Commentaire : À l'occasion de la COP21, nous invitons nos lecteurs à relire cet article pour prendre le recul nécessaire à une certaine forme de compréhension des enjeux qu'elle affiche. Entre-temps nous avons appris d'après une nouvelle étude de la NASA, que l'accumulation de neige en Antarctique suffit actuellement à compenser la fonte des glaces.
En outre, « si on considère les dates mentionnées dans cet article, 177 ans avant le début de cette présente période de « sécheresse » d'ouragans il se trouve que l'on se retrouve en 1829 (2015 - 9 - 177). Retranchons encore 9 années et on arrive à l'année 1820 c'est-à-dire très exactement à la fin du deuxième cycle solaire très déficitaire du petit âge glaciaire qui sévit au début du XIXe siècle et appelé le minimum de Dalton. Or le dernier cycle d'activité solaire (24e) qui se termine en ce moment (ne figure pas dans l'illustration ci-dessous) est à peu près comparable en nombre de taches et en intensité aux deux cycles qui induisirent ce petit âge glaciaire. »

sunspot 400 years
© NOAA400 ans d'observation de tâches solaires



La dernière émission en date à débattre de l'augmentation du CO2 anthropique dans l'atmosphère, « Réchauffement climatique, y a-t-il débat ? », a été diffusée sur France 2, le 1er novembre dernier, dans la troisième partie de l'émission « Ce soir ou jamais », la seule qui permette un semblant de débat sur le PAF.
Golden eggs
© Inconnu
À l'issue de l'émission (voir la vidéo en fin d'article), au moins deux questions se posent :

Pourquoi le « réchauffement climatique anthropique » est-il un mensonge ? Quels sont les intérêts de ceux qui présentent une telle manipulation propagandiste à l'opinion publique ?
« Tout débat est précieux, surtout lorsqu'il est mené de bonne foi. »

~ François Gervais
Mais tout d'abord, qu'est-ce que le CO2 ? Selon István E. Markó - chimiste à l'université de Louvain en Belgique - dans un article intitulé : « La fuite en avant du GIEC » publié le 3 octobre dernier :
« le CO2 est la molécule de la vie et [...] sans elle, il n'y aurait ni plantes, ni micro-organismes sur Terre. Pas d'humains, non plus. Dans des temps anciens, l'atmosphère contenait bien davantage de CO2 qu'aujourd'hui. La preuve par certaines bactéries qui ont dû mettre en place des systèmes de survie pour s'adapter à la diminution du taux de CO2. Signalons enfin que durant certaines périodes glaciales, le taux de CO2 était trois à quatre fois supérieur à celui mesuré aujourd'hui, attestant s'il le fallait encore de son effet de serre minime. Quant aux valeurs « constantes » de l'ordre de 280 ppm d'avant la révolution industrielle, elles résultent d'une sélection précise, guidée par une volonté de démontrer une théorie sur l'influence néfaste de l'utilisation des énergies fossiles. Cette attitude totalement non scientifique est chose courante dans ce domaine où le politique l'emporte sur le scientifique. [...]

Le CO2 est produit après une augmentation de la température, pas avant. Il est une conséquence de cette hausse de température et pas sa cause. [...] si l'on augmente davantage la quantité de CO2 dans l'atmosphère, cela ne changera quasiment rien à son effet de serre, celui-ci étant arrivé à son maximum. Cette constatation, basée sur les lois de la physique, corrobore ce que d'éminents climatologues ne cessent de dire et de publier : plus il y a de CO2 dans l'atmosphère, moins son effet de serre est important ! » [Les emphases sont de mon fait.]
Pour aller plus loin et répondre à la première question, voyons ce que peut avoir à dire sur le sujet le rapporteur critique du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat). Le Professeur François Gervais a été retenu par le GIEC comme évaluateur critique des rapports de l'organisme et faisait partie des invités du plateau de l'émission. C'est un physicien, chercheur en sciences des matériaux et en thermophysique. Ce Professeur émérite de l'Université François Rabelais de Tours est titulaire de la médaille de bronze du CNRS en thermodynamique, primé par l'Académie des sciences. Il a également travaillé sur la réflectivité, le ferromagnétisme et l'effet de serre.

