Mme Samia Hurst, vice-présidente de la Task Farce (qui n'en est pas à une sortie près) a tout récemment vilipendé les manifestants de Liestal pour non-port du masque en plein air. Ceci alors qu'aucune étude sérieuse au monde n'a jamais démontré (et pour cause !) les bienfaits de cette absurdité et qu'aucun des regroupements « hyper-dangereux » comme les rave parties sauvages de la période du Nouvel-An, le carnaval en Guadeloupe, les manifestations à travers l'Europe ou les libertés restaurées au Texas en en Floride n'ont entraîné le moindre regain de contamination pour une raison très simple : se balader en plein air n'est pas source de contamination, même au sein d'un foule !
Mais pour Mme Hurst, si ! Elle sait combien le virus diffusé insidieusement par les asymptomatiques (une autre assertion douteuse au possible) reste dangereux, même si le risque est « 18 fois moins élevé qu'en espace clos » dicte-t-elle doctement au journaliste qui l'interroge. Mme Hurst connaît ainsi tout de la réalité à la virgule près, ici comme avec les PCR réglés à 40 cycles CT+ qui renseignent (si, si !) de manière fiable sur l'épidémie et tout comme avec les projections de ses collègues de la Task Force qui comme on le sait ont fait carton plein dans leurs pronostics...
Et l'on voit à nouveau ici cette « psychologie du complotisme » à l'envers : la racine de celui-ci est de trouver un sens (même faux, même absurde) à un ensemble de faits angoissants. Les pseudo-scientifiques regroupés au sein de la TF, ont ainsi la science infuse, lisent dans les astres, prévoient le futur — et qu'importent les démentis cinglants infligés à longueur de semaines par la réalité, on ne va quand même pas s'abaisser à tenir compte de celle-ci !
Des chercheurs affiliés à l'Inserm, l'IRSAN, le CNRS, l'INSEE et l'AP-HP - Laurent Toubiana, Laurent Mucchieli, Pierre Chaillot et Jacques Bouaud -, sont formels : "L'épidémie de Covid-19 a eu un impact relativement faible sur la mortalité en France". L'année 2020 n'ayant connu aucune surmortalité chez les personnes âgées de moins de 65 ans, notamment.
Le hic étant que le seul indicateur réel (le nombre d'hospitalisations dues au Covid) est quant à lui parfaitement stable. Les trois autres (ceux donc qui sont invoqués) étant de purs produits de la spéculation qui remplace désormais la science dans les « cercles d'experts » : « le taux de reproduction du virus, l'incidence et la positivité des tests » sont de la foutaise pour parler français puisque comme cela a été abondamment souligné sur ce blog ainsi que par les experts connaissant quelque chose à la santé publique comme désormais par l'OMS, il s'agit de projections basées sur tout un « système » qui ne devrait même pas exister (tests PCR sur-gonflés sans diagnostic clinique, n'ayant aucune valeur nosologique ni épidémiologique) et induisant systématiquement les autorités en erreur.
On aurait tort bien sûr de voir là de l'imbécilité chronique. Nous sommes face à un véritable coup d'état généralisé à tous les pays d'Occident et Alain Berset n'est que la version locale d'un profil de fossoyeur de nos moyens d'existence et libertés tel qui se décline dans tous les pays occidentaux : Olivier Véran en France, différents zozos en Belgique, et de tristes sires comme Anthony Fauci (un des pontes de la corruption systémique en santé mondiale) aux États-Unis et ailleurs.
Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier
Juliette Mansour et l'AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !
Pour connaître l'état d'avancement d'un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l'interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.
En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l'essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.
I — Ce Système vicié qu'il faut abattre
Une classe dirigeante dévoyée et pervertie, ivre de morgue, méprisant le peuple et retournée non seulement contre lui, mais aussi contre la Nation et contre le Pays lui-même : tel est le lamentable spectacle auquel assistent depuis des lustres les Français, divisés et impuissants, indignés mais résignés, manipulés surtout.
