Traduction : Initiative citoyenne

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Une nouvelle étude publiée dans Current Medicine and Chemistry , intitulée « Mort subite du nourrisson après le vaccin hexavalent : une étude neuropathologique », apporte un soutien au lien qui fut longtemps considéré théorique entre un nombre toujours croissant de vaccins infantiles et le Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (SMSN).

Le fait que le pic d'âge pour les morts subites du nourrisson est de 2 - 4 mois, ce qui coïncide avec l'introduction de 11 injections contenant 16 vaccins (programme de vaccination aux Etats-Unis), est une cause tellement évidente de préoccupation, que même le CDC a été obligé de répondre directement à l'apparente coïncidence :

« De 2 à 4 mois, les bébés ont leur première série de vaccinations. C'est également le pic d'âge pour le syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN). La concordance de ces deux événements a conduit certaines personnes à croire qu'ils pourraient être liés...Comme les bébés reçoivent des doses multiples de vaccins au cours de leur première année de vie et comme le SMSN est la première cause de décès chez les bébés d'un mois à un an, le CDC a entrepris des études de recherche pour trouver des liens possibles. »

Il n'est pas surprenant que le CDC (dont le programme pro-vaccins ne se soucie manifestement pas des nombreux effets secondaires graves et inattendus des vaccins, comme en témoigne la littérature médicale), soutienne que les recherches approfondies qu'il a organisées ont abouti à la conclusion que les vaccins ne provoquaient pas la mort subite du nourrisson (SMSN). En dépit du rejet par le CDC, les taux de mortalité infantile sont les plus élevés parmi les pays qui administrent le plus de vaccins au cours de la période de développement la plus vulnérable de l'enfance. Une étude de 2011 publiée dans « Human & Experimental Toxicology » a fait remarquer que le programme de vaccination des enfants de moins d'un an aux Etats-Unis comporte 26 doses de vaccins - le nombre de vaccins le plus élevé du monde - alors que 33 pays ont des taux de mortalité infantiles inférieurs. Ils ont constaté que dans les 34 pays analysés, il existait « une corrélation statistiquement significative entre le nombre de doses de vaccins administrées et l'augmentation des taux de mortalité infantile, avec r = 0,992 (p= 0,0009) ».

En outre, une récente étude publiée dans Vaccine et intitulée : « la co-administration du vaccin vivant contre la rougeole, du vaccin contre la fièvre jaune et des vaccins inactivés pentavalents est associée à une mortalité accrue par rapport à l'administration des seuls vaccins contre la rougeole et la fièvre jaune », cette étude a montré que l'administration de plusieurs vaccins infantiles a considérablement augmenté le risque de mortalité dans un essai mené en Guinée-Bissau (Afrique de l'ouest).

Bien que le vaccin hexavalent (= dirigé contre 6 maladies mais contenant plus que 6 antigènes) qui a récemment été lié à des cas de mort subite du nourrisson (SMSN) soit uniquement autorisé en Europe, il existe un certain nombre de vaccins multi-doses « obligatoires » dans le programme de vaccination des Etats-Unis - y compris le Diphtérie-tétanos-coqueluche acellulaire (DTCa), le ROR qui font se poser la question suivante : les risques d'effets indésirables, y compris les risques de décès sont-ils amplifiés avec les vaccins multidoses par rapport aux vaccins à dose unique ?

Il existe aussi toute une gamme de vaccins en développement ou qui sont déjà sur le marché et qui sont inclus ou seront éventuellement inclus dans un calendrier de vaccination des enfants en pleine expansion :

a) Pentacel (= DTCa, ActHIB & polio injectable/IPV),
b) Comvax (Hep B & PedvaxHIB),
c) Pediarix (DTCa, IPV, & Hep B),
d) ProQuad (= vaccin tétravalent regroupant les valences ROR + varicelle),
e) ActHIB - HIB & Vaccin contre le tétanos, or HIB & DTCa,
f) Hiberix (HIB & toxine tétanique),
g) PedvaxHIB (HIB & antigènes de méningocoques du groupe B),
h) Menhibrix (méningocoques des groupes C & Y, HIB & toxine tétanique)
i) Menactra (méningocoques des groupes A, C, Y, W-135 & toxine diphtérique)
j) Prevnar-13 (13 souches de pneumocoques & protéine de la toxine diphtérique)

Le Dr Larry Palevsky, MD a souligné que :

« Même si les vaccins ne contiennent prétendument qu'un antigène bactérien ou viral (comme pour la varicelle et l'hépatite A), il existe dans ces vaccins plusieurs autres antigènes qui les rend de fait multivalents. Et ce sont ces vaccins que l'on administre le plus souvent en même temps que d'autres vaccins, faisant de ces vaccins à antigène unique des injections multivalentes. »

Il peut s'agir d'antigènes bactériens, viraux ou même de levures, de toxines environnementales connues, de protéines, d'autres bactéries contaminantes, de virus et de levures. Par définition, tous les vaccins sont multivalents.

