Santé et Bien-êtreS


Heart

De la vitamine C contre les hémorragies cérébrales ?

Agrumes
© Inconnu

Des niveaux de vitamine C bas ont été relevés dans le sang de patients ayant eu une hémorragie cérébrale.


Voici de nouvelles raisons de faire le plein de vitamine C : d'après une petite étude du CHU de Rennes, des personnes ayant un déficit en vitamine C seraient plus à risque de faire une hémorragie cérébrale. Ces résultats qui seront présentés au congrès annuel de l'American Academy of Neurology, entre le 26 avril et le 3 mai 2014 à Philadelphie (1).

La vitamine C est une molécule antioxydante qui est naturellement présente dans de nombreux fruits et légumes : orange, citron, pamplemousse, papaye, chou...

Dans cette étude réalisée au CHU de Rennes, les chercheurs ont voulu savoir si un déficit en vitamine C représentait un facteur de risque pour une hémorragie cérébrale. En effet, en cas de scorbut, la maladie induite par une carence sévère en vitamine C (<2mg/L), des hémorragies cérébrales peuvent avoir lieu.

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HAL9000

Une étude découvre l'imposture de la chimiothérapie

Suite à toute opération de chimiothérapie, les tumeurs cancéreuses se développent de plus en plus rapidement. Accidentellement, des chercheurs Aux États-Unis ont découvert récemment la vérité fatale sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont assez dures à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Selon cette étude, la chimiothérapie tend à induire la libération d'une protéine (WNT16B) dans les cellules saines qui aide à favoriser la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

cancéreuse
© Inconnu
L'inutilité de la chimio dans le traitement et la guérison du cancer

Inutile plutôt dangereux si on croit les découvertes de cette étude, le traitement chimio active surtout la croissance et l'étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée.

On savait déjà que les traitements à base d'une chimio n'étaient qu'une vaste escroquerie, mais à travers cette étude nous pourrions en avoir la preuve décisive. Non seulement la chimiothérapie, étant la méthode standard de traitement du cancer actuellement,est, selon l'étude un fiasco total. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui alimente en vérité les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

Le scandale du siècle est déjà dénoncé par le Dr. André Gernez depuis des décennies !!!


Commentaire : Les Maladies dégénératives - Les Propositions du Docteur André Gernez - Éditions Kontre Kulture


Commentaire: Articles de fond sur le cancer et l'alimentation

Gary Taubes : les recommandations nutritionnelles rendent les gens malades
Cancer et études frauduleuses
La (malfaisante) industrie du cancer dévoilée par des médecins
Le régime paléolithique revisité
Leo Galland : The Fat Resistance Diet
Extrait de « FAT - Pourquoi on grossit », de Gary Taubes
Un régime fort en glucides lié à la progression du cancer ?
La vitamine D, le cancer du sein et Big pharma, ou le bon la bête et le truand !
La cétose et les cétones : comment une alimentation riche en graisse améliore le fonctionnement du cerveau
L'Épidémie d'obésité, gracieusement offerte par l'industrie agroalimentaire
L'ADN « poubelle » viral, le régime cétogène qui améliore l'ADN et les effets cométaires
Pourquoi le lait est si mauvais pour la santé
Un lien évident entre le sucre et le cancer
La (malfaisante) industrie du cancer dévoilée par des médecins
Une présentation du régime cétogène


Hiliter

Édition spéciale : le dépistage du cancer du sein est dangereux

Cela fait tout drôle, mais vous pouvez aujourd'hui lire dans les grands médias ce que je vous ai écrit, sous le sceau du secret, sur les dangers du dépistage du cancer du sein [1].

Dépistage cancer du sein
© Inconnu
La vérité éclate au grand jour !!

Une étude canadienne de grande ampleur vient de tomber. Publiée dans le British Medical Journal, elle confirme point par point mes très fermes mises en garde [2] :
  1. le dépistage du cancer du sein ne diminue absolument pas le nombre de morts par cancer du sein ;
  2. il augmente de façon drastique (+ 22 %) le risque de se faire diagnostiquer un pseudo-cancer qui n'aurait jamais évolué ou aurait disparu spontanément. Comme ces surdiagnostics déclenchent toujours de lourds examens et souvent des traitements, ils augmentent globalement le risque de souffrance, d'invalidité, et même de mortalité parmi les femmes qui se font dépister par mammographie.
Par conséquent, le dépistage systématique du cancer du sein par mammographie doit être formellement déconseillé.

