Traduit par la-matrice pour Conspipedia

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Il y a eu beaucoup de débat autour de l'autorisation en attente de la FDA (Food and Drug Administration, administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments) à propos du saumon génétiquement modifié qui arrive à maturité deux fois plus vite qu'un saumon naturel. Ses nombreux détracteurs l'avaient surnommé « Frankenfish » et avait déclaré qu'il endommagerait l'environnement marin naturel, en plus d'être potentiellement nocif à la consommation humaine. Tandis que ce débat se poursuit, il semble bien qu'un autre organisme vivant génétiquement modifié pourrait être autorisé à être relâché dans l'écosystème : il s'agit de moustiques génétiquement modifiés.

Le Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies a dévoilé des programmes afin de lutter contre la fièvre de dengue et d'autres maladies transmises par les moustiques avec des moustiques génétiquement modifiés conçus pour les rendre stériles ou simplement les éliminer, comme l'a rapporté le service de nouvelles IRIN :
« Les scientifiques luttant contre les maladies transmises par les moustiques font la course pour obtenir l'autorisation de relâcher des insectes génétiquement modifiés conçus afin de stopper la propagation de la dengue, un virus potentiellement mortel.

Cependant, de tels agissements ont rendu les écologistes nerveux lorsqu'une science utilisée depuis longtemps en agriculture est appliquée à la santé publique.

Ces moustiques sont modifiés par un gène supplémentaire ou une bactérie insérée ou encore ils ont eu un gène modifié afin que leur progéniture soit stérile et incapable de répandre la dengue, ou soit qu'elle meurt simplement.

« Les gens n'aiment généralement pas l'inconnu et sont alarmistes. Parce qu'il n'y a jamais eu de relâchement [dans la nature] de moustiques génétiquement modifiés, les critiques sont libres d'imaginer ce qui peut éventuellement mal tourner », dit John Mumford, entomologiste et professeur au Imperial College London. »
Il est également le chercheur principal pour le groupe de contrôle Mosqguide financé par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), fondé afin de développer les meilleurs moyens pour déployer des moustiques génétiquement modifiés dans le but de combattre les maladies transmises par les moustiques, principalement la dengue et le paludisme.

Depuis un demi-siècle, les scientifiques ont relâche des milliards d'insectes génétiquement modifiés - par exemple, des mouches à fruit - afin de sauver les plantes, mais jusqu'à aujourd'hui il n'y a pas eu de relâchement sur le terrain (field release) d'insectes génétiquement modifiés afin de sauver des humains.

L'ONG Pesticide Action Network en Asie et au Pacifique, dont le siège se trouve en Malaisie, s'est opposée au projet de relâchement de moustiques génétiquement modifiés en raison du fait que « cela pourrait avoir des conséquences environnementales ou sanitaires en plus du fait d'augmenter les risques de transfert horizontal de gène », a écrit Sarojeni V. Rengam, directeur exécutif, qui a mis l'accent sur la « possibilité de nouveaux risques pour la santé humaine et animale... l'insecte pourrait devenir plus virulent, plus agressif, ou sa piqûre pourrait avoir des effets différents sur l'hôte ».

La partie la plus choquante est le fait que ces 50 dernières années, les scientifiques ont relâché des milliards d'insectes génétiquement modifiés dans l'écosystème. Il y a eu très peu de débat public pour savoir si l'on devait interférer avec la nature en introduisant des milliards de nouveaux organismes. C'est compréhensible en ce qui concerne les moustiques, comme la plupart des gens les considèrent comme étant une nuisance si ce n'est une menace pour la santé; par conséquent, malgré un manque de connaissance, la plupart des gens liront ceci et diront « bien, débarrassons-nous d'eux ».

Il semble que si les scientifiques ont été capables de modifier génétiquement des insectes avec succès depuis 50 ans, alors au moins quelques-unes de ces espèces étaient à l'origine modifiées afin de devenir des armes porteuses de maladie. En réalité, de nombreuses sources ont rapporté le fait que les récentes apparitions de dengue peuvent être directement reliées aux expériences de l'armée Américaine, coordonnées par la CIA. Dans la plupart des cas de financement gouvernemental pour la recherche scientifique, il y a généralement une origine militaire. La technologie est même utilisée en tant qu'autre menace terroriste fabriquée.

L'ONU rapporte fièrement :
Des chercheurs Australiens de l'université de Queensland, financés par la Fondation Bill & Melinda Gates, ont reçu en décembre l'autorisation réglementaire afin de relâcher des moustiques porteurs d'une bactérie qui empêche le virus de la dengue de se multiplier [as has the Malaysian Ministry of Health].
Etant donnée la certitude absolue que les organisations mondiales, comme l'Organisation Mondiale de la Santé, sont complètement corrompues avec leurs pandémies bidons qui fait apparaître les alliances de l'élite et le manque de réelle préoccupation pour la santé humaine, il est temps que nous devenions tous sceptiques quant à leurs « efforts ». Et quand il est prouvé que des eugénistes comme Bill Gates sont impliqués dans le financement de ce type de technologie, il devrait être clair, à l'heure d'aujourd'hui, qu'il est nécessaire de s'opposer à une telle interférence avec la nature qui se passe sous couvert d'aider à « sauver » les humains.