Parce qu'il « s'oppose à la conception univoque et réductrice qui fait du gaz carbonique le responsable de tous les maux et interdit finalement de repenser à la fois les bases d'une solidarité Nord-Sud plus juste et une politique énergétique ambitieuse », le Professeur Gervais vient de publier un livre, L'innocence du carbone, aux éditions Albin Michel, dont le sous-titre évoque les questions de cet article : L'effet de serre remis en question.

Dans cet ouvrage, François Gervais dénonce ce qu'il qualifie « d'exagérations alarmistes », et conteste de nombreuses affirmations communément admises, parmi lesquelles le fait que le « doublement du taux de CO2 [serait] problématique ». Au contraire, selon le Professeur, « aucun réchauffement n'a été constaté depuis 1997, malgré des émissions massives de gaz carbonique durant cette période », et l'effet de serre serait « le grand coupable désigné à la vindicte et condamné par une taxation aveugle ».

Le Professeur Gervais écrivait dans un article du Monde paru le 28 octobre dernier :
« Les observations récentes sont dérangeantes pour les modèles de climat ; sans doute parce qu'ils se refusent à prendre en compte un cycle de soixante ans de la température globale de la planète pourtant documenté sur cent trente ans (figure 2 du livre). Ce cycle se décompose en phases montantes, descendantes, en plateaux, chacun d'une quinzaine d'années. [...] Ainsi, en 2013, la superficie de la banquise arctique a présenté un déficit estival limité, très inattendu pour les alarmistes. Mais, tout au long de l'année, la superficie de banquise antarctique, elle, a présenté un excédent du même ordre, et même un record absolu confirmé par la NASA ! »
Les saisons
© Inconnu
Ce que nous dit le Professeur Gervais, en substance, c'est qu'à l'instar des jours et des nuits, des saisons, des cycles lunaires et solaires, ainsi que des cycles propres à notre galaxie (tout comme pour l'ensemble de l'univers), le réchauffement et le refroidissement terrestres sont cycliques et naturels. Ce que l'on comprend également, c'est qu'il n'y a pas de « réchauffement » en tant que tel depuis 1997. Prendre comme point de repère certaines parties du globe pour annoncer en fanfare des augmentations de températures globales n'est ni sérieux, ni digne de la science. Donc, s'il n'y a pas de réchauffement, l'expression « réchauffement climatique anthropique » est un mensonge. En lieu et place, les scientifiques du GIEC auraient dû avoir l'honnêteté de parler de « changements climatiques », et ce depuis le début (1988). Mais honnêteté ne rime pas avec profit.

Car la science est également corrompue et dépend des budgets que l'on veut bien lui allouer, en fonction de l'intérêt qui n'a rien à voir avec la science en général, mais tout avec les industries de l'armement, de la pharmaceutique et d'une façon générale tout ce qui peut donner plus de pouvoir et de contrôle à nos élites psychopathiques qui dirigent le monde. Tout scientifique qui souhaite travailler de façon indépendante se heurte à des problèmes de budget qui l'empêche de poursuivre ses recherches (souvent très coûteuses), sans parler de la diffamation, des menaces et j'en passe, auxquelles ils sont soumis dans les médias mainstream, mais aussi parmi leurs collègues, notamment au sein de revues à comité de lecture.
« La corruption de la science est l'un des problèmes les plus importants auquel notre monde a jamais été confronté ; elle pourrait bien entraîner l'extinction de l'humanité. Cette perspective me glace, et elle devrait vous glacer aussi. Mais plus que d'en être glacée, j'ai eu le cœur brisé lorsque j'ai réalisé que le meilleur espoir de l'humanité - la Vérité, la belle Vérité - avait été ravagé et gâché par les gardiens mêmes du temple : les scientifiques eux-mêmes, sous l'influence d'un réseau étendu de conspirations pathologiques interconnectées et entièrement séparées du corps constitué par l'humanité normale. »

