Santé et Bien-êtreS


Bug

Une dangereuse « super-bactérie » découverte dans les bassins olympiques de Rio

A moins d'un mois des Jeux olympiques de Rio de Janeiro, des études ont découvert dans les plans d'eaux qui accueilleront notamment les épreuves de voile, une bactérie ultra-résistante et qu'il est quasiment impossible d'éradiquer. Gouvernement local gangrené par la corruption et au bord de la faillite, recrudescence de la violence dans les rues, forces de l'ordre et pompiers mal payés et en sous effectif, virus Zika... autant de détails qui viennent déjà entacher l'événement sportif.

brazil
© GoogleD'où vient cette bactérie ?
Récemment, l'agence Reuters s'est procurée les résultats d'une étude scientifique qui montre qu'une super bactérie, résistante à tous les antibiotiques, est présente non seulement sur les plages de Rio de Janeiro et dans les cours d'eau, mais également dans les bassins censés accueillir les épreuves olympiques de voile, de natation, d'aviron et de canoë.


Commentaire : D'où vient cette bactérie ? Pourquoi la découvre-t-on maintenant, juste avant les Jeux Olympiques ? Serait-ce pour nuire au Brésil ? On sait que ce pays est une cour de jeu "parfaite" pour les compagnies criminelles comme Monsanto. Cette bactérie serait-elle une mutation, un "cadeau" biotechnologique offert par des gens mal-intentionnés ?


Commentaire: Lire aussi :


X

Kinder pas si bon que ça : son huile minérale est cancérigène...

Quelle surprise, la marque Kinder ne proposerait pas uniquement uniquement des friandises pleines d'huile de palme, il y aurait également dans la recette de l'huile minérale cancérigène, plus exactement des hydrocarbures d'huiles minérales (MOH) « peuvent agir comme des cancérigènes génotoxiques (c'est-à-dire qu'ils peuvent endommager l'ADN, le matériel génétique des cellules, et également provoquer le cancer), tandis que certains MOH 'saturés' peuvent s'accumuler dans les tissus humains et induire des effets indésirables pour le foie » comme l'explique l'article. L'Allemagne tire la sonnette d'alarme: un agent alimentaire présent dans la composition des célèbres barres de chocolat Kinder serait potentiellement cancérigène...

kinder
La célèbre entreprise Ferrero doit sans doute s'inquiéter de ces accusations et dans son sillage des millions d'inconditionnels de la marque italienne également. Il faut dire que la maison incarne un acteur incontournable de la chocolaterie populaire: Nutella, Ferrero Rocher, Mon Chéri et les multiples déclinaisons de sa gamme Kinder enchantent petits et grands depuis plus de soixante ans.

Commentaire: Lire aussi :


Cow Skull

Une bactérie tueuse dans le golfe du Mexique ?

bactérie tueuse dans le golfe du Mexique
© Flickr/ Amanda Shoulson
Une dangereuse bactérie a fait son apparition dans le golfe du Mexique. Les cas d'infection sont rares mais peuvent provoquer la perte d'un membre voire la mort. Les locaux estiment que c'est la marée noire de 2010 qui a engendré la bactérie.

La nouvelle menace s'appelle Vibrio vulnificus et frappe d'horreur les habitants et ceux qui ont choisi le golfe du Mexique comme destination touristique cette année. Les citoyens et les autorités locales s'accordent sur le fait que la faute revient à l'entreprise British Petroleum (BP), responsable de la fuite de pétrole qui a eu lieu dans la région en 2010.

"J'ai une théorie. On dit que la bactérie Vibrio a toujours été présente dans les eaux ici. Mais moi, j'ai grandi ici et je n'ai pas eu de problèmes avant la marée noire de BP", a déclaré le directeur des installations de traitement des eaux usées dans la région Kim Farve, cité par The Guardian.

