éthiopien. Il est alors possible que nos avancées technologiques ne fussent pas si obligatoirement associées avec des modifications anatomiques. Notre intelligence serait alors arrivée avant d'avoir façonné le reste de notre corps. La population devait être assez importante localement. Un « Steve Jobs » qui trouvait une astuce intéressante pouvait alors la partager avec ses comparses. On ne peut encore dire si ces espèces de l'époque chassaient avec ce type de lance.

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Le plus ancien sanctuaire bouddhiste aurait été découvert au Népal

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Des archéologues britanniques ont découvert au Népal ce qu'ils pensent être le plus ancien sanctuaire bouddhiste connu à ce jour. Une découverte qui pourrait apporter des précisions sur la date de naissance du Bouddha. Crédits : ©2013 © Antiquity Publications Ltd.
Des archéologues britanniques ont mis au jour ce qu'ils pensent être le plus ancien sanctuaire bouddhiste connu à ce jour. Situé au Népal, ce sanctuaire vieux de quelques 2560 ans pourrait apporter de précieuses informations sur la période à laquelle a vécu le Bouddha.

C'est dans le petit village népalais de Lumbini -un lieu loin d'être anodin puisqu'il s'agit ni plus ni moins du lieu de naissance présumé du Bouddha- qu'a été découvert ce qui est probablement le plus ancien sanctuaire bouddhiste connu à ce jour.

Daté à -550 ans av. JC, ce sanctuaire ne présente pas seulement un intérêt archéologique, mais également historique. En effet, il apporte un éclairage nouveau sur la période à laquelle le Bouddha (de son vrai nom Siddhārtha Gautama) a vécu.

Pour comprendre l'enjeu de cette découverte réalisée par une équipe d'archéologues britanniques, il faut savoir que l'incertitude règne depuis longtemps quant à la date de naissance du Bouddha. De fait, si certaines sources placent sa naissance à la fin du 7e siècle av. JC (c'est par exemple le cas de la tradition theravāda, la forme de bouddhisme dominante en Asie du Sud et du Sud-Est, qui place la naissance du Bouddha en -623 avant JC), d'autres sources estiment qu'elle a plutôt eu lieu au cours du 6e siècle avant JC (563-483 av. J.-C, selon plusieurs historiens du 20e siècle comme le spécialiste des religions Paul Groner). Voire pour certains historiens, au 4e siècle avant JC (lire l'article « The dating of the historical Buddha: a review article », publié en 1996 dans le Journal of the Royal Asiatic Society).

Footprints

États-Unis : découverte d'une espèce de dinosaure géant inconnu

Des paléontologues américains ont découvert le fossile d'un dinosaure carnivore géant inconnu. Il appartient à la famille des carcharodontosaures et aurait empêché les tyrannosaures de se développer durant son règne. Il a été nommé Siats meekerorum.

Dinosaure Xaveropterus
© ru.wikipedia.org/Ghedoghedo/cc-by-sa 3.0
Le fossile de Siats décrit appartenait à un spécimen de près de 10 mètres, pesant au moins quatre tonnes. En dépit de ce gigantisme, les os sont ceux d'un jeune animal. Ils estiment qu'un animal adulte pouvait atteindre la taille d'Acrocanthosaurus. Les deux espèces rivalisent pour la place du deuxième plus grand dinosaure carnivore d'Amérique du Nord, derrière le féroce Tyrannosaure rex, qui pouvait avoisiner les sept tonnes.

Il s'agit de la première découverte de ce genre depuis ces 63 dernières années.

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La source principale des dolérites tachetées de Stonehenge a été localisée

Les chercheurs ont découvert dans l'ouest du Pays de Galles, une autre source majeure de l'un des types de pierre bleue trouvées à Stonehenge.

 Les dernières recherches montrent que la majorité des dolérites tâchetées proviennent de Carn Goedog.
© National Museum Cardiff Les dernières recherches montrent que la majorité des dolérites tâchetées proviennent de Carn Goedog.
Les experts avaient fait valoir que les grosses pierres Sarsen de Stonehenge provenaient des alentours de la plaine de Salisbury. Cependant, l'origine des petites pierres bleues faisait l'objet de recherches depuis de nombreuses années, bien qu'il y ait eu peu d'approfondissement depuis la recherche menée par le géologue Henry Herbert Thomas en 1923 au sujet de leurs sources originales.

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Un enfant de 24 000 ans livre le secret des Amérindiens

Selon les chercheurs qui sont parvenus à analyser le génome de l'enfant, les Amérindiens partagent des gènes avec les Européens.

C'est un enfant mort voici 24 000 ans près du lac Baïkal qui a vendu la mèche : les Indiens d'Amérique ne sont pas exclusivement d'origine asiatique, ils partagent aussi des gènes avec les Européens. Des chercheurs ont prélevé un minuscule échantillon (0,15 g) du squelette de cet enfant dont les restes ont été retrouvés sur le site paléolithique de Mal'ta, découvert en Sibérie à la fin des années 1920. Et ils sont parvenus à en extraire de l'ADN pour analyser son génome, "le plus ancien jamais décrypté à ce jour pour un homme anatomiquement moderne", souligne l'étude, publiée mercredi dans la revue britannique Nature. Ils l'ont ensuite comparé au génome des humains actuels, en particulier à celui des populations amérindiennes dont la généalogie reste très controversée, pour tenter d'élucider le mystère de leurs origines.

La théorie dominante depuis près de 100 ans veut que les premiers humains à avoir posé le pied en Amérique soient des tribus asiatiques qui auraient franchi le Pacifique en passant par le détroit de Béring, à la faveur d'une glaciation qui avait fait baisser le niveau de la mer entre les côtes sibériennes et l'Alaska. Or, si les Amérindiens semblent effectivement être génétiquement proches des populations d'Asie orientale, d'autres indices sont venus semer le trouble. Il s'agit notamment de crânes présentant des caractéristiques incompatibles avec une morphologie asiatique et appartenant à des hommes vivant bien avant l'arrivée des Européens suivant la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb.

