Il n'est pas scientifiquement établi par les observations que les concentrations atmosphériques mondiales de dioxyde de carbone sont majoritairement la conséquence des émissions de dioxyde de carbone liées à l'utilisation des combustibles fossiles depuis 1750. Bien que le bilan carbone soit des plus complexes, le GIEC prend pour hypothèse que les échanges naturels de dioxyde de carbone entre les océans et les terres émergées sont connus et constants et que seul le dioxyde de carbone « fossile » s'accumule dans l'atmosphère.Cette façon simpliste de voir les choses est pourtant en contradiction avec des études qui tendent à montrer que la hausse de la température précède celle du CO2, autrement dit que
le GIEC confondrait l'effet avec la cause et inversement.À l'appui de sa thèse le GIEC invoque certaines tendances :
- la teneur en isotopes de carbone
- la différence de concentration en CO2 entre l'hémisphère Nord et l'hémisphère Sud
- la concentration en oxygène dans l'atmosphère
- la constatation d'une acidification des océans
- l'étude du bilan carbone
En l'état actuel des connaissances :
- « Le fractionnement isotopique (exprimé en δ 13C), les variations saisonnières de concentration en CO2 dans l'hémisphère Nord et le délai entre les variations des taux de CO2 dans les hémisphères Nord et Sud, ne peuvent pas encore être expliqués de manière satisfaisante. »
- si la combustion des combustibles fossiles utilise de l'oxygène, on connaît mal, voire ignore, les flux nets entre l'atmosphère, la biosphère et l'hydrosphère.
De plus, pour ce qui concerne les autres tendances :
- la diminution du PH basique des océans est minime et cela ne prouve qu'une chose, que le dioxyde supplémentaire anthropique y est dissous
- l'équation simple du GIEC : augmentation dans l'atmosphère = émissions anthropiques - puits de carbone, ne tient compte ni de l'augmentation naturelle du CO2 atmosphérique, suite à l'élévation de température des océans, ni de l'augmentation du CO2 due à l'activité volcanique.
Les reconstitutions historiques, toute imparfaites qu'elles soient, montrent qu'une teneur élevée en carbone n'est pas incompatible avec le début d'une nouvelle période glaciaire... et que la teneur en CO2 de l'époque industrielle n'est pas plus importante que celle des 1300 dernières années.
Commentaire: Bah, la clique politicienne pourra toujours vertueusement s'indigner d'avoir été induit en erreur par les scientifiques. En attendant, il faut faire feu de tout bois : si le réchauffement anthropique rapporte du pognon, profitons-en ! :
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Propagande climatique : bientôt l'apocalypse, c'est sûr... sauf avec notre pognon, heureusement
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Business du « réchauffement climatique » : mode d'emploi pour du pognon Si ça peut restreindre la liberté de penser, c'est encore mieux :
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Le fascisme climato-excité français
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Un petit goût de fascisme climatique
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Propagande climatique : Hitler, enfin ! Et si en plus les vilains terroristes,
c'est aussi à cause du climat, c'est le nirvana !! Morceaux choisis :
Cette tribune, qui fait coup double en dénonçant aussi l'interdiction de la fiesta manifestation pour sauver la Galaxie le 29 novembre, explique en effet que :
Combattre le changement climatique, c'est aussi mettre en œuvre des solutions aux crises géopolitiques que nous traversons et dont les attentats du 13 novembre sont un sanglant symptôme.
C'est bien connu en effet : pour régler un problème, il suffit d'essayer d'en régler un autre - de préférence imaginaire (une solution plus ancienne consiste à créer une commission). La démonstration de nos vainqueurs est imparable :
N'oublions pas que Daech se finance en partie par le pétrole de contrebande. Or, c'est bien la fin du tout pétrole et des énergies fossiles qui est visée avec la conférence sur le climat, via une plus grande autonomie énergétique des États permises par les performances toujours plus grandes des énergies renouvelables.
On ignorait jusque là que les principaux pays émetteurs de Céhodeux que sont la Chine, les États-Unis, l'Inde ou la Russie achetaient leur pétrole à Daech. Mais ce n'est pas là la seule info décoiffante de la tribune. En effet, nous apprenons aussi que la COP21 n'aura pas que pour fonction d'empêcher les pays émergents d'émerger de bannir le vilain Céhodeux : elle va aussi régler le reste des problèmes du monde. Guérir les écrouelles et sauver le scarabée pique-prune, bien sûr, mais pas seulement :
Et que dire de la lutte contre les paradis fiscaux, places financières opaques ou transitent les flux financiers des réseaux mafieux et terroristes, et permettent leur blanchissement ?
La conférence sur le climat intègre des discussions autour de l'assainissement des circuits financiers internationaux. Là encore, il s'agit de lutter pour le climat et contre les groupes terroristes qui en usent. L'enjeu est d'importance! Si des engagements en ce sens sont pris dans la déclaration des États à l'issue de la COP, les collectivités et les entreprises du monde seront invitées à les rejoindre pour ne plus être, indirectement, les complices de nos bourreaux.
Il a peut-être manqué à nos lauréats de cette semaine une touche de poésie pour mettre en balance les flux de gaz satanique avec les flux de l'argent sale. Ou pour dresser le parallèle entre réseaux électriques exploitant des centrales à charbon et réseaux mafieux et terroristes exploitant le fondamentalisme. Mais ne nous laissons pas emporter par le lyrisme : après avoir lu cette tribune, frappée au coin de la science et de la géopolitique de comptoir bon sens, la seule chose à ajouter est : CQFD.
Commentaire: Un autre clou dans le cercueil du réchauffement climatique :
-e mensonge du « réchauffement climatique anthropique », une poule aux œufs d'or qui ne doit pas mourir