Une étude très fiable

Les résultats de cette étude sont très sûrs. Elle a été réalisée sur près de 90 000 femmes âgées de 40 à 59 ans, suivies pendant 25 ans. Elle a montré que les femmes qui avaient subi des mammographies annuelles pendant 5 ans avaient tout autant de risques de mourir d'un cancer du sein que celles ayant seulement bénéficié d'une simple auscultation.

Par contre, elle confirme que le dépistage entraîne de nombreuses erreurs de diagnostic, en particulier des micro-tumeurs qui sont détectées et qui déclenchent tout un protocole de traitement alors qu'elles n'auraient jamais évolué en cancer du sein, ou auraient spontanément disparu.

Beaker

Les produits chimiques nuisent au cerveau des enfants, disent des chercheurs

Des produits chimiques pourraient être à l'origine de la hausse récemment constatée des troubles du développement chez l'enfant, préviennent des chercheurs américains.

Cerveau chimie
© La Presse
Ces problèmes incluent l'autisme, le trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention et la dyslexie.

Les scientifiques de l'École de santé publique de l'université Harvard et de l'hôpital Mount Sinai s'inquiètent du nombre élevé d'enfants qui, en l'absence d'un diagnostic clair, souffrent de problèmes d'attention, d'un retard de leur développement et d'une piètre performance scolaire.

Lors d'une première étude, en 2006, ces mêmes chercheurs avaient identifié cinq produits chimiques susceptibles d'interférer avec le développement du cerveau. La nouvelle étude rafraîchit les données concernant ces cinq substances et en ajoute six autres: le manganèse, le fluorure, le chlorpyrifos et le DDT (des pesticides), le tétrachloroéthène (un solvant) et l'éther diphénylique polybromé (un produit ignifuge).

Syringe

Témoignage du Dr Didier Tarte, médecin du travail, sur la tragédie vaccinale

Voici l'exposé du Dr Didier Tarte, médecin du travail, dans le cadre de la grande conférence « Vaccins, cancers etc. : les dangers d'une médecine autoritaire », qui s'est tenue le 29 novembre dernier au Palais des Congrès de Namur.

Vaccisn illustration
© Ygreck.ca
Témoignage sur un aspect de mon expérience au cours de mes 13 années d'activité en tant que médecin du travail.

En tant que médecin du travail dans un Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale, j'ai été amené à suivre une formation de 2 ans qui s'est achevée avec un examen et la présentation en Octobre 2003 d'un mémoire en rapport avec mon activité sur le terrain, auprès des agents de la fonction publique.

J'ai décidé de présenter un mémoire sur la situation de santé de 57 ripeurs éboueurs en activité dans une communauté de communes.

J'ai en effet pris en charge ces agents en 2001 et j'étais préoccupé par les troubles musculo- squelettiques qui les touchaient entraînant des arrêts de travail répétés et parfois prolongés. La santé de ces agents était préoccupante et pour certains il y avait même une menace pour leur emploi. De plus, cette situation posait de sérieux et difficiles problèmes pour la gestion de ce groupe concernant les congés et les remplacements ainsi que pour la formation des équipes de trois personnes, un chauffeur et 2 ripeurs, autour de chaque véhicule.

Pour ce mémoire, j'ai suivi une procédure en essayant de retrouver l'historique des symptômes de chacun des agents le plus en amont possible à partir des visites annuelles réalisées par les précédents médecins du travail qui suivaient ce groupe.

Heart - Black

Cancer du sein : une nouvelle étude confirme que le dépistage par mammographie ne sert à rien !

Avant d'être implémenté dans de nombreux pays occidentaux, le dépistage par mammographie des cancers du sein a été évalué dans des essais contrôlés au cours des années 60 puis des années 80 avec, à ces époques, des résultats positifs, une baisse de la mortalité par cancer du sein de 15% à 25% chez les femmes de 50 à 69 ans.