~ Laura Knight-Jadczyk, The Dot Connector Magazine, n°17, p. 1
Alors ? Le « réchauffement climatique » est-il dû à l'homme ? Eh bien non, de toute évidence, il ne l'est pas. Pire, il n'y a pas, depuis 1997, de « réchauffement climatique », comme l'indique le graphique ci-dessous.
Climat : graphique des températures depuis 1997
© Ben Weller
Pour comprendre quels peuvent être les intérêts des propagandistes du « réchauffement climatique anthropique » et tenter de répondre à la deuxième question : Quels sont les intérêts de ceux qui présentent une telle manipulation propagandiste à l'opinion publique, nous pourrions nous poser celle-ci : Les membres du GIEC sont-ils tous des scientifiques ? À cette question, István Markó, répond :
« Il y en a, mais beaucoup proviennent d'ONG comme WWF ou Greenpeace. Et dans le groupe qui gère la préparation du rapport pour les décideurs, il y a surtout des politiciens et des économistes. [...]

Certains ont tout à y gagner. Et le plus grand supporter de cela, c'est Al Gore qui a fait un film de propagande risible au niveau scientifique, vu le nombre d'erreurs qu'il contient. Il a réalisé cela dans un but de lucre total et ça lui a permis de devenir très riche, notamment via les bourses carbones. Grâce à ce prétendu réchauffement, on développe un business sur l'éolien et le photovoltaïque. On crée ces bourses carbones et on contribue à une augmentation du prix de l'énergie et des matières premières. »
Il faut savoir que le GIEC est un organisme inter-gouvernemental de et financé par l'ONU (Organisation des Nations Unies). Quant à la contribution financière de la France, elle « s'élève à 200 000 euros et est alimentée par trois ministères : Développement durable, Affaires étrangères, Recherche. » De l'argent public, donc...

Le prix Nobel de la paix a été attribué au GIEC en 2007 conjointement avec Al Gore. Tiens donc. Tout comme les prix Nobel ont été décernés à Obama, à l'Union européenne, et cette année à l'OIAC (l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques), des prix Nobel pour la guerre en lieu et place de prix Nobel pour la paix. Les « prix » sont « offerts » aux individus et institutions qui servent l'intérêt de l'empire, en guise de remerciements pour leurs « bons et loyaux » services, incluant mensonges, vérités déformés et propagandes.

