Commentaire: Avant, pendant, après les élections, la décatie Clinton nous donne un bel exemple de pathologie mentale ; de celle que se trimbale dans son ensemble la clique politicienne, à divers degrés, dans ses multiples variations, américaine ou pas. Il faut dire ici que la harpie joue dans la cour des grands et nous donne une inestimable et fameuse démonstration de que l'on appelle "déni". Qui est, rappelons-le, « un phénomène de refus de prendre en compte une part de réalité externe inacceptable, c'est-à-dire, non métabolisable sur le plan psychique. (...) En psychiatrie, il représente une modalité défensive permettant parfois la coexistence de représentations isolées. La clinique nous confronte régulièrement à différentes formes de déni, relevant d'élaborations psychopathologiques multiples. Lorsque le déni n'est pas structurel, comme dans le cas de la perversion mais conjoncturel, il apparaît réversible et accessible aux soins. »
Alors, structurel où conjoncturel pour Hillary ? Voyons voir... :
Les efforts incessants et soutenus d'Hillary Clinton pour expliquer sa défaite à la course à la présidence frisent le ridicule et indisposent même ses alliés.
Difficile de battre Hillary Clinton dans l'art du déni. Si elle avait investi autant d'efforts dans une course efficace à la présidence que dans la recherche approfondie des raisons de ses insuccès, elle serait à la Maison Blanche.
Mais ce n'est pas Hillary. Hillary ne fait pas d'erreurs. Elle est la victime des les gens qui l'entoure, des organisations où elle oeuvre, des partis politiques et, ultimement, de l'électorat. Tous ses problèmes viennent de l'extérieur. Elle n'y est pour rien.
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