Histoire Secrète
Les premiers individus du genre Homo sont apparus sur Terre il y a environ 2,5 millions d'années. À une époque où le poids moyen des animaux tournait autour de 450 kilogrammes. Mais durant le Pléistocène, l'époque géologique qui précède directement la nôtre, et jusqu'à l'apparition de l'agriculture, la taille moyenne des animaux a chuté de 90 %. Et des chercheurs de l'université de Tel-Aviv (Israël) relient aujourd'hui ce phénomène au développement du cerveau humain.

Modèle 3D de l’anatomie moderne de l’oreille humaine (gauche) et néandertalienne (droite).
L'idée que les Néandertaliens étaient beaucoup plus primitifs que les humains modernes est aujourd'hui dépassée. Il y a trois ans, les analyses de plusieurs dizaines squelettes avaient en effet suggéré que ces derniers soignaient aussi leurs malades et venaient en aide aux femmes enceintes.
Nous savons également que notre ancien cousin, souvent dépeint comme un être sanguinaire, n'était finalement pas plus violent que l'Homme moderne. Plus récemment, nous avons aussi appris que les nouveau-nés néandertaliens avaient un poids similaire à celui des nouveau-nés humains, indiquant une histoire gestationnelle probablement similaire.
De nouveaux travaux dépeignent aujourd'hui de nouveaux points communs entre nos deux espèces.

Sur ce char à quatre roues figurent de belles décorations en bronze et en étain.
Le Parc archéologique de Pompéi annonce sur son site une « découverte extraordinaire » qui est « ressortie intacte » lors des fouilles d'une villa au nord de cette ville engloutie en octobre 79 ap. J.-C. par une couche de cendres.
Il s'agit d'un grand char d'apparat à quatre roues avec ses composants en fer, de belles décorations en bronze et en étain, des restes de bois minéralisés et des empreintes de matières organiques (des cordes aux restes de décoration florale), précise le site.
L'espionnage est de bonne guerre. A la base même de la guerre. Une guerre souterraine menée tant pour déjouer les plans de l'ennemi que pour neutraliser la concurrence des alliés mais néanmoins des rivaux sur le plan économique.
À l'inverse, la nationalisation du pétrole, au Venezuela, fit jaillir une propagande de diffamation contre Hugo Chávez et Nicolás Maduro, puisqu'elle finance les soins de santé de toute la population, au détriment de l'oligarchie. Personne ne se surprend d'une ingérence stimulée par l'or noir. On imagine moins l'influence de groupes humanitaires. Quoi qu'il en soit, l'Argentine nous en fournit deux exemples irréfutables.
Le néocolonialisme des multinationales
Savoir qu'un laboratoire déclare 53 milliards de dollars étatsuniens, en une année, peut être considéré acceptable par bien des gens. Qu'une entreprise assure que nous sommes en pleine pandémie et demande un accès à la mer, un droit de pêche, et le contrôle des glaciers de Patagonie, en échange d'une livraison de doses anti-Covid ‒ en plus de recevoir le paiement des remèdes ! ‒, ce fait n'est-il pas assez explicite pour que l'on doute des intentions humanistes des promoteurs de vaccins ? ²
Commentaire : 17 janvier 1991, de l'envoyé du manifesto depuis Baghdad. Témoignage parvenu au journal sur une bande d'enregistrement après la première nuit de bombardement.
Il est 2h30 la nuit. Une flamme soudaine aux alentours de l'aéroport international de la capitale irakienne, suivie du crépitement de la DCA, réveille brutalement une ville déjà au comble de la tension. Tout le monde sait de quoi il s'agit. La guerre a commencé.
Le ciel s'illumine a giorno sur la ligne d'horizon, au-delà des palmiers et des lumières limpides des routes qui conduisent vers l'aéroport dans une des nuits les plus claires de ces semaines de tension. Des escadrilles de bombardiers américains arrivent de toutes les directions, suivis en vain par une défense contre-aérienne dont les projectiles écrivent des bandes rouges et jaunes dans la nuit comme une sorte de feux d'artifices, tragiques et mortels.
L'explosion des bombes et des missiles secoue le terrain sous la capitale de l'Irak et s'entend clairement jusque dans les solides refuges des grands hôtels, comme l'Al Rashid où est hébergée la presse internationale. Le bruit des bombes et de la DCA est assourdissant pendant toute la nuit, de deux heures et demi quasiment jusqu'à six heures.
En proie à la panique, les gens se précipitent dans les refuges le long des escaliers de l'Hôtel Al Rashid brusquement immergé dans l'obscurité la plus absolue.
De nombreux observateurs du monde contemporain dénoncent le manichéisme professé par les États-Unis dans les interventions qu'ils pratiquent et font pratiquer à leurs alliés. Les occurrences en sont très nombreuses et bien connues, et nous n'en citerons que quelques-unes ici :
- Première guerre d'invasion occidentale de l'Irak en 1990, avec les fausses dénonciations des prématurés tués par l'armée de Saddam Hussein.
- Deuxième guerre d'invasion occidentale de l'Irak en 2003, avec les armes de destruction massive et la fiole brandie par Colin Powell devant le Conseil de Sécurité des Nations Unies.
- En Libye, en 2011, pour justifier l'agression pratiquée par l'OTAN, Kadhafi mérite de mourir comme Ben Laden.
- En Syrie, en 2012, Bachar El Assad ne mériterait pas d'être sur la Terre.
- Pas encore/à peine élu officiellement, Joe Biden promet déjà de s'en prendre aux « Castros et aux Poutines de ce monde ».
« La coopération est tarifée entre le Maroc et l'Europe dans le domaine de l'immigration clandestine et le trafic des stupéfiants en ce que le Royaume chérifien est le principal producteur et exportateur de stupéfiants dans le monde », soutient l'agent qui a souhaité gardé l'anonymat.
On ne saurait le croire lorsqu'on lit la « noble phrase » inscrite au-dessus de l'entrée de l'édifice de la Banque mondiale la noble phrase « «Notre rêve : un monde sans pauvreté». » À cette hypocrisie, je ne peux qu'ajouter : « ...Et nous faisons en sorte que cela reste un rêve. » Cela dit les deux, le mensonge et la nature criminelle des deux institutions financières internationales, créées en vertu de la Charte des Nations unies, mais dont les États-Unis sont les instigateurs.
La vie imite l'art est une expression que nous entendons souvent lorsque certains événements sont apparemment annoncés dans une peinture, une chanson ou dans toute autre discipline créative à laquelle les gens s'adonnent. Les livres, en particulier, sont une source abondante de ce phénomène. Parfois, la séparation entre la réalisation de l'œuvre d'art et l'événement annoncé est sinistrement réduite, ce qui conduit à spéculer sur le fait que sa production n'est pas seulement le fruit d'un simple génie créatif.
Commentaire: « Invasion Los Angeles » (titre anglais : "They live"), un film bizarre au puissant message