Les bénéfices du dépistage sont très minces par rapport aux inconvénients.

De très nombreux médecins prescrivent à leurs patients hommes, à partir de 40 ans, un dosage de l'antigène spécifique de la prostate ou PSA, dans le cadre du dépistage du cancer de la prostate - et ce, même en l'absence de symptômes.

Le groupe d'experts de l'United States Preventive Services Task Force, une organisation créée en 1984 sous l'égide du ministère de la santé, pour formuler des recommandations de santé publique aux Américains, vient dans un avis, de conseiller aux patients comme aux médecins de ne pas pratiquer ce dépistage, parce que les bénéfices potentiels de ce test ne sont pas supérieurs à ses inconvénients.

Ce point de vue était déjà celui de LaNutrition.fr en janvier 2012.

Lire : Non aux traitements inutiles et invalidants

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