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Des peintures rupestres trouvées au Brésil

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Un grand chat et sa proie. Image: Wildlife Conservation Society (WCS)
Alors qu'ils suivaient des pécaris à lèvres blanches et collectaient des données environnementales dans les forêts reliant les biomes du Pantanal au Cerrado au Brésil, une équipe de chercheurs de la Société de conservation de la faune (WCS) et une ONG partenaire locale, Instituto Quinta do Sol, ont découvert des dessins rupestres faits par des sociétés de chasseurs-cueilleurs il y a des milliers d'années.

Les dessins font l'objet d'une étude publiée récemment par les archéologues Rodrigo Luis Simas de Aguiar et Keny Marques Lima dans la revue Revista Clio Arqueológica.

La diversité des interprétations, selon les auteurs, contribue de manière significative à notre connaissance de l'art rupestre de la région du plateau de Cerrado qui borde le Pantanal.

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Des fouilles mettent au jour un monastère du XIe siècle à Aurillac

Le quartier Saint-Géraud d'Aurillac a fait l'objet de fouilles préventives qui ont permis de mettre au jour un monastère du XIe siècle dans un état de conservation exceptionnel.

Les archéologues ont mis au jour le monastère de l’abbaye bénédictine d’Aurillac, fondée par le comte Géraud au IXe siècle.
© France 3Les archéologues ont mis au jour le monastère de l’abbaye bénédictine d’Aurillac, fondée par le comte Géraud au IXe siècle.
C'est en effectuant les fouilles archéologiques préalables au projet immobilier de l'îlot Saint-Géraud à Aurillac que les vestiges d'une des abbayes les plus renommées de l''Europe du XIe siècle ont été découverts.

L'équipe d'archéologues a ainsi mis au jour les vestiges d'un cloître et des bâtiments qui le bordaient (réfectoire, scriptorium) ainsi que des bases de colonnes et des chapiteaux.

Les sondages qui ont précédé cette découverte avaient mis en évidence la présence de ces vestiges. La surprise ne réside pas tant dans la découverte du cloître, contre une église abbatiale, que dans leur excellent état de conservation.

Star of David

Pourquoi Israël a assassiné Arafat

Traduction : Marie Meert, Info-Palestine.eu

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Il semble qu'il y ait toujours pas mal de monde qui préférerait que la mort d'Arafat continue d'être traitée comme un mystère plutôt que comme un assassinat.


Pourtant on peut difficilement éviter de tirer la conclusion de la découverte révélée la semaine passée par des scientifiques suisses, à savoir que le corps du leader palestinien contenait des taux élevés d'un isotope radioactif, le polonium-210. Une recherche non concluante et beaucoup plus restreinte réalisée par une équipe russe et publiée juste après l'annonce helvétique, suggère également qu'Arafat est mort des suite d'un empoisonnement.

Il est temps d'affirmer l'évidence : Arafat a été tué. Et les soupçons portent directement sur Israël.

Seul Israël avait les moyens, les antécédents, l'intention et les motifs déclarés. En l'absence d'empreintes digitales israéliennes sur l'arme du crime, il n'y a pas suffisamment de preuves pour convaincre un tribunal, mais il y a assez d'indices pour qu'Israël soit reconnu coupable devant le tribunal de l'opinion publique mondiale.

Book 2

Meilleur du Web: Interview de James W. Douglass, auteur de « JFK et l'indicible : Pourquoi Kennedy a été assassiné... »

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Le 50e anniversaire de l'assassinat du président John Fitzgerald Kennedy ce 22 novembre est l'occasion pour nous de revenir sur les parallèles entre ces deux événements, au travers du livre de James W. Douglass "JFK et l'Indicible : Pourquoi Kennedy a été assassiné...". Nous publions ci-dessous l'interview exclusive de l'auteur, réalisée par ReOpen911 pour la sortie de son livre en France aux Éditions Demi Lune.

Pour commencer, pouvez-vous éclairer nos lecteurs sur votre parcours et les raisons qui vous ont amené à travailler sur l'assassinat de Kennedy ?

James Douglass :
Je suis un disciple de Jésus, de Gandhi, de Dorothy Day et de Martin Luther King. Je m'attache à rechercher le règne de la justice et de la paix sur la terre, à travers des expériences non violentes par la force de la vérité et de l'amour. JFK et l'Indicible est une expérience de la vérité, telle que la comprenait Gandhi. Cela signifie rechercher inconditionnellement la vérité, aussi patiemment que possible et sans se préoccuper des conséquences.

Je suis venu à JFK à travers MLK (Martin Luther King). Lorsque King a été assassiné en avril 1968, j'étais professeur de religion à l'Université d'Hawaï à Honolulu. Lorsque mes étudiants et d'autres amis ont formé la Résistance Hawaïenne, je me suis joint à eux. Nous avons été emprisonnés pour nous être assis devant un convoi de troupes partant pour le Vietnam. Ce fut mon baptême de la non-violence comme mode de vie, et aussi le début de ma recherche de la vérité sur le meurtre de King. L'assassinat du Dr King soulève des questions parallèles à ceux de Malcolm X et de John et Robert Kennedy. J'ai commencé à enquêter sur ces quatre assassinats en 1996. J'ai écrit le livre sur JFK d'abord, parce qu'il est mort le premier. Je vois leur histoire comme les quatre dimensions d'un mouvement qui a transformé les États-Unis et le monde, et leur assassinat comme quatre efforts successifs pour annihiler une vision d'espoir.