L'infecté Jocko Angle partage ce point de vue. La jambe de Jocko, qui habite en bord de mer, a atteint des dimensions terrifiantes, doublant littéralement de volume. Il a fondé une communauté sur Facebook où il parle de sa maladie et des cas d'infection similaires.

Cow

Vive le beurre !

beurre
© Inconnu
À l'heure où certains gouvernements (que je ne nommerai pas) envisagent de taxer les produits alimentaires contenant de l'huile de palme ou des dérivés de cette dernière et alors qu'au même moment des directives issues de je ne sais quels comités « ad hoc » recommandent vivement d'éviter les graisses alimentaires riches en acides gras saturés, une catégorie dont fait partie l'huile de palme, le manque d'évidence d'effets délétères sur la santé de l'huile de palme - non hydrogénée - a conduit un grand nombre de scientifiques à reconsidérer les effets des acides gras saturés sur la santé humaine.

Il est convenu que les acides gras « trans » apparaissant fatalement lors de l'hydrogénation partielle des huiles végétales contenant des acides gras mono- ou poly-insaturés sont toxiques pour la santé et en particulier constituent un facteur aggravant les maladies cardiovasculaires. Cette pratique industrielle devrait tout simplement être formellement interdite. Or une telle décision concernant la santé publique est d'ordre politique et se heurte au lobby puissant des industriels de la malbouffe. L'hydrogénation des acides gras issus des huiles végétales a pour seul effet de mieux conserver les aliments sans qu'ils rancissent. Il s'agit donc d'un argument purement économique ! Tant pis pour la santé des consommateurs...

Quand j'étais enfant ma mère faisait la cuisine avec du beurre et éventuellement de la graisse de porc. Nous faisions notre beurre avec du lait de vache cru passé à l'écrémeuse manuelle à plateaux coniques et l'étape suivante était la vieille baratte en bois pour récupérer sur les palettes du battoir le beurre dont l'odeur rappelait celle des fleurs des champs. Depuis cette époque le beurre a été remisé au rang des produits dangereux sous prétexte qu'il contient trop d'acides gras saturés et que c'est mauvais pour la santé ...

Une méta-étude vient de paraître dans le journal scientifique PlosOne (voir le lien, en accès libre) concernant ces supposés effets toxiques du beurre sur la santé humaine. Neuf bases de données ont été analysées par deux groupes indépendants de biologistes afin de minimiser les erreurs tendancieuses d'interprétation. Elle a concerné au total 636151 personnes de 15 pays différents. Au cours des études il y eut 28271 décès dont 9783 à la suite d'accidents cardiovasculaires et 23954 cas de diabète.
Il est apparu que l'ingestion quotidienne moyenne de 14 g de beurre (une grosse cuillère à soupe) n'avait aucune incidence sur les maladies cardiovasculaires ni sur les accidents coronariens ni encore sur les accidents vasculaires cérébraux et qu'elle ne pouvait pas être corrélée avec les autres causes de décès. Cette ingestion quotidienne de beurre diminuait en outre l'apparition de diabète de type 2 quoique modestement.
Si les acides gras saturés (60 % du total des acides gras du beurre) augmentent la teneur sanguine en LDLs bien d'autres effets bénéfiques du beurre doivent être pris en compte pour réhabiliter l'usage de cette matière grasse en cuisine et pas seulement sur les toasts au petit-déjeuner. Le beurre et les autres produits lactés, yaourts et fromages inclus, ont de nombreux effets appréciables sur la santé générale qui annihilent le soit-disant effet sur l'augmentation des LDLs circulantes. En forme de conclusion il faut oublier les recommandations des autorités sanitaires soumises aux lobbys des industriels de la malbouffe et réhabiliter l'utilisation du beurre dans la cuisine de tous les jours !

Commentaire: Le beurre est une excellente source d'acide gras bénéfiques pour la santé. Il vaut mieux idéalement le consommer cru (donc non pasteurisé), fabriqué avec le lait de braves bêtes mangeant de l'herbe et issues d'élevages respectant la charte bio. Pour les personnes intolérantes aux produits laitiers, on pourra toujours tirer le ghee de ce beurre-là, et enlever ainsi les molécules potentiellement allergisantes de ce merveilleux produit.

