Rapidement classés comme affreusement complotistes voire (horreur) directement issus de la fachosphère, les éléments qu'ils proposaient furent heureusement bien vite démentis par les autorités, réfutés par les journalistes, démontés par les chroniqueurs et analystes chevronnés de toute l'intelligentsia parisienne et aussi vite oubliés par tout un peuple-pâte-à-modeler propagandisé jusqu'au trognon.
* * * * * * * * * * * * * * * *
Cher M. Schwab, cher Klaus ! Chers collègues !
J'ai assisté à de nombreux événements organisés par M. Schwab dans les années 90. Klaus vient de se rappeler que nous nous sommes rencontrés en 1992. Au cours de mon travail à Saint-Pétersbourg, j'ai assisté à plusieurs reprises à ce forum consultatif. Je tiens à vous remercier pour l'occasion qui m'est donnée aujourd'hui d'apporter mon point de vue à la communauté des experts, qui se réunit sur cette plateforme mondialement reconnue grâce aux efforts de M. Schwab.
Tout d'abord, Mesdames et Messieurs, je tiens à vous souhaiter à tous la bienvenue au Forum économique mondial.
Il est agréable de constater que cette année, malgré la pandémie, malgré toutes les restrictions, le forum poursuit encore ses travaux. Bien qu'il soit en ligne, il fonctionne toujours et donne aux participants l'occasion de partager leurs évaluations et leurs prévisions dans le cadre d'une discussion ouverte et libre, ce qui compense en partie le manque de communication directe entre les dirigeants, les représentants des entreprises mondiales et le public, qui s'est accumulé au cours des derniers mois. Tout cela est important à un moment où nous avons tant de questions difficiles auxquelles il faut répondre.

Toutes les lingettes antibactériennes et l'éloignement physique pourraient, à long terme, avoir des répercussions non mesurées sur nos microbiomes.
B. Brett Finlay, microbiologiste à l'université de Colombie-Britannique, a déclaré que lorsque nous embrassons quelqu'un, voyageons dans un autre pays ou nous salissons les mains, nous acquérons de nouveaux microbes, et qu'en dépit du fait que certains microbes puissent nous rendre malades, d'autres sont bons pour nous : un microbiome riche et diversifié est essentiel à notre santé.
Selon B. Brett Finlay, la découverte de la pasteurisation à la fin du XIXe siècle a marqué le début d'un siècle de société « acharnée » à se débarrasser des microbes, ce qui a entraîné le déclin des maladies infectieuses. Il ajoute que le lien a pu être établi entre cette perte de diversité microbienne et des conditions telles que l'asthme, l'obésité, le diabète et les maladies cérébrales et cardiovasculaires.
Dans cet entretien long format, il nous livre son analyse claire et rigoureuse de la gestion du Covid-19 en France en s'appuyant sur son expérience du terrain et la littérature scientifique disponible. Armé d'un solide bagage en anthropologie de la technique, il nous explique également les raisons pour lesquelles la technique et la technologie ont pris une place trop importante dans nos sociétés et comment elles influencent négativement nos protensions collectives durant cette crise sanitaire. Il prône un retour à des protensions collectives positives et nous donne toutes les clés pour bien comprendre ces concepts majeurs.
L'idée, selon lui, n'est pas de prouver que tel ou tel traitement fonctionne pour soigner le Covid-19, mais de refaire société tous ensemble en priorité. Il dresse néanmoins un tableau des approches thérapeutiques qui permettent de prévenir ou de soigner la maladie et qui ne sont pas ou peu relayées par les médias mainstream et par l'État, maintenant ainsi la plupart des Français dans la peur d'une maladie apparemment sans traitements efficaces.
Le Professeur John Ioannidis, MD, DSc, est en matière de science médicale extrêmement reconnu. Il est à Stanford, Professeur de médecine, d'épidémiologie et de santé de la population, il occupe aussi le poste de titulaire de la Chaire CF Rehnborg en prévention des maladies, et occupe à titre gracieux le poste de Professeur de science des données biomédicales et de statistique. Il est aussi co-directeur du Meta-Research Innovation Center, toujours à l'université de Stanford.
