Les Maîtres du MondeS


Bad Guys

Le voyage de Kerry en Asie et l'intensification des préparatifs de guerre contre la Chine

La visite à Beijing du ministre américain des Affaires étrangères John Kerry vendredi dernier, est la dernière étape en date du « pivot vers l'Asie » provocateur du gouvernement Obama, dont le but est de saper l'influence chinoise et de renforcer les forces militaires et les alliances américaines en préparation de la guerre. Ayant délibérément attisé de dangereux points chauds en Asie au cours des quatre dernières années, les États-Unis tentent de profiter de leur avantage, quelles qu'en soient les conséquences.

John Kerry en Asie
© Evan Vucci/AFPLe secrétaire d'Etat américain John Kerry prend une photo avec des étudiants avant de prononcer un discours sur le climat à Jakarta, le 16 février 2014
À Beijing, Kerry a cherché à imposer son autorité sur la direction chinoise sur une série de questions sensibles. Sur la situation explosive dans la péninsule coréenne, il a insisté pour que la Chine utilise « tous les outils à sa disposition », y compris des sanctions économiques qui auraient un effet paralysant, pour forcer son allié nord-coréen à se plier aux exigences américaines de dénucléarisation. En relation avec la situation tendue en Mer de Chine orientale et en Mer de Chine méridionale, il a appelé Beijing à adopter « un régime plus calme, plus appuyé sur le droit, moins conflictuel », faisant implicitement porter à la Chine la responsabilité des tensions que les États-Unis on délibérément ravivées.

Pour faire bonne mesure, Kerry a également insisté auprès des dirigeants chinois pour qu'ils soutiennent leur opération de changement de régime en Syrie et qu'ils suivent la ligne américaine concernant l'Iran aux Nations unies, et a exprimé des inquiétudes sur les « droits de l'Homme » en Chine, « en particulier en ce qui concerne les régions tibétaine et ouïghour ». Cette dernière référence était calculée pour jouer sur les craintes légitimes des Chinois quant à l'exploitation par les États-Unis des mouvements séparatistes dans ces régions de Chine afin de fracturer le pays.

Snakes in Suits

Le Venezuela renvoie trois diplomates américains

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Elias Jaua, ministre des Affaires étrangères du Venezuela Photo : AFP/LEO RAMIREZ
Le gouvernement du Venezuela a ordonné le renvoi de trois diplomates américains à qui il reproche d'aider les manifestants antigouvernementaux à Caracas.

Les diplomates ont 48 heures pour faire leurs valises, a précisé le ministre des Affaires étrangères, Elias Jaua.

Selon Caracas, les responsables consulaires américains avaient tenté d'infiltrer les universités du pays en prétendant effectuer des tâches consulaires impliquant des visas étudiants.

Le ministre Jaua en a rajouté, accusant les États-Unis de comploter avec les étudiants mécontents et le leader de l'opposition, Leopoldo Lopez, dans l'objectif de renverser le gouvernement socialiste.

Megaphone

Laurent Louis dénonce les crimes de l'industrie diamantaire en Afrique !

Laurent Louis
© Inconnu
Le député belge Laurent Louis intervient au Parlement pour dénoncer les crimes de l'industrie diamantaire en Afrique. Pour lui, l'Afrique est victime de ses ressources naturelles. Les diamants portent en eux le malheur de l'Afrique !

Laurent Louis accuse le lobby des diamants, entre les mains de la communauté juive, de piller le sol d'Afrique et en particulier le sol congolais. Laurent Louis en profite enfin pour dénoncer le néo-colonialisme auquel nous assistons au Congo mais aussi au Mali et en Centrafrique.


Chart Bar

« Pacte de Responsabilité » et « Modèle allemand » - Ce qui se cache derrière Peter Hartz

Peter Hartz
© Inconnu

Au lendemain de l'annonce par le président François Hollande du Pacte de responsabilité un quotidien allemand de la Sarre annonçait que Peter Hartz, ancien conseiller économique de Gerhard Schröder, serait embauché comme conseiller par François Hollande. L'Elysée dément mais confirme un entretien informel entre Hollande et Hartz à la demande de ce dernier. Mais qui est donc cet étrange Monsieur Hartz ? On le connaît généralement pour les bons et loyaux services prêtés à Schröder. Mais sa longue carrière de fossoyeur des acquis des salariés commence bien plus tôt...
« Il vaut mieux un peu de travail que pas de travail du tout »
Peter Hartz, fossoyeur des acquis sociaux allemands, conseiller officieux de François Hollande.
« Ceux qui peuvent mais ne veulent pas travailler, ne peuvent pas compter sur la solidarité de l'aide sociale. Personne n'a le droit à la paresse dans notre société »
Gerhard Schröder, ancien chancelier social-démocrate allemand.
« [Le modèle Hartz] n'est pas le modèle que nous défendons mais en même temps j'accepte l'idée que nous puissions aller solliciter quelques avis auprès de personnes qui ont mené des politiques ».
Bruno Le Roux, porte-parole des socialistes à l'Assemblée et porte-flingue du social-libéralisme, au sujet de l'entrevue Hartz-Hollande.
Peter Hartz, un paisible retraité en quête de reconversion ?

