Et elle le sera toujours, subventionnée ou pas. Ce cauchemar dure depuis des siècles, disons-le nûment. Question : depuis 1981 (arrivée de « la gauche au pouvoir ») ou 1870 ? Ou depuis 1789 ou — mettons - 1715 ? Parce que quand on la relit, la « littérature » du siècle dit des Lumières...
La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd'hui MILLE milliards... de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d'euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement, il n'y a rien de nouveau sous le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d'omerta (Coignard), d'abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.
C'est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :
« La censure est cependant plus efficace quand elle n'a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l'information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d'un mur de Berlin qui s'ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l'armada de l'OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l'Occident, avocat quotidien de l'Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l'information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs. »La presse fut chargée d'encenser Davos :
« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d'enjoliver un système peu amène envers ceux qu'il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens. »Halimi tacle au passage l'effarant Joffrin :
« N'accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l'émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n'a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d'une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux. »La géographie, ça sert d'abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :
« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l'ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l'effondrement de l'esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L'Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes. »Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là, confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d'ailleurs :
« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d'encourager l'élite éclairée qui construit l'avenir (« l'Europe ») alors que le peuple ne sait qu'exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu'elles s'opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d'un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen. »
Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle :
« Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour découvrir que l'ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu'il avait envoyé à la guillotine des militants de l'indépendance algérienne...Tant d'enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.
Concluons philosophiquement comme l'andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l'église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.
Commentaires des Lecteurs
Dé-faire tout ce que l'on nous a enseigné depuis l'école ( fausse ) "dite nationale" d'endoctrinement, d'asservissement, d'esclavage, dé-faire tout le système de pensée de cette ignoble, in-signifiante et délirante "matrice/enfer/algorhytme/dualiste/Néant/Mort électromagnétique ( aucun espoir )".
Une simple pensée de haine ou de mort, malgré des injustices...., nous reviens automatiquement en pleine face tôt ou tard.
C'est ainsi ici-bas, l’œuvre de faux dieux criminels et vengeurs incluent dans la matrice.
Autrement dit IL FAUT RENONCER AU MONDE tel qu'il est perçu, NE PLUS Y CONSENTIR et NE PLUS Y RÉAGIR sinon nous ne faisons que constamment l'alimenter par nos pensées de haine, de colère, par notre énergie et vibrations.
C'est un piège, un cercle vicieux , un canular, une farce et attrape âmes.
Simplement observer, sans attachements (désirs) ni rejet (haine).
Il n'y a pas d'autres choix malheureusement.
Certain(e)s feront probablement comme Gandhi, Luther king....dans la non-violence mais au prix de sa vie dans un monde qui refuse encore Dieu ( vie, pureté, intelligence aimante, inconditionnel, bla bla...), même si de plus en plus s’éveillent.
Sinon la PAIX régnerait sur terre, l'intelligence du cœur, le bonheur, l'amour pour son prochain !!!
Je crains que l'humanité n'est le temps d'entièrement se réveiller d'un long sommeil avant qu'ils ne décident d'un reaset final que je vois pour 2025 , 2030 semble être un leurre, voir avant, et ainsi repartir de 0 comme bien d'autres civilisations passées.
Mais l'on devrait quand même s'en sortir inextrémiste.
A moins que le supra ordinateur quantique SOLEIL , l'étoile de ce système solaire et ses autres fausses étoiles, est un "maux" à dire.
Bientôt le dernier jugement .
Comme l'on ne devrait plus juger ni condamner autrui puisque tous dans la "mouise".
Tous enfer-mé dans des corps physique , jadis par des criminels, outre les "Karmas propre à chacun(e), alors que nous sommes PUR ESPRIT PUR AMOUR ou NON DUALISME PUR, corps de lumière, à l'origine, rien n'empêche d'y revenir mais la porte est réduite et le sera de plus en plus, pour un temps ( âme ), l'esprit étant au-delà de ce monde temporel ( mémoire ) fort heureusement.
Il faut se libérer des impuretés ( croyances, spiritualité, avidité, aversion, dualité.... ), alors que la matrice est faite de façon à constamment baisser nos vibrations.
Je vois beaucoup de faux prophètes, gourous en tout genre, des guides spritueux adulant le dieu argent dans des séminaires, stages à outrances à coup de 300, 600 eur voir plus les deux trois jours, si ce n'est l'espoir en la venue de vaisseaux sauveurs, FAUSSE LUMIERE, emmenant avec eux bien des âmes dans des chemins trompeurs, en perdition.....dans les couloirs du temps.