En résumé, le professeur Ioannadis a fait une présentation PowerPoint en vidéoconférence. Il a ensuite répondu à quelques questions et a également dialogué avec le professeur Raoult.
Sur les graves symptômes dus aux vaccinations recensés jusqu'alors, le Dr Mercola dans un récent article publié sur Sott déclare ce qui suit :
« De nombreux symptômes actuellement signalés suggèrent des dommages neurologiques. Ils présentent une dyskinésie grave (altération des mouvements volontaires), une ataxie (manque de contrôle musculaire) et des crises intermittentes ou chroniques. De nombreux cas détaillés dans des vidéos personnelles sur les médias sociaux sont assez choquants.Voici donc un extrait non exhaustif des dommages causés par le « vaccin » à ARNm Covid-19, dans ce qui a pu être recensé par kla.tv au début du mois de février. Vu sous cette forme de liste, ça fait froid dans le dos.
[...]
Les effets secondaires suggèrent également un dérèglement de la réponse immunitaire innée et une perturbation du système endocannabinoïde, qui agit comme un variateur d'intensité sur votre système immunitaire. »
19 décembre 2020 - Les centres américains de contrôle des maladies (CDC) rapportent que 3 150 personnes vaccinées contre les infections à Covid sont incapables d'accomplir leurs tâches quotidiennes ou de se rendre au travail un jour seulement après la vaccination.
https://www.theepochtimes.com/thousands-negatively-affected-after-getting-covid-19-vaccine_3625914.html
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf
29 décembre 2020 Mexique - Un médecin de 32 ans a dû être admis en soins intensifs après avoir été vacciné contre le Covid-19.
https://www.reuters.com/article/health-coronavirus-mexico-vaccines-idUSKBN2970H3
4 janvier 2021 Portugal - Une aide-soignante de 41 ans meurt 2 jours après la vaccination contre le Covid-19.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-9111311/Portuguese-health-worker-41-dies-two-days-getting-Pfizer-covid-vaccine.html?ito=social-facebook
7 janvier 2021 États-Unis - Un médecin en bonne santé de 56 ans meurt après avoir été vacciné.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-9119431/Miami-doctor-58-dies-three-weeks-receiving-Pfizer-Covid-19-vaccine.html
https://www.wochenblick.at/mann-56-starb-an-corona-impfung-jetzt-will-seine-witwe-wachruetteln/

Une tasse à café de cassis frais contient trois fois plus de vitamine C qu’une petite orange.
J'ai d'abord parlé à des collègues de la publication de lignes directrices pour la thérapie COVID-19 à Shanghai le 1er mars 2020 (1) recommandant des doses élevées en injections intraveineuses de vitamine C. Certains ont montré de l'intérêt, mais beaucoup ont simplement souri comme s'il s'agissait de plaisanteries. J'ai alors compris que cette attitude en Italie et dans le reste du monde occidental s'explique par le passage sous silence de l'utilisation thérapeutique de la vitamine C, en particulier pour le COVID-19. En effet, le mécanisme est le suivant : si vous ne parlez pas d'un fait, ce fait n'existe pas. De plus, lorsque les médias abordent ce sujet, ils le ridiculisent et le traitent comme une « fake news ».
Pour la première fois, la vitamine C en intraveineuse est incluse dans des directives thérapeutiques, nouvelle qui n'ébranle aucunement le mur des préjugés à ce sujet.
Cependant, le manque d'information ne touche pas seulement les médias : les manuels de biochimie enseignent aux étudiants en médecine que la vitamine C est essentielle à la synthèse du collagène et qu'elle peut guérir le scorbut, mais la plupart d'entre eux n'évoquent pas ses nombreuses autres fonctions biochimiques.
