OF THE
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On voit bien que lorsque l'on parle de transition énergétique, eh bien là on voit ce que pourrait redonner ce dérèglement de la planète avec des pics de chaleur de plus en plus importants, une dérèglementation du climat avec toutes les conséquences que cela peut avoir.
"Cher Monsieur le Premier Ministre Iatseniouk,
Je vous écris afin de vous assurer que le Sénat continue d'avoir confiance en vous et partage vos préoccupations concernant le licenciement imminent du président Piotr Porochenko, l'une des figures clés du gouvernement ukrainien, entièrement dévoué à la promotion de la démocratie dans votre pays. Je suis d'accord qu'il est nécessaire de faire tous les efforts pour garder Alexeï Pavlenko à son poste de ministre de la politique agraire de l'Ukraine. Son licenciement créerait des obstacles supplémentaires à l'expansion de la coopération entre les entreprises agricoles des Etats-Unis et l'Ukraine. Je crois aussi qu'il est crucial de s'assurer que Yuri Nedashkovsky restera président de la société Energoatom (Compagnie nationale de production d'énergie nucléaire d'Ukraine, ndlr)".
Commentaire: Extrait de l'article dont il est fait mention dans l'introduction :
« A la lumière de ces considérations, on comprend pourquoi le gouvernement américain apporte son soutien au gouvernement Syriza et appelle à la solidarité européenne. Il est en effet le bâtisseur de cet édifice depuis 70 ans : les archives ouvertes montrent par exemple combien le projet d'une Europe fédérale est issu de Washington depuis 1945 et aussi comment l'Euro y était pensé depuis au moins 1965. Avec une persévérance remarquable cet édifice européen fut bâti mais la pose de la clé de voûte est aujourd'hui périlleuse. Il n'est en tout cas pas question pour Washington notamment de laisser se créer une Europe du Nord cohérente sous la direction de l'Allemagne qui serait à l'avenir une concurrente bien plus redoutable que l'Europe actuelle. Cellec-i est en effet nécessairement affaiblie par la juxtaposition d'économies très différentes avec un clivage entre l'Europe du Nord et du Sud.
Dans la continuité de la crise entre la BCE et la banque centrale allemande, la crise grecque est donc le champ de bataille entre Washington et Berlin. Washington veut achever l'ouvrage européen et veut maintenir à tout prix de la Grèce dans l'Euro. Mais Berlin s'y refuse, souhaitant in petto un Grexit mais sans vouloir en porter publiquement la responsabilité politique. Tel est en tout cas la compréhension que l'on peut avoir des forces et des enjeux en présence. »