OF THE
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« Je ne voulais pas utiliser de produits chimiques dans mes parcelles, que ma famille cultive en bio depuis 1970. Je suis donc jugé pour avoir refuser d'empoisonner mes propres terres. »La lutte contre cette maladie est obligatoire mais, aucun foyer n'a été détecté en Côte-d'Or. Pourquoi donc emmerder cet homme ? En effet, depuis juin 2013, un arrêté préfectoral impose le traitement de « l'ensemble des vignobles de la Côte-d'Or » au moyen « d'une application unique d'un insecticide ». Visée : la cicadelle, petit insecte vecteur de la flavescence dorée, une maladie très contagieuse et mortelle pour la vigne.
"Je suis tellement fière de vous, j'ai pleuré quand j'ai vu les premiers hommes tomber", a déclaré Ioulia Timochenko place Maïdan. "Je vous demande pardon, au nom de toute la classe politique qui ne méritait pas que vous mourriez pour elle."
"Vous êtes les héros de l'Ukraine !", a-t-elle notamment lancé à la foule. "Je n'ai pas reconnu Kiev, avec les voitures brûlées, les barricades, mais c'est une autre Ukraine, l'Ukraine des hommes libres", a-t-elle affirmé.
"Si quelqu'un vous dit que c'est terminé et que vous pouvez rentrer chez vous, n'en croyez pas un mot, vous devez finir le travail", leur a-t-elle demandé.
"Si ceux qui ont tué et ceux qui en ont donné l'ordre ne sont pas punis avec la plus grande sévérité, cela sera une honte éternelle", a ajouté Ioulia Timochenko.
"Notre nation ne se mettra jamais à genoux", a-t-elle poursuivi assise dans son fauteuil roulant. "Je voudrais vous demander pardon au nom de tous les hommes politiques, quel que soit leur parti, quel que soit leur fonction. Tous ces politiques n'étaient pas dignes de vous, et s'ils en étaient dignes, il n'y aurait pas eu de bain de sang", a-t-elle ajouté.
« Des chercheurs universitaires travaillent à l'élaboration d'un système capable d'identifier automatiquement les fausses informations qui se répandent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. »
« Les réseaux sociaux sont une mine d'or en termes d'informations et d'expressions citoyennes pertinentes mais peuvent aussi être utilisés pour répandre des rumeurs. Pour faire le tri, des chercheurs planchent sur une sorte de «détecteur de mensonges» actif sur Twitter ou encore Facebook. Un projet ambitieux qui, selon le New York Times, pourrait se concrétiser dans dix-huit mois. »