Mais les années 1980 sont dorénavant loin, 35 ans en arrière, et les traitements du cancer du sein ont beaucoup évolué. Voulant évaluer si ce dépistage ancestral continuait à présenter un intérêt pour les femmes ou les soumettaient plutôt à un risque accru de sur-diagnostic, ainsi que cela avait été suggéré par de récents travaux, des scientifiques Canadiens publient les résultats d'd'une étude qui fera autorité du fait de sa randomisation, de la forte utilisation de la mammographie (5 par an), de la compliance des patientes et de la durée de suivi, 25 ans. C'est donc une étude magistrale pour répondre à la question de l'intérêt du dépistage du cancer du sein par mammographie.

En France, le dépistage du cancer du sein reste une priorité du ministère de la santé, sourd aux résultats récents et aux remises en causes. Ce dépistage occupe et emploi un nombre considérable de personnels et de centres qui « vivent » de ce dépistage et agissent dorénavant comme autant de frein à toute évolution de la pensée et de l'action scientifique. Jamais aucune étude scientifique digne de ce nom n'a évalué l'intérêt de ce dépistage dans notre pays malgré les sommes considérables investies dans cette activité.

Megaphone

Feu vert pour la culture du maïs OGM TC1507 dans l'UE

Info catastrophe, retour des OGM en France par la force ! Bonnes, délicieuses et joyeuses chimio en perspectives...

Manifestation anti OGM
© Inconnu
Un nouvel OGM, le maïs TC1507 du groupe américain Pioneer, va être autorisé à la culture dans l'UE malgré l'opposition de 19 pays dont la France, car les Etats membres ne sont pas parvenus mardi à réunir une majorité pour la bloquer, a annoncé la Commission européenne. « Il n'y a pas de majorité qualifiée » contre cette autorisation de culture, a annoncé la présidence grecque de l'UE à l'issue d'un débat public entre les ministres des Affaires européennes à Bruxelles. « La règle veut que si le Conseil (des Etats) ne prend pas de décision, la Commission européenne devra approuver la culture dans les prochaines 24 heures », a expliqué le service juridique du Conseil.

Ambulance

Epidémie généralisée de chikungunya aux Antilles

Image
Seule la femelle du moustique tigre, ici à l'image, transmet le virus du chikungunya d'homme à homme.
Plusieurs îles des Antilles, dont la Martinique et la Guadeloupe, sont en alerte sanitaire alors que le virus du chikungunya gagne du terrain depuis fin décembre. Cette situation épidémique a poussé le directeur général de la Santé à se rendre lundi et mardi dans les zones infectées.

Le virus du chikungunya fait de nouveau parler de lui dans les Antilles françaises. Alors qu'on signalait sa présence inédite sur l'île de Saint-Martin, début décembre, l'Institut national de veille sanitaire (InVS) alerte depuis quelques jours sur une recrudescence de cas. Plusieurs départements et collectivités d'Outre-mer des Antilles sont concernés par l'épidémie : Saint-Martin, Saint-Barthélemy, la Martinique et la Guadeloupe.

Selon le dernier point de l'InVS mis en ligne vendredi, Saint-Martin est l'île la plus touchée. Avec 1 025 cas "cliniquement évocateurs", 601 "cas probables ou confirmés" et un décès enregistré, elle a été placée en état "épidémie généralisée". "La circulation du virus reste généralisée avec une stabilisation du nombre de cas cliniquement évocateurs", écrit l'Institut sur son site.

Cupcake Pink

Les sucres ajoutés liés à une plus grande mortalité cardiovasculaire

La consommation de sucre ajouté est liée à une plus grande mortalité de causes cardiovasculaires, selon une étude américaine publiée dans le JAMA Internal Medicine.

Les recommandations pour la consommation de sucre ajouté varient. L'Institute of Medicine américain recommande qu'elle représente moins de 25% du total quotidien des calories, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande moins de 10% et l'American Heart Association recommande de la limiter à moins de 100 calories par jour pour les femmes et 150 pour les hommes.

Les principales sources de sucre dans l'alimentation nord-américaine sont les boissons sucrées, les pâtisseries, les boissons aux fruits, les desserts lactés et les bonbons. Une canette de soda contient environ 35g de sucre, soit environ 140 calories.

Evil Rays

Flashback Radio-Canada découverte - Dangers des ondes électromagnétiques

Ondes électromagnétiques
© Inconnu

Documentaire sur les ondes électromagnétiques et micro-ondes (cellulaire et wifi).