11 septembre 2001
Il est impossible de ne pas commencer par les dernières secousses d'une série de séismes géopolitiques stupéfiants.
Vingt ans exactement après le 11 septembre et le début de la Guerre mondiale contre le Terrorisme (GWOT), les Taliban organiseront une cérémonie à Kaboul pour célébrer leur victoire dans cette guerre éternelle malavisée.
Quatre représentants clés de l'intégration de l'Eurasie - la Chine, la Russie, l'Iran et le Pakistan - ainsi que la Turquie et le Qatar, seront officiellement représentés, témoignant du retour officiel de l'Émirat islamique d'Afghanistan. En termes de retours de flamme, celui-ci n'est rien de moins qu'intergalactique.

Le jour même des attentats, sur la chaîne new-yorkaise Canal 9, le promoteur immobilier Donald Trump, a qualifié la version officielle de l’effondrement des tours de « mensonge ». Par la suite, il s’est engagé en politique et est devenu président des États-Unis. Avec son ami, le général Michael T. Flynn, il s’était donné comme mission de faire toute la lumière sur le 11-Septembre. Il a divisé l’opinion publique US, mais n’est pas du tout parvenu à son objectif.
La magie du 11-Septembre
James Hepburn a conclu son livre Farewell America de 1968 par ces mots :
« L'assassinat du président Kennedy était l'œuvre de magiciens. C'était un tour de scène, avec des accessoires et de faux miroirs, et quand le rideau est tombé, les acteurs et même le décor ont disparu. »[1]Le 11-Septembre fut aussi un tour de passe passe de magiciens — la même compagnie, je crois. Ils n'ont pas seulement fait disparaître les plus hauts gratte-ciel de New York dans un nuage de fumée avec le mot magique « Oussama Ben Laden ». Ils ont également fait apparaître puis disparaître des avions. Pas seulement l'UA93, englouti par la terre, ou le AA77, vaporisé dans le Pentagone. Je parle aussi de l'UA175, qui s'est soi-disant écrasé sur la tour sud (laissons de côté l'AA11, dont l'unique image fantomatique a été capturée de manière surnaturelle par les frères Naudet deux fois récompensés aux Emmy Awards).
Commentaire: voir aussi les articles de Laurent Guyénot que nous avons déjà publiés :
- Entretien avec Laurent Guyénot - John F. Kennedy et l'État profond
- Conférence de Laurent Guyénot à Genève — « Israël et le double assassinat des frères Kennedy »
- 11-Septembre : Inside Job ou Mossad Job ?
- Kennedy, le lobby et la bombe
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Commentaire: Quelles que soient les raisons qui font que Trump agit comme il le fait, cela nous rapproche, tout à fait concrètement, d'une guerre mondiale. « Ecoute ce que l'homme dit, mais pour savoir qui il est vraiment, regarde ce qu'il fait », dit approximativement un proverbe, quelque part. Dans la tête des civils qui voient, chaque jour qui passe, grandir la probabilité de se recevoir des bombes sur la tête, exit les beaux discours donc. La réalité des décisions prises par nos dirigeants est en passe de devenir encore une fois très douloureuse pour les innocents. De Defensa, à propos de cette crise :
« Cette fois, les choses prennent une autre allure, plus solennelle, du point de vue de la communication certainement. Il y a l'étonnante initiative décidée de réunir demain l'entièreté du Sénat (cent parlementaires) à la Maison-Blanche, pour une communication du président Trump, avec l'aide désintéressée du président du Comité des Chefs d'État-Major, le général Dunford. Le Congrès est actuellement en vacances et cette réunion complètement exceptionnelle et sans précédent résulte, dit-on, d'une demande du chef de la majorité du Sénat, le républicain McConnell, et nullement d'une idée excentrique du président Trump. »
Avec des tensions sur la péninsule coréenne déjà sur le fil du rasoir, les États-Unis ont expédié le sous-marin nucléaire, USS Michigan dans la région. Le sous-marin, qui est capable de lancer jusqu'à 150 missiles de croisière Tomahawk à plus de 1500 kilomètres, est attendu aujourd'hui dans le port sud-coréen de Busan.
