À peine l'ordure Leyen, le jouet des superpuissances financières (Big Pharma, Big Bank), annonçait-elle un racket de 800 milliards sur des Européens pieds et poings liés, que le nouveau maître de l'Allemagne, le futur chancelier Merz, la chose de l'OTAN, annonçait un paquet de 500 milliards pour relancer l'industrie militaire allemande.
Un coup de quoi qu'il en coûte qui fera de la dette pour le peuple allemand, et des intérêts pour les gros prêteurs, c'est-à-dire la Banque, ou les superpuissances financières. Ce sont elles qui misent sur la guerre, et pour cela agitent leurs marionnettes qui nous servent de dirigeants. Vendus, escrocs, corrompus, menteurs, voleurs, assassins en puissance, tous ces qualificatifs s'appliquent à ces ennemis du genre humain.