11 septembre 2001
Un ancien enquêteur de l'Agence nationale américaine de sécurité, Wayne Madsen, qui a passé huit jours sur place pour enquêter sur les circonstances exactes du décès, le 2 février dernier, de l'auteur du livre The Big Bamboozle Philip Marshall, a contesté la thèse officielle du suicide lors d'une entrevue radiophonique avec Kevin Barrett.
Philip Marshall a été trouvé mort chez lui avec ses deux enfants, tous tués par balle. Un voisin avait trouvé les trois corps (plus celui de leur chien) dans une maison laissée porte ouverte, chose inhabituelle pour un auteur de livres portant sur des questions aussi sensibles. Madsen a également expliqué dans l'interview que l'ordinateur de Marshall n'a toujours pas été localisé, et qu'il avait de plus confié à un ami qu'il travaillait sur un quatrième livre comportant des révélations encore plus « choquantes ».
Philip Marshall a été pilote de Boeing pendant plus de vingt ans, et avait publié en novembre 2012 un livre-enquête, The Big Bamboozle : 9/11 And the War on Terror (La grande tromperie : le 11 septembre et la guerre au terrorisme), documentant l'implication des autorités saoudiennes dans l'entraînement des quatre pilotes responsables des attentats du 11 septembre 2001. Marshall a piloté des Boeing 727, 737, 747, 757 et 767 à titre de capitaine et était convaincu, en raison de son expérience, que les quatre pirates de l'air avaient dû bénéficier d'une formation poussée, dans des conditions réelles et au-delà de celle qu'ils avaient reçue dans les écoles de pilotage habituellement citées dans les médias, et ce jusqu'aux derniers jours avant les attentats.
La connexion israélienne des attentats du 11-Septembre : tel est le sujet qui provoque embarras, mises à l'index et désinformation de la part de nombreux journalistes et militants associatifs, notamment en France.
Ce qui suit est l'illustration de cette censure inavouée, à travers quatre exemples significatifs.
France 2
Décembre 2008. La scène se passe dans les locaux du Centre de Formation des Journalistes, rue du Louvre à Paris. L'un après l'autre, les étudiants de la section audiovisuelle font visionner leur premier reportage long format à leurs collègues et leurs encadrants. Les deux principaux responsables de la formation sont Gérard Bernard, responsable à TF1, et Olivier Siou, rédacteur en chef adjoint du journal télévisé du week-end de France 2.
Devinant la nature polémique du choix de mon sujet, j'attends la fin du cours pour diffuser ma vidéo. Celle-ci était consacrée à Richard Gage, fondateur du groupe « Architects and Engineers for 9/11 truth ». Cet architecte américain conteste la version officielle délivrée par l'Administration Bush à propos des attentats.

Le livre électronique de Hicham Hamza, Israël et le 11-Septembre : le Grand Tabou (2013) réunit l’ensemble du dossier à charge d’Israël, avec une rigueur irréprochable et l’ensemble des sources aisément accessibles
Tandis que le rôle d'Israël dans la déstabilisation du monde post-11-Septembre devient de plus en plus évident, l'idée qu'une factions de likoudniks, aidés par leurs alliés infiltrés dans l'appareil d'Etat US, sont responsables de l'opération sous fausse bannière du 11-Septembre devient plus difficile à refouler, et quelques personnalités ont le courage de l'énoncer publiquement. Francesco Cossiga, président d'Italie entre 1985 et 1992, déclara le 30 novembre 2007 au quotidien Corriere della Sera : « On nous fait croire que Ben Laden aurait avoué l'attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours à New York - alors qu'en fait les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d'accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l'Irak et l'Afghanistan [1]. » Alan Sabrosky, ancien professeur du U.S. Army War College et à la U.S. Military Academy, n'hésite pas à clamer sa conviction que le 11-Septembre est « une opération classiquement orchestrée par le Mossad » réalisée avec des complicités au sein du gouvernement états-unien, et sa voix est relayée avec force par quelques sites de vétérans de l'armée U.S., dégoutés par les guerres ignobles qu'on leur a fait faire au nom du mensonge du 11-Septembre ou de celui des armes de destruction massives de Saddam Hussein [2].
Les arguments en faveur de l'hypothèse du Mossad ne tiennent pas seulement à la réputation du service secret le plus puissant du monde, qu'un rapport de la U.S. Army School for Advanced Military Studies (cité par le Washington Times la veille du 11-Septembre), décrit comme : « Sournois. impitoyabe et rusé. Capable de commettre une attaque sur les forces américaines et de les déguiser en un acte commis par les Palestiniens/Arabes [3]. » L'implication du Mossad, associé à d'autres unités d'élite israéliennes, est rendue évidente par un certain nombre de faits peu connus.