Pour savoir comment nous en sommes arrivés là :


Magnify

Micro-plastification pour tout le monde


Comment: A l'heure où l'on trouve des polluants dans les fosses océaniques les plus profondes de la planète, du plastique dans la banquise, dans la bière, le miel et les moules, du glyphosate dans l'air que nous respirons et dans la pluie qui nous inonde, la question n'est pas de savoir quels sont les risques avérés pour ceci ou cela, dans telle ou telle conditions, avec telle ou telle dose de tel ou tel produit, et bla bla et bla bla.

La question qui monte aux lèvres, devant l'énormité d'une situation planétaire catastrophique, où les corps sont tout aussi pollués que les esprits, est la suivante : pour combien de temps la race humaine en a t-elle donc encore ?


Si les microplastiques sont une plaie pour l'environnement, en particulier les écosystèmes marins, leur impact sanitaire via l'alimentation demeure indéterminé. S'essayant à une première analyse, publiée jeudi 23 juin, l'autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) relève de nombreuses incertitudes.
Plastique dans océan
© Timothy TownsendLes océans malades du plastique
Omniprésents dans l'environnement, les microplastiques, qu'ils aient été produits comme tels ou qu'ils soient le fruit de la dégradation de plus gros morceaux, s'accumulent dans la chaîne trophique. D'abord dans le plancton, puis dans le poisson, jusqu'aux oiseaux et mammifères marins. Plusieurs études ont même révélé leur présence dans le sel, la bière et le miel, ainsi que dans la viande, lorsque les élevages sont nourris avec de la farine de poisson.

Si les microplastiques constituent une menace pour la vie marine, leur impact sur la santé humaine demeure totalement inconnu, et leur présence dans les produits alimentaires ne fait l'objet d'aucune réglementation. Saisie par l'Institut fédéral allemand d'évaluation des risques (BfR), l'Efsa s'est pour la première fois penchée sur le sujet, livrant une analyse pleine d'incertitudes en raison du peu d'études scientifiques menées à ce sujet.

Jusqu'à 7 particules par poisson

Selon les quelques travaux disponibles, le nombre moyen de particules de microplastique serait compris entre 1 et 7 par poisson. Pour les crevettes, on en trouve 0,75 par gramme, contre 0,2 à 4 par gramme de bivalve - moules, huîtres, palourdes, etc.

Or nul ne sait vraiment ce que deviennent les microplastiques lorsqu'ils sont dans l'estomac: certaines études ont suggéré qu'au-dessous de 150 microns (0,15 millimètre), certaines (environ 0,3%) pourraient franchir la barrière intestinale et se retrouver dans l'organisme. En-dessous de 1,5 micron, ces particules pourraient même pénétrer dans les organes. Il n'existe en revanche aucune donnée quant à leur métabolisme ou à leur excrétion.

On en sait encore moins sur les nanoplastiques, d'une taille comprise entre 1 et 100 nanomètres (millionièmes de millimètre). Certaines études ont montré qu'ils pouvaient pénétrer dans les cellules, mais les conséquences sanitaires en sont inconnues. Présents dans l'environnement, ces nanoplastiques pourraient aussi se former dans le système digestif, par dégradation des microplastiques, là aussi sans certitude.

Bug

Maladie de Lyme : une pandémie ?

tique
© Lennart Tange/Flickr La tique est la principale responsable de la transmission de la maladie de Lyme
Certains parlent de "pandémie". Le nombre d'infectés par la maladie de Lyme est régulièrement revu à la hausse. Transmise par morsure de tique, la borréliose est encore peu connue et souffre de tests déficients. Les autorités françaises sont très à la traîne.

