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Traduction : Nicole (modifications : SOTT)

Julien Assange, le nouveau « Yasser Arafat »

Wikileaks a divisé le monde en deux camps, ceux qui adorent Wikileaks comme une claque à la face des Etats-Unis, et ceux qui reconnaissent la puanteur de Wikileaks pour ce qu'il est, de la simple propagande Israélienne. Des millions de personnes dans le monde regardent Wikileaks comme le pauvre, harcelé Julian Assange et sa lutte personnelle contre l'empire nocif de l'Amérique de Bush/Obama. Haine, envie, oh, il y a beaucoup d'envie ici, l'Amérique provoque ça avec ses autoroutes remplies de voitures consommatrices d'essence, mangeant la moitié de la viande du monde, ayant les meilleures musique, télévision et une armée qui fiche une de ces trouilles à tout un chacun. N'est-ce pas détestable ?

Beaucoup d'Américains sont pétris de cette haine. Le journaliste Arnaud de Borchgrave appelle ces personnes des "Américains qui se détestent". Il m'a, à une époque, considéré comme leur maître. Considérez que j'abandonne. Il n'y a rien dans Wikileaks qui établisse des problèmes, le travail auquel les honnêtes critiques de l'Amérique croient, ou au moins le devraient. Wikileaks est du marketing bas de gamme à bon marché, un dépotoir dans un habillage brillant.

Le plus grand défi de tous a du être de faire de Julian Assange un produit de marketing. Assange a commencé dans la vie comme hacker informatique réputé bien qu'il n'ait jamais été puni quand il s'est fait pincer. C'est là que l'odeur commence à se dégager. D'autres hackers sont emprisonnés, pas Assange. Assange semble avoir un ange gardien. Il ne lui a pas fallu longtemps pour attaquer le mouvement pour la vérité sur le 9/11, le seul secteur dans lequel l'Amérique et le monde veulent en fait que les informations paraissent. Obtenir une fuite sur le 9/11 d'Assange est peu probable, pas même depuis que le reste du monde a appris que le bâtiment 7 avait été détruit par des explosifs.

Nous attendons toujours qu'Assange explique sa position à ce sujet. Nous ne savions pas qu'il couvrait le 9/11. Nous n'en sommes toujours pas sûrs, mais de plus en plus, le déni d'Assange sur le 9/11, avec les révélations sur le bâtiment 7, est un autre smoking gun, dirigé vers Wikileaks en tant que bidon, un smoking gun dirigé vers Israël comme paraissant plus qu'un peu impliqué.

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L'incarnation suivante d'Assange après son introduction au monde comme un pauvre homo-sexuel harcelé, dénichant ses secrets sur l'Amérique par le biais de son amant au Pentagone avait besoin d'une tournure un peu plus virile. Assange, pervers, mystérieux, et d'une certaine façon répugnant avec sa bande, pas très adulte, du Midwest, trahissant évidemment son pays sous l'emprise d'une affaire de coeur ne cadrait pas bien, tout le monde n'est pas "ami des gays". Assange devait être reconditionné pour convenir à une population plus importante.

C'est comme ça que ça a commencé, une fiction, bien sûr, puisqu'il n'y a jamais eu de boyfriend et qu'il n'y avait pas de véritables fuites non plus. Tout ça était une invention, un mythe, du marketing bon marché, vendre Wikileaks, en faire une marque comme si c'était un collant ou un remède contre le rhume fabriqué à partir de poison à rat. Wikileaks était un outil, à prendre en cas de besoin et à laisser de côté une fois le travail fait.

Wikileaks n'était rien que des déchets, de la bagatelle, laissés là par une organisation d'espionnage majeure qui a eu accès à de vrais secrets sur des armes nucléaires, des plans de guerre. Ils ont été vendus sur le marché libre, comme nous l'apprenons. Wikileaks était le bras politique, spécialisé dans la propagation de rumeurs, la dissidence, et préparant le monde à la guerre, préparant le public pour ce qui est à venir, organisé par les gens qui planifient "ce qui est à venir."

Wikileaks est la guerre par la tromperie. Nous savons tous qui fait ça. Peut-être même les personnes qui ont planifié et exécuté ce que nous avons maintenant commencé à exposer sur le 9/11.