Macron incarne au dernier degré cette caste hors-sol qui n'a que dédain pour la France et son peuple. La démocratie, la République et ses principes ? Il n'en a cure. S'il lui arrive de s'en prévaloir, c'est pour mieux les trahir et les broyer. Le mensonge est banal. L'éthique n'existe plus. L'abus se déguise en vertu. Le cynisme règne.
Selon Pierre Barnérias, la campagne contre son documentaire est « abjecte. » Et il pose la question : « Qui fabrique le mensonge ? Qui ? »
Il ajoute ce qui suit dans un entretien donné à FranceSoir en novembre dernier :
« L'épidémie et son traitement ont tout d'une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l'état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu'un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d'expression ou d'information.
L'issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l'humanisme ou l'épopée d'un renouveau. Gageons qu'elle débouche sur le renouveau. D'autres y voient une dimension biblique.
Imaginez, demain, une obligation d'isolement dans un camp sur la base d'une telle fraude... Écoutez bien le conseil qu'elle nous donne à la fin, au cas où vous soyez amené à devoir effectuer un test PCR (quel qu'il soit).
Pour rappel :
« les « seuils de cycle » (Ct) sont le niveau auquel le test d'amplification en chaîne par polymérase (PCR), largement utilisé, peut détecter un échantillon du virus Covid-19. Plus le nombre de cycles est élevé, plus la charge virale de l'échantillon est faible ; plus les cycles sont faibles, plus le virus était répandu dans l'échantillon initial. »Ces cycles d'amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Or, plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n'est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d'amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.
L'hydroxychloroquine. Jamais une molécule n'aura déclenché une telle polémique, enflammé les dîners en villes, opposé des camps de médecins et scientifiques en France et dans les pays occidentaux. Chacun y allant qui de sa question, qui de sa croyance, qui de son « je suis sûr ». Mais la science n'est pas faite de cela. Son timing n'est pas le même que celui d'une épidémie ou de la politique politicienne. La science a un calendrier différent qui dépasse tous les clivages traditionnels des frontières, des religions, des croyances, et des liens d'intérêts.
Revenons un instant sur le traitement précoce. Il paraît de bon sens que pour prévenir le pire, on fasse usage d'un traitement précoce. On peut d'ailleurs étendre ce principe à d'autre domaine où l'obscurantisme sévit. Il est inscrit dans nos principes fondamentaux que l'éducation est un traitement précoce contre la pauvreté : le FMI appelait déjà en 2015 à « améliorer l'éducation pour échapper à la pauvreté ». Quand une personne se coupe le doigt, elle fait usage d'un désinfectant anti-microbien pour éviter l'infection avant de mettre un pansement comme protection ou barrière. En cas d'infection, elle peut faire appel à un antibiotique afin d'endiguer la maladie. Jusque-là, rien d'anormal que d'utiliser un traitement précoce afin de prévenir, car mieux vaut prévenir que guérir. Ainsi, tout le monde entendra qu'il vaut mieux apprendre à lire et à compter en vue de ne pas sombrer dans la pauvreté... Dans le cadre du Covid, malgré les efforts dans les études en phase précoce, une constante apparaît, les plus grands experts en infectiologies le disent, les pays comme l'Inde utilisent des traitements précoces avec succès. Les épidémiologistes l'écrivent et le publient dans des revues à comité de lecture. Le traitement précoce au travers d'un cocktail de médicaments fonctionne.
Louis Fouché, médecin réanimateur à Marseille, nous parle dans un reportage simple et plein d'humanité de sa vision d'une nécessité urgente de remettre en cause ce que nous croyons savoir.
L'allégorie de la caverne de Platon pourrait être relue, car nombreux sont ceux qui sont encore dedans. Louis Fouché, lui, en est sorti il y a déjà quelques temps. Réflexions sur « l'illusion du soi», et balade méditative...