L'arrivée de l'USS Michigan coïncide avec la spéculation médiatique intense selon laquelle la Corée du Nord mènera un essai, soit nucléaire, soit de missile balistique, pour marquer sa Journée de la Fondation Militaire. L'administration Trump a déclaré à maintes reprises que les États-Unis utiliseront « toutes les options » pour empêcher Pyongyang de développer un missile balistique intercontinental nucléaire (ICBM) capable de frapper le continent américain. En même temps, le porte-avions nucléaire USS Carl Vinson, avec son groupe d'attaque de destroyers et croiseurs, se dirige vers les eaux de la péninsule coréenne. Selon les derniers reportages, le Carl Vinson se trouvait dans la mer des Philippines où il a rejoint deux destroyers japonais et rencontrera ensuite des navires de guerre sud-coréens en route pour le nord. Les forces aériennes américaines et sud-coréennes participent actuellement à manœuvres conjointes. L'USS Ronald Reagan et son groupe d'attaque sont basés dans le port japonais de Yokosuka.
En réponse à un vote unanime du Sénat américain pour permettre aux familles des victimes du 9/11 de poursuivre l'Arabie saoudite devant une Cour fédérale, un rapport publié dans le journal Al-Hayat basé à Londres, dû à l'expert juridique saoudien Katib al-Shammari, allègue que les États-Unis ont orchestré les attentats terroristes comme un moyen de se créer un ennemi nébuleux, afin de gagner le soutien du public pour une guerre mondiale contre le terrorisme.
Le rapport al-Shammari, traduit par l'Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (MEMRI), affirme que depuis longtemps la politique américaine est «construite sur le principe de la planification préalable et des probabilités futures», que les États-Unis ont maintenant tournée contre le régime saoudien après l'avoir employée avec succès contre les talibans et al-Qaïda d'abord, puis Saddam Hussein et son Irak contrôlé par le régime laïque baasiste.
Al-Shammari affirme que les récentes menaces américaines pour exposer les documents impliquant le gouvernement saoudien, sont tout simplement la poursuite d'une politique américaine, qu'il désigne comme «la victoire par les archives». Il souligne que, lors de l'invasion initiale de l'Irak, sous George HW Bush, Saddam Hussein a été laissé en vie et au pouvoir pour être utilisé comme «monnaie d'échange», mais quand les États-Unis ont décidé qu'il n'était «plus un as dans leur manche», Washington s'est déplacé pour renverser son gouvernement et installer au pouvoir un parti soutenu par les Américains.
(NDLR : des preuves photos émanant d'un satellite russe montrent que la démolition du World Trade Center fut une démolition contrôlée avec des « armes spéciales » qui ont été examinées par un éditeur de Veteran Today à Moscou. L'article ci-dessous a été traduit du russe et transmis aux Etats-Unis il y a .. 3 jours, il a été publié le 7 février, 2015.)
Moscou (Pravda) : des experts étatsuniens considèrent qu'en dépit des relations particulièrement tendues entre les Etats-Unis et la Russie depuis la guerre froide, Poutine n'a posé que des problèmes mineurs à Obama. Les analystes estiment que c'est le « calme avant la tempête. » Poutine pourrait frapper une seule fois, mais s'il le faisait il frapperait très fort. La Russie se prépare à sortir des preuves de l'implication du gouvernement étatsunien et des services de renseignement dans les attentats du 11 Septembre.
La liste des éléments de preuve comprennent des images satellite.
Le matériel publié prouve la complicité du gouvernement US dans les attentats du 11/9 et la manipulation réussie de l'opinion publique. L'attaque a été planifiée par le gouvernement étatsunien, mais a été exécutée par procuration, de sorte qu'une attaque contre les Etats-Unis et sa population a été présentée comme un acte d'agression lié au terrorisme international.
Le motif de cette attaque sous fausse bannière et des meurtres de ses propres citoyens aurait servi les intérêts pétroliers étatsuniens et des multinationales US implantées au Moyen-Orient.
La preuve est si convaincante qu'elle démystifie l'histoire officielle du 11/9 et la version soutenue par le gouvernement étatsunien.
Enfumages à la pelle
Bon allez, on ne va pas vous faire perdre votre temps avec un long exposé pour démontrer que le 11 Septembre était un «inside job». Toutes les preuves sont disponibles sur internet (1) où de nombreuses associations, par exemple d'architectes et d'ingénieurs (2), militent pour qu'on arrête de prendre les gens pour des abrutis, notamment en affirmant que deux avions ont provoqué l'effondrement parfaitement symétrique de... trois tours (3).
On ne s'étendra pas non plus sur les armes de destructions massives irakiennes dont le mensonge, d'abord largement propagé, est aujourd'hui admis car devenu superflu même si, hélas, jamais les Etats-Unis et leurs toutous n'auront à répondre du massacre, «par erreur donc», de plus d'un million de personnes.
S'agissant des faux bombardements de Kadhafi sur la population libyenne, même constat de montage propagé jusqu'à la nausée (4).