Mais alors, si le « réchauffement climatique anthropique » - voire même le « réchauffement climatique » tout court - est un mensonge grossier destiné à nous imposer de nouvelles taxes qui enrichiront un peu plus les élites et appauvriront encore plus les populations - si c'est encore possible - quelle peut bien être la fiabilité des modèles climatiques (artificiels soi-disant en passant, ce ne sont que des modèles...) utilisés par les membres du GIEC, qui, dans son dernier rapport affirme que la probabilité que le réchauffement soit causé par nos émissions de gaz à effet de serre passe cette année de 90 à 95 % ? À cette question, István Markó répond :
« C'est bien la preuve que c'est un système 100 % politique. Comment voulez-vous, avec des modèles mathématiques à 2 % de fiabilité, parler avec 95 % de certitude ? C'est pathétique. Le problème est qu'ils ne peuvent même pas imaginer dire que tout ce qu'ils ont affirmé depuis le début était faux. Il y a trop d'intérêts et trop d'argent en jeu. »
Ou encore :
« Le Professeur Judith Curry, qui est à la tête du département des sciences climatiques au sein de la prestigieuse université étasunienne Georgia Tech, a indiqué au Mail on Sunday qu'il était évident que les modèles informatiques utilisés pour prédire un réchauffement futur étaient « profondément défectueux ». »
Certains scientifiques du GIEC s'élèvent contre cette propagande mensongère : « Un climatologue comme Hans Von Storch, qui est d'ailleurs membre du GIEC, a écrit récemment que les modèles du GIEC étaient faux à plus de 98 %, aucun d'entre eux n'ayant pu prévoir la courbe plate des températures depuis 16 ans, même avec une marge de fidélité de 2 %. » Pourquoi - puisque les données sont suffisamment nombreuses et reconnues par certains scientifiques du GIEC pour pouvoir affirmer la non-existence du « réchauffement climatique anthropique » - les scientifiques ne font-ils pas marche arrière ? Dans un autre article, István Markó écrit :
« Les politiques et les scientifiques qui s'activent dans l'orbite du GIEC ne peuvent pas faire machine arrière. Car les modélisateurs ne peuvent se passer de leurs crédits, et leurs relais politiques ne peuvent reconnaître publiquement qu'ils (elles) se sont trompé(e)s, sous peine de perdre leur électorat. »
Eh bien, la réponse à la deuxième question se trouve à la fois dans les quelques citations ci-dessus et dans le monde au sein duquel nous vivons. Ce monde est aux mains de psychopathes toujours plus avides de pouvoir et de contrôle sur les populations, affamés de la finance qu'ils manipulent à leur gré et selon leur bon vouloir, vouloir qui n'a rien à voir avec les nécessités premières des peuples : manger, dormir au chaud et en sécurité. Le GIEC dispose d'un budget « officiel » d'environ six millions d'euros par an dans le cadre de ses modélisations sur le « réchauffement climatique », qui n'existe pas ! Ces sommes dépensées en faveur d'un énorme mensonge qui se perpétue d'année en année - un parmi tant d'autres - c'est de l'argent qui serait plus efficient pour lutter contre la faim dans le monde, entre autres. Selon István Markó :
« Dilapider des milliards d'euros pour des modèles mathématiques qui sont faux et ne peuvent rien prédire, c'est ridicule. Cet argent dépensé pour rien devrait être utilisé pour régler de vrais problèmes de pollution. Par exemple le sixième continent, ce gigantesque agglomérat de déchets qui flotte dans le Pacifique, pourquoi on ne le nettoie pas ? On pourrait aussi nettoyer et repeupler nos rivières, assainir nos sols, transformer des chancres industriels en cités où il ferait bon vivre. Ce serait bien plus utile que de s'acharner sur ce malheureux CO2, que nous produisons tous lorsque nous expirons et qui ne nous a rien fait. »
Il se trouve que j'ai travaillé un temps « en faveur » du GIEC, avant de découvrir la supercherie qui est la sienne. Ce qui m'avait le plus étonnée, à l'époque (2007), était la volonté de certains de faire de l'argent au nom du « réchauffement climatique anthropique », bien plus que d'en comprendre les mécanismes. « Si le GIEC dit que nous sommes responsables, alors nous le sommes et nous pourrions utiliser les moyens mis à notre disposition afin de générer plus de business ». Une fois de plus, la « presstituée » a parfaitement joué son « rôle », qui est de nous asservir un peu plus dans une idéologie mensongère à des fins de contrôles et de taxations toujours plus marqués pour les populations.

Quand bien même l'être humain - de par sa façon de vivre aujourd'hui - soit un grand pollueur de la planète, il existe une autre réponse à cette deuxième question de savoir quels sont les intérêts de ceux qui présentent cette fraude au réchauffement climatique. Cet intérêt a tout à voir avec le fait de cacher les véritables raisons des changements climatiques ou changements terrestres, raisons qui n'ont rien à voir avec une quelconque cause anthropique physique - quoique cela puisse être une réponse de l'univers. Mais bien tout à voir avec les changements de notre environnement astronomique proche - notre système solaire : la multiplication des événements de type météores/fragments de comète partout autour du monde. Pour s'en convaincre il suffit de faire défiler la liste des articles qui augmentent inlassablement ici et ici.

Ainsi que dans cet article :
« Dans ses notes, Thomas Forster explique qu'il n'a jamais dit ou écrit que les comètes augmentaient la température moyenne,
« [...] mais que les extrêmes de chaleur et de froideur, ainsi qu'un bouleversement plus ou moins général de l'ordre naturel des saisons, accompagnaient souvent l'apparition de ces astres. Cette opinion résulte d'une laborieuse ‟examinationˮ historique des phénomènes. »
~ Thomas Forster, Observations sur l'influence des comètes sur les phénomènes de l'atmosphère, 1836, p. 28.
Diagramme montrant la dramatique augmentation des chutes de météores-fragments de comète observées dans la période entre 2005 et 2012
© Sott.netDiagramme montrant la dramatique augmentation des chutes de météores/fragments de comète observées dans la période entre 2005 et 2012.
Occulter, déformer ou encore minimiser cette « réalité » permet à l'élite de continuer à manipuler les populations et à les maintenir dans une obscure ignorance. Ceci empêche les populations d'apprendre la nature cyclique de leur histoire afin de ne pas répéter les mêmes erreurs. Ce cycle comprend l'émergence d'empires suivie de leurs chutes dues à des bombardements cométaires, dont les météorites de Toungouska ou de Tcheliabinsk ne sont que de pâles exemples de ce qui nous attend.

