L'ARN messager est produit dans le noyau cellulaire à partir de l'ADN et son but est de servir d'information à la machinerie cellule située hors du noyau pour fabriquer des protéines. Cet équipement complexe s'appelle le ribosome et se trouve dans un ensemble complexe entourant le noyau cellulaire appelé le réticulum endoplasmique. Les protéines synthétisées se répartissent ensuite dans la cellule selon leur fonction. L'information désignant au niveau du ribosome la nature de l'acide aminé à ajouter à la chaine peptidique est un codon, c'est-à-dire un triplet de bases puriques ou pyrimidiques qui dans l'ARN sont l'adénine, l'uridine, la guanine et la cytidine. De nombreuses tentatives antérieures au coronavirus pour mettre au point des techniques thérapeutiques nouvelles utilisant le même principe d'utilisation de l'ARN messager avaient échoué car la molécule d'ARN est très susceptible à une activité enzymatique appelée RNase qui fait le nettoyage dans la cellule et le liquide interstitiel de l'organisme, toute molécule d'ARN pouvant constituer un danger pour l'organisme.
Les sociétés Moderna et Pfizer-BioNtech ont donc appliqué un stratagème pour améliorer la stabilité de l'ARN messager en remplaçant les uridines par une base artificielle appelée pseudo-uridine, et en complexant cet ARN modifié avec des acides gras synthétiques le «paquet-cadeau mortel» fut proposé aux autorités sanitaires mondiales et nationales pour protéger les populations contre le SARS-CoV-2. Quand j'écris le paquet-cadeau mortel c'est pour insister sur le fait que ces fabricants n'avaient pas prouvé que cette mixture artificielle ne protégeait pas contre le virus ni ne protégeait contre la transmission mais il apparaît qu'ils ignoraient aussi quels pouvaient être les effets de l'introduction de pseudo-uridine dans cette séquence d'ARN messager. En théorie la protection devait être obtenue en injectant aux individus cet ARN messager codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, la sous-unité 1, afin que l'organisme produise cette protéine puis réagisse contre sa présence indésirable et ainsi s'immunise contre le virus. L'épidémie devrait alors rapidement s'éteindre si les populations étaient contraintes par le pouvoir politique de subir ces injections.
Sur le papier c'était tellement séduisant que personne n'ignore la suite de cette opération mensongère à commencer par les effets secondaires de cette vaccination d'un nouveau type.
Mais il y a bien pire, une zone d'ombre que viennent d'exposer une équipe de biologistes britanniques dirigée par le Docteur Anne E. Willis de l'Université de Cambridge. Il s'agit d'un dysfonctionnement des ribosomes quand ils « lisent » l'ARN messager synthétique. La pseudo-uridine est mal reconnue et ignorée par le ribosome et celui-ci reconnaît alors le triplet suivant, ce qui conduit à la synthèse de protéines aberrantes qui n'ont rien à voir avec la séquence de la protéine de la spicule du coronavirus. Personne ne connait les effets de ces protéines néo-synthétisées par les cellules d'une personne ayant subi sous la contrainte l'injection d'un tel ARN messager modifié avec des pseudo-uridines ! Outre le fait que l'efficacité de cette approche vaccinale n'a jamais été prouvée par les fabricants de cette mixture artificielle, elle induit potentiellement une multitude d'effets potentiellement délétères pour l'organisme.
Cet article publié le 6 décembre 2023 constitue un argument suffisant afin de poursuivre les laboratoires pharmaceutiques sus-nommés pour tromperie voire escroquerie délibérée. Il est nécessaire que les autorités de sécurité sanitaire sensées protéger la population exigent un abandon immédiat de la technique vaccinale utilisant l'ARN messager compte tenu de ce résultat ignoré par les dits laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi faut-il des années pour mettre au point un vaccin ? Tout simplement parce que tous les risques potentiels doivent être systématiquement explorés : personne ne peut se permettre de commercialiser un vaccin qui présente le moindre risque pour la santé, or ce n'est pas le cas des vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 qui ont été injectés à des milliards de personnes dans le monde sur recommandation de l'OMS.