Peter Hartz a pris sa retraite dans la Sarre, cette région à la frontière de la France dont il est originaire, bastion industriel et de tradition social-démocrate. Le fils de métallurgiste y possède un haras et s'occupe de ses deux fondations, l'une censée contribuer à une meilleure insertion de la Sarre dans la mondialisation, l'autre s'adressant aux chômeurs de longue durée à travers le concept de « Minipreneur », l'autoentrepreunariat à l'allemande. Membre du Parti Social-Démocrate allemand, il perçoit pour pouvoir élever ses chevaux en toute quiétude une confortable retraite de 25.000 euros par mois pour services rendus à Volkswagen où il exerça à la tête des ressources humaines.

Video

Entretien avec Gérard Chaliand : « Les saoudiens font la politique que les E-U devraient faire ! »

Gérard Chaliand, expert en géostratégie
© Sanka Vidanagama/AFP


Second entretien avec Gérard Chaliand, géostratège, spécialiste des conflits armés, revient sur les évènements qui se sont déroulés depuis notre précédente rencontre à la mi-décembre 2013, à savoir : Genève 2, le rapport du MIT qui remet en question l'inculpation de Bachar Al Assad dans les attaques chimiques d'août dernier, les relations entre l'Iran et Israël ainsi que l'attentat en Russie.



Snakes in Suits

Depuis le début de l'année, 5 banquiers d'élite se sont suicidés


Star of David

Les Juifs Khazars nient être khazars et disent : « au diable la science ! »

Traduit de l'anglais pour Global Relay Network

Khazarie carte
© Inconnu
« Certaines personnes, des historiens et même des scientifiques, détournent le regard face à la vérité. »
~ Dr. Shlomo Sand, Comment le Peuple Juif fut Inventé
« Dans 10 ans, il n'y aura plus d'Israël. »
~ Henry Kissinger, New York Post, 17 septembre 2012
Alors que la réalité s'installe petit à petit qu'ils ne sont pas de la semence du Père Abraham mais plutôt de la lignée du Roi Bulan de Khazarie, les Khazars qui composent la vaste majorité des personnes contemporaines se dénommant « juifs », deviennent de plus en plus frénétiques. Nombreux sont ceux qui ourdissent des mensonges et des mythes, et affublent les intellectuels modernes de l'étiquette de « Gentils ».

C'est de toute évidence une horreur pour un Khazar d'être réputé être un « Gentil ». Après tout, pendant leurs vies entières, il a été inculqué à la plupart des Khazars de la part de leurs rabbins les enseignements flagrants du Talmud concernant l'infériorité des Gentils. Les Gentils, dit le Talmud, sont des « animaux impurs ». Leur mission dans la vie est de n'être rien de plus que les « serviteurs » de leurs Maîtres Juifs. Pire, le Talmud requiert que, « Les meilleurs des Gentils doivent être tués. »

Bon; le Juif Khazar - ce qui veut dire quasiment chaque « Juif » sur la planète Terre (au-delà de 80 %, en réalité, ndt) - apprend par le biais de l'analyse ADN qu'il ou elle est cette créature détestable qu'il abhorre : un Gentil déviant ! Quel choc suprême.

X

Sexe forcé (Sexzwang) - Un documentaire exceptionnel

Un documentaire d'Ivo Sasek qui est un appel fait à la justice. Il traite de l'hypersexualisation des jeunes et adultes, du formatage et conditionnement forcés subtilement intégrés dans nos quotidiens (Pubs,Télé, Médias, Magazines, Radio, etc.)

sexualité précoce
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USA

Une guerre de 4e génération contre le Venezuela

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Gene Sharp est le principal théoricien de l'actuelle stratégie nord-américaine élaborée pour déstabiliser les gouvernements que les Etats-Unis ne contrôlent pas politiquement et économiquement. Il s'agit de ces pays qui possèdent d'immenses richesses naturelles comme le pétrole, par exemple, et où les gouvernements ne permettent pas qu'elles soient piller par les transnationales nord-américaines et européennes ni l'enrichissement frauduleux que celles-ci prétendent obtenir ainsi.

Les principes conspiratifs de cette tactique déstabilisatrice, apparemment « non violente », consistent à provoquer le chaos à l'intérieur du pays dans le but de parvenir à déstabiliser le gouvernement en place, puis à sa chute. Ensuite, dans un deuxième temps, on fait appel à des étudiants et plus généralement à la jeunesse pour qu'ils lancent des actions de protestations, qui génèrent de la violence afin que les medias et les agences de presse puissent diffuser des scènes de terreur, d'incendies et de pillages avec des morts et des blessés que l'on dira provoquer par les forces de l'ordre du gouvernement que l'on prétend renverser.

C'est précisément ce qui s'est produit cette semaine au Venezuela où les marches de la Journée de la Jeunesse ont été utilisées pour créer le chaos dans les rues des grandes villes.

USA

La France est la vassale des États-Unis, voilà la seule chose à retenir de la visite de François Hollande outre-Atlantique

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L'espionnage tous azimuts et illégal des autorités américaines, et l'ingérence continuelle de Washington dans la politique intérieure française, commandaient à François Hollande de ne pas se rendre en visite officielle aux États-Unis d'Amérique.

S'il avait eu le sens de la dignité de la France et de sa fonction, il aurait en effet adopté l'attitude de la Présidente du Brésil, Mme Dilma Rousseff. Celle-ci avait annulé - en septembre 2013 - sa visite aux États-Unis prévue le 23 octobre 2013, et cela pour protester solennellement contre l'espionnage généralisé opéré par Washington contre le gouvernement de Brasilia.

Ayant néanmoins maintenu son déplacement, François Hollande s'exposait à voir le président des États-Unis s'amuser à le rabaisser encore davantage. C'est ce qui s'est passé.