Etre mordu par une tique, c'est banal pour qui cueille ses champignons en forêt. Perchée sur une herbe haute, elle plante ses crocs et déverse ses bactéries sous la peau. Or quelques uns de ces acariens, ceux porteurs de la bactérie Borrelia, transmettent une pathologie grave, la maladie de Lyme. Une infection affectant le cerveau, le coeur, le système immunitaire... et qui est pourtant encore très mal connue.

Voilà qui a le don d'hérisser le poil du Prix Nobel de médecine Luc Montagnier, qui pointe une "totale ignorance sur le sujet". "Il est lamentable que les pouvoirs publics et les autorités de santé n'aient pas une politique cohérente sur la maladie de Lyme", martèle le codécouvreur du sida lors d'un colloque organisé ce dimanche à Strasbourg.

Commentaire: On pourra aussi consulter les articles suivants :


Ambulance

Zika : flambée du virus à Porto Rico

moustique
© PongMoji
L'infection par le virus Zika augmente rapidement à Porto Rico. Les autorités sanitaires américaines craignent une accroissement du nombre de femmes enceintes infectées.

Les autorités sanitaires américaines s'inquiètent : vendredi dernier , elles ont déclaré un taux d'incidence d'infection au virus Zika de 1,1% pour la semaine du 5 au 11 juin, contre 0,5% entre le 3 avril et le 5 juin à Porto Rico. Le Dr Tom Frieden, directeur des Centres de Contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui juge cette augmentation « préoccupante », a déclaré à l'AFP que « la courbe des infections monte régulièrement ».

Ces indications se basent sur une étude de 12.777 échantillons de sang obtenus dans le cadre d'une campagne de dons de sang sur le territoire portoricain. Si les donneurs de sang ne sont pas nécessairement les plus représentatifs, le Dr Frieden craint cependant une augmentation des infections dans toute la population : « les infections par le virus Zika qui touchent principalement les femmes enceintes pourraient faire des milliers de victimes dans les prochains mois, ce qui conduirait à des dizaines voire des centaines de cas de naissance d'enfants atteintes de microcéphalie dans l'année », souligne ce dernier.

Commentaire: Reprise d'un commentaire, avec modification : Nous apprenons que Zika peut-être le déclencheur de certaines maladies, dans certaines conditions. Ils se trouve que ces maladies font aussi partie des effets secondaires générés par les vaccins : épilepsie, schizophrénie, TDHA, autisme. Il serait intéressant de faire un comparatif entre les campagnes classiques de vaccination des populations, les zones ou le virus sévit, et l'apparition des maladies mentionnées ci-dessus...


Beaker

Maladie de Lyme : le Pr Montagnier dénonce l'inefficacité des protocoles de test

La maladie de Lyme, transmise par les morsures de tiques, est très mal diagnostiquée et soignée en France, en raison d'une "grande ignorance sur son caractère chronique", a affirmé dimanche, lors d'un colloque à Strasbourg, le Prix Nobel de médecine Luc Montagnier, qui affirme avoir fait de prometteuses découvertes pour mieux diagnostiquer cette affection.
Pr Luc Montagnier
© ReutersLe Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, en 2009
"Il est lamentable que les pouvoirs publics et les autorités de santé n'aient pas une politique cohérente sur la maladie de Lyme", a dénoncé le codécouvreur du virus du sida.

"Il y a actuellement une ignorance totale sur le sujet, d'une grande partie de la communauté médicale et scientifique", a ajouté le Pr Montagnier, qui intervenait lors d'une journée d'étude consacrée à cette pathologie, organisée par "Lyme sans frontières", une association regroupant des malades en colère contre l'approche officielle de la maladie.

Pour le Pr Montagnier, 83 ans, les tests utilisés aujourd'hui pour détecter la bactérie de Lyme donnent de trop nombreux "faux négatifs", car ils sont basés sur la détection d'anticorps, alors que certains patients infectés n'en développent pas - ou qu'ils ont été infectés il y a trop longtemps pour que cette méthode de test soit efficace.