Peu après les attentats du 11-Septembre 2001, les États-Unis étaient sous la « menace d'une attaque à l'anthrax ». Quelques semaines avant cette propagande de « peur » où le terme « anthrax » était asséné comme l'est aujourd'hui celui de « coronavirus/Covid-19 », l'exercice militaire, au nom de code « Opération Dark Winter », était organisé les 22 et 23 juin 2001 par le Johns Hopkins Center pour les Stratégies de biodéfense civile (le même qui organisait en octobre 2019 à New York l'Event 201), en collaboration avec le Centre d'études stratégiques et internationales, l'Institut des services analytiques pour la sécurité intérieure, et l'Institut national commémoratif de l'Oklahoma pour la prévention du terrorisme — ce dernier étant une organisation à but non lucratif fondée après l'attentat à la bombe d'Oklahoma City en 1995.
L'exercice simulait l'existence d'une épidémie de variole déclenchée par une arme biologique, et examinait des scénarios de réaction (vaccination, distribution de masques, confinement) mais aussi de gestion d'information, de lutte contre les fake news sur Internet, et autres mesures liberticides et attentatoires « grâce » auxquelles nos vies sont aujourd'hui et depuis plusieurs presque un an prises en otage.
Nous avons publié en mai 2020 un article qui entre plus dans les détails de cet « Hiver sombre » : Covid-19 et l'opération psychologique « Dark Winter » - Doutez de tout.
Note du traducteur : Inventé en 1944 par Raphael Lemkin, un juif polonais, conseiller au secrétariat américain à la Guerre, pour désigner les crimes commis par les nazis sur les juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, le terme « génocide » a été adopté par la Convention ses Nations-Unies en 1948. Il est utilisé pour la première fois dans un cadre juridique par le tribunal militaire international de Nuremberg en 1945, au moment de la mise en accusation des responsables nazis, finalement condamnés pour crimes contre l'humanité. Dans le droit international, la Convention énumère une série de crimes, dont le meurtre, qui constituent le génocide à condition d'être commis « avec l'intention de détruire en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux ».1 — Classification
Son étymologie est composé de la racine du grec ancien γένος, genos, la « race », le « clan », la « descendance », la « génération », la « naissance », et du latin cide, « tuer » ; γένος, genos est une racine grecque que l'on retrouve dans les termes « gène », « génétique », « génome », « eugénisme ». Après un détour par le latin genus, il donnera « généreux » ou encore « généalogie ».
Il peut être intéressant — dans un contexte de globalisation et de « guerre » de quelques-uns contre le plus grand nombre — d'élargir le concept d'un groupe puissant et d'un groupe plus faible tels qu'il est présenté ci-dessous, à ce qui pourrait constituer une « idéologie d'exclusion » à même de tenter de mettre en œuvre ce qui fut gravé en 1980 sur les Georgia Guidestones. À chaque lecteur de se faire sa propre opinion.
Toutes les cultures possèdent des catégories permettant de distinguer les gens entre « nous et eux » selon l'appartenance ethnique, la race, la religion ou la nationalité : Allemand et Juif, Hutu et Tutsi. Les sociétés bipolaires qui ne possèdent pas de catégories variées, comme le Rwanda et le Burundi, sont les plus susceptibles de connaître un génocide.
La principale mesure préventive à ce stade précoce est de développer des institutions universalistes qui transcendent les divisions ethniques ou raciales, qui promeuvent activement la tolérance et la compréhension, et qui favorisent des classifications qui transcendent les divisions. L'Église catholique romaine aurait pu jouer ce rôle au Rwanda, si elle n'avait pas été déchirée par les mêmes clivages ethniques que la société rwandaise. La promotion d'une langue commune dans des pays comme la Tanzanie a également favorisé une identité nationale transcendante. Cette recherche d'un terrain d'entente est vitale pour la prévention précoce du génocide.
Commentaire: Quelques romans d'anticipation pour se faire une idée de ce qui nous attend (là tout de suite) :