Science et Technologie
Cette évolution conduit à une intégration forte et puissante entre les entreprises qui fournissent des produits aux agriculteurs (pesticides, tracteurs, drones, etc.) et celles qui contrôlent les flux de données et ont accès aux consommateurs. Côté intrants, l'agro-industrie s'inscrit dans la tendance en amenant les agriculteurs à utiliser ses applications de téléphonie mobile pour leur fournir des données, sur la base desquelles elle peut apporter un « conseil » aux agriculteurs. Côté extrants, nous voyons les grandes plateformes électroniques investir pour faire leur entrée dans le secteur et prendre le contrôle de la distribution alimentaire.
Ensemble, elles favorisent l'utilisation d'intrants chimiques et de machines coûteuses, ainsi que la production de matières premières destinée à des entreprises plutôt qu'à des marchés locaux. Elles encouragent la centralisation, la concentration et l'uniformité, et sont propices aux abus et à la monopolisation.
Comment: « Arrêtez avec ces articles sur les tests PCR, on a compris ! », direz-vous peut-être. Certes, mais « en même temps » (désolé de faire du macronisme), c'est sur ces tests bidons que se fonde le gouvernement pour nous imposer des mesures liberticides et nous assigner à résidence. Alors répétons-le : médicalement (mais pas politiquement), les tests PCR ne servent à rien, ils ne détectent pas les infections actives au COVID.
Selon différentes études et articles, les tests PCR n'ont pas été conçus pour suivre une épidémie et ne permettent de définir si une personne est contagieuse ou malade mais attestent juste de la présence d'un fragment d'ARN du virus SARS-CoV-2. Selon ces études il faudrait surtout utiliser ces tests pour les personnes avec des symptômes, ayant côtoyé des malades ou les personnes à risque afin de limiter les entrées aux urgences. Le suivi des cas positifs via des statistiques tel qu'il est réalisé actuellement ne semble pas utile pour analyser la dangerosité de l'épidémie et encore moins pour mettre en place des politiques de confinement...
Les médias et le gouvernement ne cessent de nous rabâcher les oreilles avec les fameux cas positifs détectés par les tests RT-PCR.
On a constaté une flambée de l'épidémie en France les jours avant le confinement or ces tests PCR ne sont pas un bon indicateur de la dangerosité réelle des cas positifs détectés.

Note de l'éditeur Sott.net : Marre des images de coronavirus, place à un peu de beauté naturelle...
Mais le nouveau variant anglais (séquencé pour la première fois en Angleterre), nourrit toutes les hypothèses et tous les paris, plus contagieux, plus dangereux ?
En regardant les séquençages pour la France sur la même période, on voit deux variants majoritaires, le 20B et le 20I/501Y.V1 (variant anglais, aussi appelé B.1.1.7 ou VOC 202012/01) :
Les « scientifiques » viennent-ils d'obtenir la confirmation que ce plan était finalement politique ?
La réponse courte à ces deux questions est OUI et OUI !
Au cours de ces derniers mois, nous avons décrit en détail la controverse entourant le COVID « casédémique » américain et les résultats trompeurs du test PCR.
Pour rappel, les « seuils de cycle » (Ct) sont le niveau auquel le test d'amplification en chaîne par polymérase (PCR), largement utilisé, peut détecter un échantillon du virus COVID-19. Plus le nombre de cycles est élevé, plus la charge virale de l'échantillon est faible ; plus les cycles sont faibles, plus le virus était répandu dans l'échantillon initial.
[...] les protocoles de l'OMS utilisés par Pfizer pour produire l'ARNm [pour le « vaccin »] ne semblent pas identifier de séquences nucléotidiques uniques au virus du SRAS-CoV-2. Lorsque l'enquêteur Fran Leader a interrogé Pfizer, ils ont confirmé que : « Le modèle d'ADN ne provient pas directement d'un virus isolé provenant d'une personne infectée. »Et nous voilà de retour là où j'ai commencé, il y a quelques temps. Si le virus n'a pas été isolé, comment prétendre l'avoir séquencé ? Et s'il a été séquencé par HYPOTHÈSE et DÉDUCTION, comment peut-on prétendre que le séquençage — ou le virus — est réel ?
Réponse : En AFFIRMANT que le virus et son séquençage sont réels, sans en avoir aucune preuve. Parce que les populations croient sans se poser de question et de manière automatique tout ce qui leur est dit à partir du moment où c'est une « autorité scientifique » qui le DIT.
Un homme visite une vaste casse automobile à la recherche de pièces détachées. Au-dessus de la porte du bureau, il voit un panneau « Ferrari 365 GTB/4 Daytona Spider 1972 — Renseignez-vous à l'intérieur ».
Alors que les médias multiplient les controverses avec des médecins en situation de conflit d'intérêts, le vrai débat scientifique a lieu loin des caméras. Alexandra Henrion-Caude revient pour TVLibertés sur les données dont on dispose à ce jour, sur les grands sujets qui occupent - et inquiètent souvent - les Français.
Le gouvernement a fait preuve d'imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.
Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19
Introduction - Pandémie iatrogène de panique
Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu'en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient (1) (2) :
- non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent ;
- pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire).
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