Les Maîtres du MondeS


Bad Guys

Valls 2 : un gouvernement de combat au service du mondialisme

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Pacte de responsabilité, réforme territoriale, projet de loi sur la croissance, travail dominical, ... les coups pleuvent comme jamais sur les classes populaires. Le gouvernement met les bouchées doubles pour liquider le modèle social français de l'après-guerre. Il a d'ores et déjà prévu de procéder par ordonnance pour faire passer les dossiers les plus épineux. Manuel Valls avait d'ailleurs annoncé la couleur en promettant il y a quelques semaines du « sang et des larmes » pour cette rentrée... bien évidemment en épargnant le grand patronat, ce qui lui a valu une standing ovation à l'Université d'été du MEDEF. Le remaniement ministériel suite au départ de certains frondeurs du PS - minime par son ampleur (seuls 4 ministres ont été remplacés) mais lourd de conséquences politiques - est un signe de cette fuite en avant. La nomination d'Emmanuel Macron, banquier d'affaires chez Rotschild et membre du groupe Bilderberg au poste-clé de Ministre de l'économie, est un signal envoyé aux marchés financiers et à Bruxelles au moment où la France éprouve des difficultés à satisfaire ses engagements en matière de déficit : la promesse que le gouvernement mettra tout en œuvre pour renouer avec l'orthodoxie budgétaire sur le dos des classes populaires. L'austérité c'est maintenant.

La France dans le rouge

L'échec du « socialisme de l'offre » (en clair : la politique de cadeaux fiscaux au grand patronat) rend la situation sociale explosive. Croissance nulle, augmentation quasi-continue du chômage (le nombre d'inscrits à pole emploi a dépassé la barre de 5 millions) ainsi que des impôts directs et indirects pour les ménages à laquelle s'ajoute une stagnation des salaires composent un cocktail explosif. Conséquence attendue : les déficits dérapent et ça ne devrait pas s'arranger dans les prochains mois car l'Allemagne, attachée à un euro fort, reste sourde aux demandes de François Hollande pour une politique de relance économique. Englué dans les contraintes de l'Europe communautaire, le gouvernement n'a d'autre choix que de taper toujours plus sur les salariés et de pressurer les classes moyennes... faisant ainsi diminuer la demande solvable et reculer toute perspective de reprise économique.

Quenelle - Golden

Dieudonné sur le gouvernement Valls 2


Bomb

L'Émirat islamique menace la Russie



Dans une vidéo rendue publique le 2 septembre 2014, l'Émirat islamique, qui s'est emparé de l'aéroport militaire syrien de Rakka, menace le président Poutine et déclare que la Russie est sur son chemin.


Le 25 août, l'Armée arabe syrienne a perdu 170 soldats à l'aéroport de Rakka. L'armée s'est alors retirée et a enfermé les jihadistes à l'intérieur de la base qu'elle a bombardée. Les deux Sukhoï que l'on voit sur la vidéo ont échappé au bombardement parce qu'ils se trouvaient dans un abri souterrain.

On sait que l'Émirat islamique dispose de pilotes entraînés d'hélicoptère et d'avion qui ont été capables de prendre en main immédiatement les appareils saisis à l'armée fédérale.

Dollar

Fin de l'empire américain : le dollar pourrait être mis hors jeu

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Le monde cherche les moyens de renoncer au dollar. Les experts sont toujours plus nombreux à reconnaître que la monnaie américaine a rempli sa mission et doit abandonner graduellement la scène mondiale.

Des monnaies régionales peuvent y contribuer. Cependant l'expérience de l'euro a démontré que renoncer tout simplement à sa monnaie et opter pour une monnaie unique renferme non seulement des avantages évidents, mais aussi des problèmes sous-jacents.