Passons rapidement aussi sur la simple tentative de regime change (5) qui détruit actuellement la Syrie sous couvert de révolution, et sur l'attaque chimique perpétrée en fait par les «freedom fighters» (6) des «Amis (SIC) de la Syrie» pour permettre aux USA d'intervenir. Heureusement, Vladimir Poutine veillait déjà au grain, et on connaît la suite (7).
Par Michael Calderone pour le Huffington Post, le 14 juillet 2014
Traduit par François pour ReOpenNews
Dans la soirée du 2 août 2013, l'ex rédactrice en chef du New York Times, Jill Abramson, se trouvait dans un train de banlieue bondé, en route vers sa maison de campagne du Connecticut, quand le Directeur du Renseignement National, James Clapper (Ndt : conseiller principal du Président pour tout ce qui concerne le renseignement en rapport avec la sécurité nationale. Il coordonne les 17 agences de renseignements des États-Unis et supervise la mise en œuvre du programme national du renseignement), l'a appelée pour lui adresser une mise en garde sans équivoque.
Le Times se préparait à publier que les services de renseignement américains avaient intercepté des communications entre le chef d'al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, et un de ses lieutenants basé au Yemen Nasir al-Wuhayshi. Lors d'une conférence donnée le 9 juillet dernier, Abramson a déclaré que Clapper lui avait vivement conseillé de ne pas publier les noms de ces deux personnes. Elle se rappelait qu'il lui avait dit : « Jill Abramson, vous aurez du sang sur les mains si le Times publie cet article ».
Commentaire: Il y a une part de propagande dans l'article qui prend trop au sérieux l'épouvantail Ben Laden.
Le musée, qui est entièrement souterrain, est situé sur le terrain des Twin Towers, la paire d'immeubles de bureaux de 110 étages situés à Lower Manhattan, qui se sont effondrés le 11 septembre 2001 après avoir été percutés par des avions de ligne détournés. Le nombre de morts, combiné à celles causés par l'impact d'un autre avion détourné qui s'est encastré dans le bâtiment du Pentagone, siège du Département américain de la Défense en Virginie du Nord et du quatrième avion détourné qui s'est écrasé dans un champ dans l'ouest de la Pennsylvanie, s'élève à environ 3 000.
Commentaire: Quelques liens supplémentaires, si besoin était, qui remettent en cause la version officielle des attentats :
- 11 Septembre : Le Nouveau Pearl Harbor : partie 1, partie 2, partie 3.
- 11 Septembre : Inside Job ou Mossad Job ?
- De nouveaux documents de la NSA contredisent des affirmations sur le 11-Septembre
- Loose Change : Le complot du 11 septembre 2001 - 9/11: Un Coup Américain
- 11 Septembre : record d'audience sur PBS pour le documentaire des Architectes
N'oublions pas non plus le livre de Laura Knight-Jadczyk et Joe Quinn, 11 septembre, l'ultime vérité, dont voici la 4eme de couverture :
« 11 septembre, l'ultime vérité est l'oeuvre de référence sur les dessous du 11 septembre. Pourquoi le 11 septembre a-t-il eu lieu ? Quels objectifs occultes sert-il ? Cet ouvrage mobilise, afin de répondre à ces questions, une quantité incroyable d'informations. Jamais autant de données sur ce sujet n'avaient été rassemblées. Avec succès, Laura Knight-Jadczyk et Joe Quinn exposent au grand jour les sombres motivations à l'oeuvre derrière les attentats contre les États-Unis, et, pour la toute première fois, nous dévoilent le but caché de l'attaque du Pentagone, la raison du choix des Tours jumelles, et enfin, l'identité des véritables instigateurs du 11 septembre.
Cet ouvrage révèle le vrai visage d'une élite qui se prend pour Dieu, joue avec nos vies et utilise son pouvoir. Il vous permettra de découvrir l'ultime vérité.
Un livre qui bouleversera votre vision du monde ! »
Propos recueillis par Kontre Kulture
Commentaire: Voir aussi la série d'articles écrits par Laura Knight-JadzcykLes Débris de l'Histoire
- Le Gladiateur : John Fitzgerald Kennedy
- JFK : les Bush et Le Roi perdu
- Sim City et John F. Kennedy
- John F. Kennedy et tous ces « ismes »
- John F. Kennedy, J. Edgar Hoover, le crime organisé et le village mondial
- John F. Kennedy et la psychopathologie de la politique
- John F. Kennedy et les cochons de guerre
- John F. Kennedy et les Titans
- John F. Kennedy, le Pétrole et la Guerre à la Terreur
- John F. Kennedy, le Services Secrets et les Riches Texans Fascistes
- John F. Kennedy et l'impitoyable conspiration monolithique
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