Juste pour illustrer graphiquement l'objet de cette étude afin de ne pas compliquer la compréhension de ce présent article, voici schématiquement ce qui se passe de manière totalement hors de contrôle dans la cellule d'un individu soumis à cette pseudo-vaccination, «+1 frameshift» signifiant un glissement du cadre de lecture des triplets (ou codons) de une base pseudo-uridine (capture d'une partie de la fig.2 de l'article) :
Le Docteur Henrion-Caude s'était émue de la vitesse avec laquelle la technique « ARN messager » avait été avalisée par l'OMS et les autorités sanitaires nationales et elle avait raison. Elle a été ostracisée, attaquée par les médias à la solde des grands groupes financiers. Qu'on me traite de complotiste, je m'en moque mais les évidences scientifiques sont là, elle sont irréfutables : cette technique est toxique et doit être abandonnée pour revenir à la mise au point de vaccins plus traditionnels comme des virus entiers désactivés compte tenu du fait que les techniques de production de tels vaccins sont rodées et parfaitement connues malgré le fait que les virus pathogènes ayant un ARN comme patrimoine génétique ont la fâcheuse tendance à muter très rapidement et que la mise au point d'un vaccin n'est valable que sur une courte période. Le Docteur Robert Malone, le précurseur dans le domaine de l'utilisation des ARN-messager à des fins thérapeutiques spéciales dans le cas de maladies incurables pour lesquelles toutes les approches curatives avaient échoué. Or dans le cas du coronavirus, les biologistes chinois avaient clairement identifié l'efficacité de l'hydroxychloroquine pour faire baisser la charge virale en tout début de maladie lors de l'épidémie de SRAS il y a vingt ans. L'argument mis en avant par l'OMS d'absence de traitement précoce était donc un autre mensonge afin de mettre en place cette vaccination de masse.
Avec les effets persistants de cette thérapie avec ARN messager sur l'espérance de vie les preuves s'accumulent en défaveur de ce qui est appelé abusivement un vaccin. Le cas du Japon constitue incontestablement un exemple du caractère létal de cette approche thérapeutique délibérément bâclée en raison d'une urgence qui n'existait pas. Les Japonais sont obéissants et donc aveuglément dociles. Ils appliquent scrupuleusement les directives gouvernementales et dans le cas de la vaccination avec ARN messager ils se sont pliés à de multiples injections qualifiées de rappels, « boosters », comme vous voudrez. Les effets se font toujours sentir sur le nombre de morts inexpliquées comme l'indique la figure suivante :
La mortalité a brusquement augmenté à l'issue de l'épidémie de coronavirus au cours des années 2022 et 2023, respectivement de 10 et 8,6%, alors que durant les années précédentes cette mortalité était monotone croissante en raison du vieillissement de la population. Patrice Gibertie en a conclu, sur la base de données officielles, que la seule explication de ce phénomène alarmant était la campagne de vaccination délirante à laquelle les Japonais ont consenti en se soumettant parfois à plus de 5 injections de « rappel »2. Tous les laboratoires pharmaceutiques qui ont commercialisé à la hâte ce vaccin mal étudié sont donc coupables, appelons un chat un chat, de crime délibéré contre l'humanité ! Ces laboratoires ne seront jamais poursuivis pénalement car ils disposent de tous les arguments pour affirmer que ce n'était pas eux les coupables mais l'OMS et les autorités nationales et internationales de sureté des médicaments.
Ainsi des juristes et des avocats chevronnés sont confrontés à une mission complexe : déterminer la part de responsabilité des fonctionnaires qui composent ces organismes, la FDA aux États-Unis, l'Agence européenne de la sureté du médicament, les organismes publics nationaux équivalents. Ils découvriront alors que tous ces organismes sont totalement corrompus par les puissances financières qui contrôlent ces laboratoires pharmaceutiques. Ce sera donc une mission impossible et tout rentrera dans l'ordre avec de nouvelles épidémies provoquées par des virus manipulés en laboratoire et à nouveau les peuples serviront d'animaux de laboratoire, mourront pour participer au sauvetage du climat, ne pourront plus avoir d'enfants et ceux qui souffriront de séquelles des thérapies imposées par les décideurs politiques seront euthanasiés comme les « vieux » devenus inutiles ... Dans quel monde étrange vivrons-nous ?
Notes :
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