Plus de 120 documents de la CIA concernant le 11-Septembre, Oussama ben Laden, et la lutte contre le terrorisme, ont été publiés pour la première fois aujourd'hui [le 19 juin 2012, Ndlr], après avoir été récemment déclassifié par la National Security Archive . Les documents ont été déclassifiés après que la NSA ait analysé les notes de la Commission sur le 11/9 et envoyé des demandes dans le cadre de la FOI (Freedom of Information Act).
Les documents contiennent beaucoup de nouvelles informations sur la traque de Ben Laden avant et après le 11/9, le développement de la campagne de drones en Afghanistan-Pakistan, et les relations entre Al-Qaïda et l'allié des Etats-Unis : le Pakistan. Les documents les plus accablants sont peut-être ceux qui montrent que la CIA avait ben Laden à portée de main un an avant le 11/9, mais qu'elle n'a pas obtenu de la Maison Blanche (sous l'administration Bush) le financement permettant de l'arrêter ou même de continuer à le surveiller. Les documents de la CIA contredisent directement les nombreuses déclarations des membres de l'administration Bush selon lesquelles elle poursuivit une traque acharnée qu'Al-Qaïda avant le 11/9 et que personne n'aurait pu prédire les attentats. « Je ne pense pas que l'administration Bush voudrait voir ces documents déclassifiés, car ils démontrent que la CIA savait que quelque chose allait se produire avant le 11/9 mais n'a pas obtenu le soutien institutionnel dont elle avait besoin », explique Barbara Elias-Sanborn, l'employée de la NSA chargée de revoir les documents.
Commençons en 2000 et 2001. La CIA commence à utiliser des drones Predator en Afghanistan. Un document de 2004 indique que : "l'idée d'utiliser des drones date d'avril 2000, et répond à une demande du coordinateur pour le contreterrorisme au NSC [National Security Council, Ndlr], faite à la CIA et au Département de la Défense, afin d'apporter de nouvelles idées pour lutter contre les terroristes en Afghanistan". Le Pentagone approuva le plan à des fins de surveillance.
Le peu de dégâts sur son taxi : seul son pare-brise avant (côté passager) est transpercé par un pylône qui s'est planté dans la banquette arrière. Mais ce pylône pesait plus de 100 kg et il aurait été percuté par un « avion » volant à près de 700 km/h.
Loyd England est également confondu par l'emplacement exacte de son véhicule lors de cet évènement. Devant l'évidence, il reconnait à demi-mots avoir menti et avoue qu'il n'est qu'un petit pion dans un échiquier bien plus stratégique. Tiré du documentaire National Security Alert réalisé par un citoyen parti ré-enquêter seul avec sa caméra.
À l'heure actuelle, la plupart des gens qui lisent ceci savent déjà que nombre de questions sans réponse entourent la fusillade dans un cinéma du Colorado, donc je vais juste faire remarquer rapidement quelques petites choses et peut-être établir quelques connexions au passage.
À part le fait que le Département de la Sécurité Intérieure et le FBI avaient adressé un mémo en mai de cette année aux services d'urgences et de sécurité les alertant sur un risque d'attentat « terroriste » dans un cinéma ; à part le fait que le jour même du massacre d'Aurora, la Faculté de Médecine Ostéopathique de l'Université Rocky Vista réalisait un exercice identique à 27 km de là qui simulait une fusillade dans un cinéma ; à par le fait que l'on sait officiellement que le FBI a monté des « attentats terroristes », sa participation allant de la création du plan et de la fourniture des armes et de l'équipement à la préparation du lieu de l'attaque, en passant par la conduite des véhicules nécessaires à sa réussite ; À PART tout ceci, il y a aussi le problème des témoins oculaires de la fusillade du Colorado qui ont déclaré que le tireur (James Holmes) semblait avoir un complice.
En 1996 et 1997, il y a eu le flop Hale-Bopp qui s'est soldé par le suicide collectif de 39 membres de la secte Heaven's Gate. A l'époque, j'étais là à essayer désespérément de convaincre les gens que la plupart des choses qui circulaient sur Internet n'étaient qu'un tas de conneries, et tout ce que j'ai récolté dans cet effort, ce sont critiques et diffamation. Mais j'avais raison !
Et puis, il y a eu la Folie du Millénaire qui s'est embrasée en 1999. À cette époque, nous avions déjà un site web, et je ne faisais pas que batailler sur les listes de discussions : j'ai publié un article en novembre de cette année-là pour essayer de calmer un peu les choses. C'était tellement bizarre que même mon cousin qui était, à l'époque, ingénieur en aérospatiale employé par la NASA, m'a assuré que les choses ALLAIENT s'emballer parce qu'il y avait une faille dans les systèmes informatiques et le réseau informatique mondial allait bugger de manière imprévisible et engendrer le chaos. Eh bien, même ça, ça n'est pas arrivé ! Quoi qu'il en soit, le message essentiel de mon article à l'époque était plutôt clair :