Qu'il s'agisse des
juifs religieux se précipitant hors des égouts de New York le jour de l'an, des
ovnis survolant les bases militaires étatsuniennes, de
Trump ayant échappé de peu à la mort une première fois des mains d'un
Ho, Ho, Ho!
véritable candidat mandchou (puis à nouveau de celles
d'un recruteur de mercenaires pour les guerres de la CIA), et actuellement de la Syrie envahie par la dernière itération d'Al-Qaïda, nul ne peut contester que l'année 2024 a été particulièrement mouvementée.
Si regarder les événements planétaires s'est parfois avéré terrifiant, ils ont aussi, en d'autres occasions, été captivants, voire fascinants. Nous étions aussi pessimistes que tout un chacun quant aux chances de Trump de s'en sortir face à toutes les poursuites judiciaires dont il fait l'objet et aux fraudes électorales attendues, sans parler de la balle d'un assassin à la veille de la convention républicaine. Et pourtant, un miracle s'est produit. Donald Trump sera de nouveau président des États-Unis.
Ce que lui et son « Team Trump Avengers » peuvent accomplir contre le « blob » tout-puissant de Washington reste à voir, mais en attendant, nous avons apprécié les hurlements, les larmes des libéraux et les volte-face que la victoire de Trump a provoqués. Nous devons également faire le point sur le gâchis total que le régime dérangé de Biden a laissé derrière lui : une guerre en Europe de l'Est qui a coûté à la Russie et à l'Ukraine des millions en moyens de subsistance et de nombreuses vies ; un génocide à Gaza et un Moyen-Orient qui n'a jamais semblé aussi instable ; la désindustrialisation de l'Allemagne et donc l'effondrement économique potentiel de l'Europe ; et la campagne mondiale pour promouvoir la soi-disant « idéologie trans » auprès des enfants, ce qui équivaut à de la maltraitance infantile, et, dans les faits, revient souvent à sacrifier des enfants.
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