L'enfance devrait être un moment privilégié de la vie. Pourtant, l'enfance, pour certains, peut être un vrai cauchemar à cause des maltraitances ou de la négligence qu'ils subissent. Que les réprimandes soient psychologiques ou physiques, elles ont des impacts sur le futur adulte qu'est l'enfant. Les chercheurs du Queensland, des États-Unis et de l'OMS font le point sur les conséquences de la maltraitance des enfants à partir d'études faites dans les pays développés.
Les chercheurs se sont concentrés sur les études qui s'intéressaient aux impacts de la maltraitance sur le long terme. Il s'avère que les personnes qui ont été maltraitées psychologiquement lors de leur enfance ont trois fois plus de chances d'être atteintes d'une dépression, une fois adulte. En ce qui concerne la maltraitance physique elle multiplie par 1,5 voire 2 les chances de faire de l'enfant, un adulte dépressif.
En plus de la dépression, les chercheurs trouvent des liens forts entre maltraitance de l'enfant et les troubles mentaux, l'addiction aux drogues et les comportements suicidaires chez l'adulte. Par contre, il n'y a pas de lien entre la maltraitance et les maladies chroniques ou des comportements comme le tabagisme.
L'étude confirme juste que la maltraitance de l'enfant lui inflige une double peine celle du cauchemar au quotidien et celle des conséquences sur sa vie future.
Selon l'OMS, 20 % des femmes adultes et 5 à 10 % des hommes ont été des enfants abusés. La prévalence de la maltraitance physique se situe entre 25 et 50 %.
Pour aller plus loin: NORMAN RE, BYAMBAA M, DE R, BUTCHART A, SCOTT J, ET AL. (2012).
The Long-Term Health Consequences of Child Physical Abuse, Emotional Abuse, and Neglect: A Systematic Review and Meta-Analysis PLoS Med 9(11): e1001349. doi:10.1371/journal.pmed.1001349
UNE RESTAURATION DE LA PROTECTION DE L'ENFANCE EST URGENT !!
En effet chaque année de plus en plus de familles sont confronté au placement abusif des leurs enfants, sur de simple calomnie outrageante et sans aucun fondement.
Plus de 150 000 enfants sont séparé de leurs parents et comme le reconnait Pierre Naves inspecteur à l'IGAS, 50% dont le placement aurais pus être évité, trop d’enfants sont placés abusivement !
La loi de 2007 donne lieu à de multiples dysfonctionnements. Un grand nombre d’enfants et de familles en sont cruellement victimes. Le système institutionnel mis en place pour la protection de l’enfance a normalement pour mission de porter secours aux enfants victimes, de faire en sorte qu’à la suite de la mise en application des décisions prises pour les protéger, leur équilibre, leur bien-être, leur développement connaissent une notable et incontestable amélioration. Mais ce n’est pas le cas !!
Peu contrôlée, cette profession a développé un sentiment d’impunité qui la pousse à se considérer, comme les juges, indépendante et inattaquable. De là, on assiste à des pratiques absolument condamnables, des abus de pouvoir.
L'ASE se permet de produire des rapports comportant des diagnostics psychiatriques ou des analyses psychologiques. (qui contredisent éventuellement les rapports des experts professionnels et mandatés).
manipule les faits. Elle utilise largement le conditionnel pour présenter des faits accablants mais purement imaginaires. Elle sollicite des témoins qu'elle influence et donne une tonalité très partisane aux rapports.
Ment parfois effrontément, insulte, convoque un parent au dernier moment pour qu’il ne reçoive pas la convocation, on change les heures du rendez-vous sans l’en prévenir et on l’en rend responsable.
Menace de placer l’enfant si l’un des parents veut contester en appel l’une des ordonnances.
Imbus d’une invulnérabilité et d’un pouvoir autoproclamés, trop de travailleurs sociaux induisent des décisions judiciaires qui vont radicalement à l’opposé de l’intérêt de l’enfant, de son équilibre, de ses besoins et de son bien-être.
Il est temps que les mentalités et pratique d'un autre temps changes.