En Angleterre, les médias reviennent sur le "Paedophile Information Exchange" (PIE), un lobby pédophile dont de nombreux membres ont fini en prison dans les années 80, pour avoir commis des actes pédophiles. Si on en reparle, c'est parce qu'outre les protections évidentes dont a bénéficié le PIE, on apprend aujourd'hui qu'il a carrément reçu des fonds publics. Et on cherche à comprendre pourquoi tant de déférence envers un groupe qui réclamait l'abaissement de la majorité sexuelle à l'âge de 4 ans. Le Paedophile Information Echange regroupait notamment quelques politiciens de droite, mais on apprend cette semaine que la « gauche » a aussi
contribué au financement de ce groupe de pédophiles, ainsi qu'à celui de sa publication, le Magpie. En effet, un département du Home Office (affaires intérieures), la Volontary Services Unit,
a versé des subventions au PIE. Ainsi qu'à un autre organisme, le Paedophile Action for Liberation,
qui a ensuite été absorbé par le PIE.
Apparemment, les pédophiles pouvaient carrément passer des petites annonces via le Magpie. C'est d'ailleurs ce qui a contribué à intriguer la justice au sujet du PIE. Qui, il faut le dire, a démarré ses activités publiques avec une conférence du sénateur pédophile hollandais
Edward Brongersma[1]. Selon lui, les viols d'enfants sont "bénéfiques" aux victimes quand le pédophile montre de "l'affection", et Brongersma a propagé cette théorie dans le Magpie également.
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