[...] L'injection du vaccin contre l'hépatite A, bien qu'il soit signalé qu'il ne contient qu'un seul antigène viral, contient en fait de multiples antigènes, comme l'hydroxyde d'aluminium, des acides aminés, du phosphate disodique, du mono phosphate de potassium, du sulfate de néomycine, du polysorbate-20, du chlorure de potassium, du chlorure de sodium et de l'eau. Voir ici notice du vaccin anti-hépatite A de GSK, Havrix.

Voici les ingrédients pathogènes connus dans le calendrier de vaccination :

DTCa - 3 bactéries
HIB -1 bactérie
Prevnar-13 - 13 bactéries
Menactra - 4 bactéries
Hépatite B - 1 virus
Hépatite A - 1 virus
Polio - 3 virus
Grippe - 3 virus
ROR - 3 virus
Varicelle - 1 virus
Rotavirus - 5 virus
Gardasil - 4 virus

Le vaccin combiné Pentacel (DTCa, Polio, HIB) administré à des enfants à 2,4,6 & 15-18 mois contient le vaccin Act-HIB (HIB et Tétanos),avec une multitude d'autres bactéries (diphtérie, coqueluche, tétanos) et 3 antigènes viraux de la polio. Le vaccin combiné Comevax (hépatite B+ HIB), administré trois fois aux nourrissons au cours de leur première année de vie, contient l'antigène viral de l'hépatite B & l'antigène de la levure Saccharomyces cerevisiae avec le vaccin Pedvax HIB (la bactérie HIB + l'antigène bactérien sérotype B du méningocoque Neisseria)

Le système immunitaire humain n'aime pas particulièrement jouer avec des antigènes injectés. En d'autres mots, un antigène non bactérien et non viral suscite également des réponses du système immunitaire, comme pour les autres antigènes bactériens ou viraux. »


Etant donné le nombre d'expositions « antigéniques » dues aux vaccins, singulièrement ou sous forme multi-doses, le nombre de réactions immunologiques possibles chez les nouveau-nés est tout simplement hallucinant - surtout si l'on tient compte du peu de connaissance que nous avons du système immunitaire, du développement du cerveau et de la physiologie du nourrisson.

Compte tenu du poids des preuves qui établissent des liens entre les vaccinations infantiles et une mortalité plus élevée, les résultats de ce nouvel article ne devraient pas représenter une énorme surprise.

Les chercheurs « ont examiné un grand nombre de victimes de la mort subite du nourrisson pour pouvoir mettre en valeur une relation causale possible entre l'administration d'un vaccin hexavalent et la mort subite du nourrisson. » Ils ont sélectionné 110 cas pour examen, et ont trouvé que dans « 13 cas (11,8%) le décès survenait en association temporelle avec l'administration du vaccin hexavalent (dans un délai de 1 à 7 jours). »

Aucune des victimes ne présentait d'altérations congénitales du développement des structures cérébrales régulant les fonctions vitales. Bien que des anomalies cérébrales aient été notées, et que les chercheurs précisaient que leur étude ne prouvait pas un lien de causalité entre les vaccins hexavalents et la mort subite du nourrisson, ils ont néanmoins émis l'hypothèse que « les composants du vaccin pourraient jouer un rôle direct dans le déclenchement d'une issue fatale chez les bébés vulnérables. » Ils ont conclu :

« Nous soutenons la nécessité de bien étudier les décès qui surviennent dans un court laps de temps après le vaccin hexavalent et que ceux-ci soient soumis à un examen post-mortem en particulier du système nerveux autonome par un expert en anatomopathologie afin de pouvoir évaluer objectivement le rôle causal possible que pourrait jouer le vaccin dans les cas de Syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN). »

Ceci n'est en aucune manière le premier rapport dans la littérature médicale qui établirait un lien entre les vaccins hexavalents et le SMSN.

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Une recherche rapide sur pubmed.gov en révélera pas mal d'autres dont une première qui date de 2006 et qui a été publiée dans le journal Vaccine, sous le titre : « Cas inexpliqués de mort subite du nourrisson peu après le vaccin hexavalent » et qui conclut après autopsies qu'il s'agissait « probablement de complications fatales après administration de vaccins hexavalents. »

En 2011, une autre étude a été publiée dans Statistics in Medicine intitulée : « Une méthode... pour examiner l'association entre les vaccinations multidoses et les décès », a conclu que sur la base de l'examen de 300 morts subites inexpliquées à la suite de vaccins penta- ou hexavalents, il a été constaté qu'« une augmentation du risque 16 fois supérieure après la 4ème dose pourrait être détectée avec une puissance d'au moins 90% » et qu' « après la vaccination, une augmentation générale du risque par deux, pourrait être détectée avec une puissance de 80% ».