Ce sujet a déjà été également abordé dans un précédent article :
« Les comètes et leurs phénomènes associés - météores, séismes, changements climatiques, volcanisme, inondations, incendies, (mini-)âges glaciaires, etc., semblent avoir entraînés dans leurs sillages et tout au long des millénaires, de mauvaises récoltes suivies de famines, d'épidémies, de révolutions, de guerres et de chutes d'empires, d'évolutions et de déclins. »
Cette « couverture » exonère également les pouvoirs en place d'avoir à expliquer que les changements terrestres font partie d'un processus naturel et cosmique, et que personne ne peut faire quoi que ce soit contre eux. A côté de la guerre contre la terreur, le mythe du réchauffement climatique permet à l'élite d'augmenter son contrôle sur les masses et de justifier la dépendance de la population envers un establishment corrompu.

Il semble de plus en plus évident que nous nous dirigeons vers un refroidissement planétaire et que l'élite le sait depuis longtemps.
« À travers la presse, nous avons acquis le pouvoir d'influencer tout en demeurant dans l'ombre [...]

Le principal facteur de succès dans la politique est le secret de ses entreprises : les paroles ne doivent pas être en accord avec les actions des diplomates [...]

Nous devons contraindre les gouvernements [...] à agir dans le sens favorable à notre plan aux larges perspectives, qui approche déjà de sa consommation désirée. [Nous le ferons] par [le biais de] ce que nous présenterons comme étant l'opinion publique, secrètement orientée par nous au moyen de ce qu'on appelle la « grande puissance » - la Presse, qui, à quelques exceptions négligeables près, est déjà entièrement entre nos mains.

Aucune information n'atteindra la société sans passer par notre contrôle. Ceci est déjà pour nous un point acquis par le fait que toutes les nouvelles sont reçues de toutes les parties du monde par un petit nombre d'agences qui les centralisent. Lorsque nous serons arrivés au pouvoir, ces agences nous appartiendront entièrement et ne publieront que les nouvelles qu'il nous plaira de laisser paraître. »

Ce n'était pas cette situation en 1905 [...] ou en 1926, quand je [Douglas Reed] devins journaliste, mais elle était en train de se développer, et c'est aujourd'hui [années 50] la situation. Le flot de « nouvelles » qui se déverse sur l'opinion publique par les journaux vient de quelques agences, comme sortant d'une demi-douzaine de robinets. N'importe quelle main pouvant contrôler ces valves peut contrôler les « nouvelles », et le lecteur peut observer par lui-même la forme filtrée sous laquelle les nouvelles l'atteignent.

~ Douglas Reed, La controverse de Sion

Références additionnelles pour aller plus loin sur les comètes, l'univers électrique et le refroidissement global et ses conséquences :

Articles de Laura Knight-Jadczyk
Comètes & Catastrophes Série

Dossier : Les comètes électriques
Les comètes électriques - 1re partie
Les comètes électriques - 2e partie
Les comètes électriques - 3e partie
Les comètes électriques - 4e partie
Les comètes électriques - 5e partie
Les comètes électriques - 6e partie
Les comètes électriques - 7e partie
Les comètes électriques - 8e partie

Articles : Les comètes
Explication du modèle de décharge plasmique des comètes de James Mccanney
Les comètes électriques réécrivent la science spatiale
Le danger des météorites et des comètes pour la civilisation
Véritables origines de la théorie de la comète électrique
Comètes, épidémies, tabac et origine de la vie sur terre
Influence des comètes, phénomènes atmosphériques et pandémies
Thomas Forster, chutes d'empire et phénomènes remarquables

Articles de fond sur le refroidissement global
Le feu et la glace : le jour d'après
Le réchauffement climatique s'est arrêté
Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (première partie)
Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (deuxième partie)
Des experts disent que des pénuries de nourriture et de carburant sont imminentes à l'aube du nouvel Âge glaciaire
Vers un refroidissement climatique