Les apologistes de l'euro ne se lassent pas de répéter que l'introduction d'une monnaie unique était favorable pour l'économie européenne : les marchés sont devenus plus stables et les risques ont diminué pour les opérations de change. Mais l'essentiel, c'est que l'euro a fait concurrence au dollar et a occupé une place solide parmi les monnaies de réserve. Cependant, moins de dix ans plus tard la crise économique a éclaté. Les critiques de l'euro ont aussitôt relevé la tête pour indiquer sur toutes les erreurs commises lors de l'introduction de la monnaie européenne unique, notamment le fait de ne pas prendre en considération les différences de structure économique des pays faisant partie de la zone euro. Il y a, en plus, des dessous politiques, estime le directeur du département d'analyse stratégique de la société FBK Igor Nikolaev :
« Dans une grande mesure il y avait une forte motivation politique lors de l'adoption de la monnaie européenne. Créer un contrepoids, au premier chef au dollar et aux Etats-Unis. En ce sens la politique a prévalu sur l'économie, car le taux de croissance moyen des pays de la zone euro n'a pas augmenté suite à l'introduction de l'euro. Cela concerne aussi le taux de croissance du chiffre d'affaires du commerce extérieur. Le but recherché lors l'introduction de la monnaie unique européenne, euro, à savoir l'accélération du taux de croissance économique, n'a pas été atteint ».
Tout permet de conclure que le projet d'euro est encore loin du succès. Les perspectives de cette monnaie dans l'avenir rappellent toujours davantage la condition du dollar au présent.

Arrow Down

Records d'impopularité pour Hollande et Valls

La cote de confiance de François Hollande a chuté de 4 points en un mois pour tomber à 19%, et celle de Manuel Valls de 6 pour tomber à 31%, selon le baromètre de septembre CSA-Les Echos publié jeudi.

77% des personnes interrogées (+4 en un mois) déclarent n'avoir "pas confiance" dans le président de la République "pour affronter les principaux problèmes qui se posent au pays". 4% ne se prononcent pas. Il s'agit d'un record d'impopularité pour François Hollande, dont le plus bas niveau dans ce baromètre, atteint en mai dernier, était de 20% de confiance.

Concernant Manuel Valls, ils sont 63%, soit près des deux tiers des sondés, à ne pas lui faire confiance (+5). 6% n'ont pas d'opinion. Là encore, c'est l'étiage le plus bas du premier ministre depuis sa prise de fonctions, en avril dernier. Parmi les sympathisants de gauche, seuls ceux du PS continuent de faire majoritairement confiance au chef de l'État (55%) et au Premier ministre (67%).

Gear

Sommet de l'OTAN : alors, la guerre ou bien... la guerre?

Traduction : Marie-Ange Patrizio

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© Inconnu
Les fauteurs de guerre de l'OTAN qui tiennent leur sommet le 4 et le 5 Septembre dans la capitale du Pays de Galles manquent tellement de soutien dans l'opinion publique européenne qu'ils sont enfermés dans une ceinture d'acier de 16 km de long et protégés par prés de 10 000 hommes en armes.

Aujourd'hui (4 septembre 2014) s'ouvre à Newport (Pays de Galles) le Sommet des chefs d'État et de gouvernement des 28 États de l'Otan, qui prendra « des décisions clés sur la façon d'affronter les actuels et futurs défis à la sécurité », attribués à l' « agression militaire de la Russie contre l'Ukraine » et à la « croissance de l'extrémisme et de la conflictualité sectaire au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ». Un Sommet « crucial », à travers lequel les États-Unis, qui gardent le leadership indiscuté dans l'Otan, mobilisent leurs alliés européens sur deux fronts de guerre simultanément.

Pistol

La tyrannie de l'OTAN

Traduction Resistance 71

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© Inconnu
Les citoyens du monde viennent à Newport, Pays de Galles. Le siège commence. 25 km de barrière en mailles métalliques d'acier renforcé de 5m de haut pour contrôler les foules, 20 000 membres de milices armés jusqu'aux dents en uniformes sombres ont commencé à arriver chaque jour. Les plans de défense militaire ont été finalisés. Déjà l'adrénaline est dans l'air. Un combat se profile... Sommes-nous à Gaza ?

Bad Guys

Génocide : quand la junte de Kiev pro-occidentale rase un village en Ukraine

Un drone a été en mesure de filmer les conséquences des bombardements de la junte ukrainienne pro-occidentale soutenue par les forces atlantistes, en juillet. Dans ce village de la région de Donetsk, il y avait initialement 1500 personnes, à présent il n'en reste plus que deux.


Star of David

Etre un Mensch ou un collabo du plan Dalet ?