Une autre étude de 2011 publiée dans PLOS, intitulée : « Cas de morts subites et vaccinations durant les deux premières années de vie en Italie : une étude de plusieurs cas » a enquêté sur le signal d'une association entre la vaccination avec le vaccin hexavalent au cours de la deuxième année de vie et la mort subite du nourrisson (SMSN) dans les deux jours suivant la vaccination. La chose avait été rapportée en Allemagne en 2003. L'étude italienne a cherché à établir si les vaccins hexavalents augmentaient à court terme le risque de SMSN chez les nourrissons. L'étude a analysé les cas de 604 enfants qui sont décédés de la mort subite du nourrisson (MSN). Parmi ces enfants, 244 (40%) avaient reçu au moins une dose de vaccin. Quatre décès se sont produits dans les deux jours qui ont suivi la vaccination avec le vaccin hexavalent, ce qui représente une augmentation de 50% du risque relatif. Le risque relatif de MSN pour les périodes de 0 à 7 jours et de 0 à 14 jours a été de 100% [2.0 RR] et de 50% [1.5 RR]. L'étude a conclu qu'il y avait un risque accru de 120% [2.2RR] associé à la première dose du vaccin hexavalent.

De toute évidence, les deux études de cas et les grandes études épidémiologiques confirment la possibilité que le vaccin hexavalent peut être mortel chez des personnes sensibles. La question importante suivante concerne le mécanisme qui est en jeu.

L'une des premières études qui ont présenté une explication a été publiée en 2006 dans la revue internationale de pathologie, Virchows Archives et intitulée : « Syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN) peu de temps après l'administration du vaccin hexavalent : une autre pathologie dans les cas suspects de SMSN ? » L'étude a examiné l'analyse des experts de l'Agence Européenne des Médicaments dans le cadre d'une enquête de 2003 portant sur un lien éventuel entre les vaccins hexavalents et 5 cas de décès d'enfants. L'étude en question fait remarquer que ces experts ont accordé trop « peu d'attention à l'examen du tronc cérébral et du système de conduction cardiaque sur des coupes en série. La possibilité du rôle déclenchant du vaccin sur ces décès n'a pas non plus été examinée. » L'étude poursuit en commentant les résultats d'autopsie d'une petite fille de 3 mois qui est décédée soudainement et de manière inattendue immédiatement après l'administration du vaccin hexavalent. L'autopsie a révélé que « le système fœtal de conduction cardiaque présentait une dispersion persistante et une dégénérescence de résorption. » L'auteur a émis l'hypothèse suivante : « la mort inattendue de ce bébé vulnérable (nourrisson avec une hypoplasie bilatérale du noyau arqué ; le noyau arqué est une région de l'hypothalamus) pourrait avoir été déclenchée par le vaccin hexavalent. Ce cas est compatible avec le modèle du triple risque de SMSN [1], une hypothèse incluant une vulnérabilité biologique sous-jacente aux facteurs de stress exogènes et des facteurs déclenchants au cours d'une période critique du développement. »

Le rapport a conclu :

« Cette affaire offre un aperçu unique par rapport au rôle possible du vaccin hexavalent dans le déclenchement d'une issue fatale chez un bébé vulnérable. Tout cas de mort subite et inattendue se produisant dans la période périnatale et en particulier peu de temps après une vaccination, devrait toujours être soumis à une autopsie complète selon nos lignes directrices. »

Une autre étude de cas publiée dans Forensic Science International en 2008 sous le titre « Beta-tryptase et augmentation quantitative des mastocytes dans un cas de mort subite de nourrisson après l'immunisation au moyen du vaccin hexavalent » décrit le cas mortel d'une petite fille de 3 mois qui est décédée dans les 24 heures qui ont suivi l'administration d'un vaccin hexavalent. Les auteurs ont conclu :

« ... L'insuffisance respiratoire aiguë vraisemblablement due au choc produit après le vaccin hexavalent a été la cause du décès. »

La possibilité que le vaccin hexavalent puisse produire un choc a même été reconnue par le fabricant du vaccin. La notice PDF du vaccin hexavalent de GlaxoSmithKline (INFANRIX) décrit les données de surveillance post commercialisation sur les effets indésirables qui, dans la section « Troubles du système nerveux » mentionne l'effet secondaire suivant : « collapsus ou état de choc (épisode d'hypotonie-hyporéactivité). »

Les informations ci-dessus indiquent clairement que le vaccin hexavalent est une cause possible de mortalité infantile attribuée par erreur ou intentionnellement à un syndrome idiopathique c'est-à-dire à une « cause inconnue » de syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) - afin de cacher les risques mortels associés à la vaccination de routine. La question demeure pour les parents : cette « pente glissante » de l'administration simultanée de vaccins pourrait-elle représenter une intervention létale pour mon nouveau-né ? Une question sans cesse éludée en tant que telle alors que la littérature (médicale) suggère pourtant clairement qu'il y a un danger. Il semble qu'il ait fallu la conception des vaccins hexavalents pour pouvoir mettre en valeur l'orgueil démesuré qui a pu présider à l'injection imprudente de matériel immunogène dans le corps des enfants les plus vulnérables.

Notes :

[1] Filiano JJ, Kinney HC (1994) A perspective on neuropathologic findings in victims of sudden infant death syndrome: the triple risk model. Biol Neonate 65:194 - 197