© Inconnu"Toute personne qui me pose des questions est anti-sémite"
Depuis l'annonce de la mort d'Elie Wiesel, ce n'est qu'un concert de louanges que l'on entend dans toute la presse. Il faut dire que notre homme avait des titres à faire valoir : Prix Nobel de la paix en 1986, plus de 10 millions d'exemplaires de son livre
La nuit ont été écoulés dans le monde entier depuis sa sortie en 1958, docteur honoris causa de plus d'une centaine d'universités dans le monde parmi les plus prestigieuses, Grand-croix de la Légion d'honneur en France, il a également reçu la Médaille d'or du Congrès américain. Pourtant, notre homme est un faussaire et n'a jamais porté le numéro de déporté (A-7713) qu'il prétend avoir porté, mais aurait au contraire usurpé celui d'un autre déporté qui portait le même patronyme que lui, ce qui permet de douter de sa réelle déportation à Auschwitz.
C'est en tout cas ce qu'a prétendu Jean Robin, un journaliste qui prétend combattre les révisionnistes, et qui, en enquêtant, à soulever le lièvre : si le matricule A-7713 correspond bien à un « Wisel » , la personne à qui correspond ce matricule est une personne née 15 ans avant Elie Wiesel. Bref, ce n'est pas la même personne, d'autant qu'Elie Wiesel n'a jamais montré le tatouage de son matricule pourtant indélébile afin de faire taire la polémique. Cela est d'autant plus curieux que nombre d'ex-détenus des camps de concentration exhibent fièrement leur numéro.
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