Le plan militaire appelé Dalet a été mis au point en 1947 par les leaders du mouvement sioniste et déclenché avant même la création de l'Etat d'Israël. Son but était simple : « désarabiser » le futur pays !

Netanyahu
Netanyahu
C'est un bien beau mot yiddish que Mensch ! Dans la communauté juive, il désigne un être humain de valeur, quelqu'un de bien, une personne d'honneur. J'ai la chance d'en connaître plusieurs qui m'ont donné leur amitié. Ils et elles ont toujours été antiracistes, se sont opposés à la dictature franquiste, ont soutenu les Vietnamiens, dénoncé le colonialisme belge, appuyé les luttes de libération d'Algérie, d'Afrique du Sud et d'Amérique latine, manifesté pour les Sahraouis, les Kurdes, les Roms, les Amérindiens, les réfugiés d'Afrique et d'Afghanistan... Bref, ils n'ont jamais cessé de défendre les droits des humains, ici et ailleurs.

Certains parmi les plus anciens vont régulièrement rencontrer les enfants dans les écoles pour témoigner de l'abjection du nazisme qui a conduit à l'indicible horreur d'Auschwitz. Et tous, jeunes et vieux, manifestent aujourd'hui contre les crimes du régime de Netanyahu et s'opposent à ceux qui, dans ce pays, prétendent parler au nom de la communauté juive alors qu'ils ne sont que des propagandistes d'un régime criminel.

USA

Fidel Castro compare l'OTAN aux «SS nazis»

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© Photo Archives ReutersFidel Castro a critiqué à nouveau lundi le soutien des États-Unis à Israël, accusant le sénateur américain John McCain, en tant qu'« allié le plus inconditionnel d'Israël », d'avoir « participé à la création de l'État islamique qui a pris le pouvoir dans une partie considérable et vitale de l'Irak et, comme on l'affirme, dans un tiers de la Syrie »
L'ex-président cubain Fidel Castro accuse les États-Unis et l'Union européenne de «cynisme» et d'utiliser l'OTAN pour déclencher des guerres, comparant l'Alliance atlantique aux «SS nazis», dans un texte diffusé lundi par les médias cubains.

«La Communauté économique européenne [appellation précédente de l'Union européenne], dirigée d'une main de fer et de manière inconditionnelle par les États-Unis, a jugé que l'heure était venue de régler les comptes avec ce qu'il restait de deux grandes nations (la Russie et la Chine)», affirme Fidel Castro, 88 ans, dans ce message écrit intitulé «Que les idées justes triomphent, ou c'est le désastre qui triomphera».

Ces deux pays «avaient réussi la prouesse de mettre fin à l'ordre colonial et impérialiste imposé au monde par l'Europe et les États-Unis», souligne le Père de la révolution cubaine, retiré du pouvoir depuis 2006 pour raisons de santé.

Mais «le cynisme» est devenu «un symbole de la politique impériale», et il existe «des gens sans scrupules, apparemment beaucoup», disposés à «tuer pour défendre des privilèges honteux».

Et «beaucoup de personnes sont surpris en écoutant les déclarations de certains porte-parole européens de l'OTAN, quand ils s'expriment avec le style et le visage des SS nazis»: «l'empire d'Adolf Hitler, né de la cupidité, est entré dans l'Histoire sans plus de gloire que l'encouragement qu'il a apporté aux gouvernements bourgeois et agressifs de l'OTAN, qui sont devenus la risée de l'Europe et du monde».

Fidel Castro s'est exprimé à plusieurs reprises ces dernières semaines pour dénoncer «le génocide qui se produit dans la bande de Gaza» et accuser Israël de pratiquer «une nouvelle forme de fascisme».

Il critique à nouveau lundi le soutien des États-Unis à Israël, accusant le sénateur américain John McCain, en tant qu'«allié le plus inconditionnel d'Israël», d'avoir «participé à la création de l'État islamique qui a pris le pouvoir dans une partie considérable et vitale de l'Irak et, comme on l'affirme, dans un tiers de la Syrie».

Considéré par beaucoup comme «le dernier géant politique du XXe siècle» encore en vie, Fidel Castro vit retiré dans sa maison dans l'ouest de La Havane, où il se consacre à l'écriture et reçoit à l'occasion des dignitaires étrangers. Sa dernière apparition publique remonte à début janvier.