Les fuites en elles-mêmes ont d'abord été absurdes, avant de passer quasi inaperçu sur Youtube. Un jour, plus d'informations secrètes ont été balancées dans la presse grand public, ou dans les "nouvelles alternatives" ou, mieux encore dans la presse "marginale", toutes surpassant Wikileaks, certainement en qualité et en substance. Wikileaks a commencé à reproduire de nouvelles histoires et des pétards mouillés, tous "mis en valeur" à travers ce que l'on appelle communément un programme "guerilla marketing", de la même façon que le film Blair Witch Project a été vendu.

Wikileaks était tout "grésillant" mais il n'y avait rien à se mettre sous la dent. Il y avait un hic, d'ailleurs. Les nouvelles grand public portaient toutes sur Wikileaks, alors même que ce n'était rien, qu'elles ne fuitaient rien, presque comme si elles avaient reçu des ordres émanant d'en haut de vendre Wikileaks parce qu'on allait en avoir besoin pour plus tard.

Cet aspect, en particulier, a fait que Wikileaks ne sonnait pas juste. Les organisations d'infos dépensent des millions à travailler leurs "sources internes". Maintenant elles sont censées passer pour des incompétents complets par rapport à ce "montage" sorti de nulle part ? Non seulement elles le gobent, mais en plus elles le font en souriant. Est-ce que les infos n'auraient pas du se pencher sur Wikileaks, pas seulement par concurrence mais pour démystifier la presse avant tout autre chose ?

C'était le choix évident que les infos auraient du faire, qu'elles auraient du voir, même ce que les infos alternatives auraient du voir en une minute, mais si peu l'ont fait. C'est là que c'est devenu clair. Ce n'était pas seulement la vieille histoire du contrôle Sioniste de la presse, vous savez, celui des Juifs qui dirigent tout, possèdent tout, fabriquent les nouvelles, et se paient notre tête à nous, ce n'était pas ça. C'était quelque chose de plus simple, de plus basique.

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Wikileaks a puisé dans le motherload, un puits de haine à travers l'Amérique latine, le Canada, l'Europe, la Russie, le monde arabe, le Pakistan et l'Inde. Des pays qui voudraient s'incinérer les uns les autres pour le plaisir aiment tous Wikileaks. Dans certaines régions du monde, haïr l'Amérique est plus populaire que le cricket.

Wikileaks vend de la haine. Wikileaks trouve son énergie en puisant dans l'envie que le monde éprouve pour les États-Unis et en la transformant en haine. Ils le font, non comme une fin en soi, mais comme une façon de reconnaître leur sponsor, une façon si évidente qu'ils devraient en demander crédit, peut-être nous pourrions l'appeler "Zioleaks."

Comme l'auteur Jeff Gates le fait remarqer,Wikileaks est une simple "théorie de jeu", une opération de guerre psychologique Israélienne faite pour servir de dissimulation aux actes de génocide auxquels ils ont pris part. Gates pointe que "les significations, motivations, et opportunités" sont les critères qui permettent de comprendre Wikileaks. Ces indicateurs communs connus de tout enquêteur criminel prouvent une chose, Wikileaks n'existe simplement pas, pas plus l'histoire de dissimulation que le mythe.

Que va faire un pays comme Israël quand tout le monde saura qu'ils volent des organes aux prisonniers qu'ils ont arrêtés pour avoir lancé des pierres sur leurs tanks et leurs bulldozers. Lisez Gilad Atzmon.

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Combien d'adolescents sont payés par des Allemands comme survivants de l'holocauste ? Un groupe à lui seul a escroqué l'Allemagne de 42 millions de $.

Un pays comme ça qui va s'abaisser à tout et pour Israël, une nation qui a une histoire singulière, tant à cacher, tant de mensonges, tant de crimes, des crimes innombrables, tant de crimes que l'holocauste apparaît comme un écran de fumée...

Ensuite nous avons le mythe, Wikileaks, qui ne se vend pas si bien comme une histoire homo. Assange doit renaître, d'abord comme le nouveau "Yasser Arafat", l'"homme sans patrie", que l'on décrit voyageant d'un pays à l'autre d'un studio d'enregistrement à un hôtel 5 étoiles, non loin de la CIA et du MI-6. Nous avons quelques informations sur Arafat aussi. Un de mes amis avait l'habitude de le conduire en avion. Il le faisait en tant que Lt. Col. de l'U.S. Air Force. Pourquoi est-ce que le plus grand chef terroriste du monde avait un avion Américain à sa disposition ? Oh comme nous mentons, oh comme nous construisons ces hommes de paille.

