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C'était pourtant une bonne idée, cet objet perse a été offert par des diplomates de l'ONU à la délégation iranienne pour marquer un espoir de réconciliation, il semble que ce soit un faux récent. Tout un symbole de la manière dont nous percevons les peuples et les civilisations. Il ne s'agit pas seulement de "réintégrer sur la scène internationale" mais de respecter les peuples et leur apport réel (note de Danielle Bleitrach).Fin novembre, l'Allemagne, la Chine, les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Russie et l'Iran ont trouvé un accord sur le programme nucléaire iranien. Il pourrait préfigurer une nouvelle ère de relations géopolitiques. Pour Didier Billion, directeur adjoint à l'Iris, il faut appuyer cette dynamique.
Édité par Le Plus
Depuis le 24 novembre, presque tout a été expliqué sur le plan d'action commun adopté à Genève par la République islamique d'Iran et les six pays du P5+1. La signature de ce document ouvre une nouvelle séquence politique et initie un processus qui va s'étendre sur plusieurs mois.
Rien ne sera probablement linéaire et peut-être y aura-t-il des moments de stagnation, de tension, voire de retours en arrière partiels. Il n'empêche, la portée politique de l'événement est considérable et ouvre des perspectives qu'il convient de tenter de délimiter, même si nous n'en connaissons pas tous les paramètres.
Au-delà du contenu même de l'accord intérimaire, désormais largement connu, il y a sa dynamique potentielle, c'est-à-dire sa signification politique et la perspective de la réintégration de l'Iran sur la scène régionale et internationale. Pour de multiples raisons, cette réintégration va, en effet, peser lourd.
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La loi de programmation militaire instaure aussi :