Commentaire: Une détection par « ondes électromagnétiques ». On est pas près de voir ce type de diagnostic sur le marché tant il bouscule l'ordre établi et entrouvre une porte sur la théorie de la mémoire de l'eau.

D'autre part, les soins par antibiotiques ne semblent pas la panacée car la bactérie a la capacité à se transformer le temps du traitement pour y devenir insensible puis pour se réactiver ensuite.


Cow Skull

Un parasite impliqué dans les maladies neurodégénératives

toxoplasmose
Le parasite Toxoplasma gondii est transmis par les félins dont le chat domestique à tous les animaux à sang chaud incluant l'homme. On estime qu'entre 30 à plus de 80 % des êtres humains sont porteurs de ce parasite. L'infestation se fait par les aliments mal lavés ou mal cuits en particulier pour les viandes provenant d'animaux eux-mêmes parasités dont le porc, le mouton et le boeuf. C'est la raison pour laquelle par exemple en France ou au Brésil plus de 80 % de la population est estimée être porteuse de ce parasite sans jamais avoir développé une toxoplasmose sérieuse.

S'il n'y avait pas eu il y a quelques jours la publication dans la revue PLOS Pathogens de résultats de travaux terrifiants concernant ce parasite, n'importe qui continuerait à vivre avec « ses » toxoplasmes sans angoisses métaphysiques. Je pense pour ma part que le corps médical va devoir reconsidérer son approche des maladies neurodégénératives car le toxoplasme qui traverse allègrement la barrière sanguine cérébrale va coloniser des cellules nerveuses et cette espèce de cohabitation pas sympathique du tout conduit à la mort des neurones avec les conséquences qui s'en suivent ...

Commentaire: Il est également possible que ce parasite ait une influence, aussi subtile soit-elle, sur le comportement des gens qui en sont infestés. Inutile de dire que même si les antibiotiques sont souvent néfastes - pour cause de mauvaise utilisation et d'effets secondaires importants - ils peuvent aussi se révéler utiles quand ils sont utilisés dans un but spécifique, c'est une évidence.


Health

Danger : des nanoparticules dans nos assiettes

A notre insu, les nanoparticules ont envahi notre environnement quotidien. Présentes dans de multiples produits de consommation courante - crèmes solaires, textiles, articles de sport, carburants, pneus, appareils électroménagers, panneaux solaires, ciments, peintures, vernis, équipements médicaux... - , elles se sont aussi introduites, subrepticement, dans nos assiettes. Cela, sans que le consommateur en soit averti par un étiquetage spécifique, pourtant requis par la réglementation européenne. Et, surtout, sans qu'il se doute des dangers potentiels de ces substances. C'est ce que révèle une enquête de l'association Agir pour l'environnement, rendue publique mercredi 15 juin.

nourriture
© GoogleUn peu de nano ?

Commentaire :
Certaines nanoparticules (naturelles ou artificielles), diffusées dans l'environnement, notamment par l'air ou via les eaux usées 4, causent les problèmes inflammatoires pulmonaires les plus vifs 5, et sont fortement suspectées d'avoir des effets négatifs sur l'environnement 6, et sur la santé quand elles sont inhalées ou qu'elles pénètrent le corps via la peau, l'eau ou l'alimentation ; « Les études toxicologiques démontrent clairement que la très petite taille des nanoparticules est un élément-clé au niveau de la toxicité, surtout au niveau des particules non ou peu solubles (...) les propriétés de surface, la capacité à induire des radicaux libres ou à libérer certains ions peuvent également influer substantiellement sur la toxicité. Plusieurs effets pulmonaires ont été documentés dont la capacité de certaines nanoparticules à induire des granulomes pulmonaires. Les données actuellement disponibles semblent indiquer par ailleurs que l'absorption cutanée serait relativement limitée » (Source : Ostiguy et al., février 2006 7). (Source : Wikipedia )

Commentaire: Lire aussi :