Vous avez entendu parler d'Osama bin Laden étant en dialyse dans un hôpital Américain ? Je me demande si l'Air Force le conduisait en avion aussi ?

Assange est un homme de paille, il existe, mais est-il Wikileaks ?

L'idée d'un jeune homme d'apparence plutôt féminine dont on dit qu'il reçoit du matériel secret d'un jeune soldat Américain ouvertement gay n'est pas très bonne question marketing. "Gay" ne se vend pas très bien dans notre époque "Ne Demande Pas, Ne Dis Pas" (DADT) Assange devait renaître et quel meilleur masque que celui d'un vicieux "accusé" de viol, peut-être le violeur le plus accusé, acquitté avant d'être accusé de nouveau de l'histoire.

Quand des femmes Américaines regardent Assange, l'idée de le suivre dans une chambre d'hôtel ou d'être violée semble quelque peu improbable. Vendre Assange comme un "masher" ou un "cate rape" suspect sur lequel pèsent des charges criminelles "on again/off again" aurait dû éveiller les soupçons de la presse. Comme c'est amusant, la presse semble tout gober, cet Aussange nouvellement relooké, le criminel sexuel potentiel, l'animal hétérosexuel prenant des femmes Suédoises pour proies, quand on sait à quel point la Suède est réputée pour ses femmes passives aux airs de Saintes Nitouches. Il y aurait plus fort à parier que la majorité des étudiantes en Suède battraient Assange à mains nues.

Je pense que je tiens là un nouveau reality show. Notez que j'en ai le copyright.

Ce nouvel Aussange violeur en série, clone de "Yasser Arrafat", celui-ci se vend mieux. Ce qui fut perçu comme féminin voire servile peut maintenant paraître sinistre et dangereux. Les femmes peuvent maintenant l'acheter. Assange est maintenant un "mauvais garçon". Peut-être que nous gagnerions à ce que Ken O'Keefe lui donne quelques leçons de "virilité" et lui obtienne de l'encre.

Pendant que ce drame se joue, doucement, dans les coulisses, dans un tribunal, ceux qui ont été payés pour écrire ces choses apprennent que Wikileaks n'est en fait pas du tout un amant gay "star crossed" mais un groupe de citoyens Israéliens, très bien rémunérés, fortement protégés, travaillant aux plus hauts niveaux du gouvernement Américain, travaillant pour l'Etat d'Israël. L'ancien employé de l'AIPAC, Steve Rosen, dont le nom parait dans l'acte d'accusation ci-dessous, offre maintenant des preuves d'une opération d'espionnage massive et continue, une opération qui permet d'accéder, et bien, aux données de Wikileaks, entre autres choses.

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Chose amusante, personne n'a jamais trouvé la magique "cabane de Robinson" de Wikileaks avec les dizaines d'elfes qui passent les documents au crible. La NSA et une dizaine d'autres agences peuvent se saisir de ce que j'écris sur mon ordinateur à la seconde même où je le fais, ils peuvent mettre sur écoutes 200 millions de téléphones, enlever une femme dans les rues de Karachi sur demande téléphonique de deux minutes, mais ils ne semblent pas être en mesure de trouver les bureaux ou les ordinateurs de Wikileaks.

Israël fait ce qu'il fait, joue ses jeux, dirige l'Amérique comme une nation d'idiots. Cette fois, néanmoins, le monde est trompé.

Où donc ai-je déjà entendu ça "We con the world".

En fait, nous avons entendu tout ça par le passé, pendant la Guerre Froide. Normalement quelque chose comme Wikileaks serait une opération du KGB, faite pour humilier les "vicieux Américains impérialistes" et, ne l'oublions pas les "chiens qui les dirigent". Les câbles diplomatiques de Wikileaks ont certainement mis en évidence les "chiens qui dirigent" l'Amérique.

C'était un vieux jeu soviétique et ils y étaient bons. Maintenant, tous ces espions de l'ancienne Russie sont à Tel-Aviv, boivent du thé toute la journée et complotent. Wikileaks est leur jeu. Là, ils sont assis, riant de nous tous pendant que le monde brûle.

Ils ont escroqué le monde.