Santé et Bien-être
Les fabricants de l'édulcorant le plus répandu dans le monde ont un secret, et il est écœurant. L'aspartame, un édulcorant artificiel présent dans des milliers de produits à l'échelle mondiale, se trouve être créé à partir d'une bactérie génétiquement modifiée. Ce qui est encore plus choquant est le fait que cette information est connue depuis longtemps. Un article datant de 1999 par The Independent était le premier à exposer l'abominable procédé par lequel l'aspartame est créé. Ironiquement, la découverte a été faite à peu près à la période durant laquelle les riches dirigeants du monde se rencontraient au sommet du G8 afin de débattre de la sécurité de la nourriture OGM.
L'enquête de 1999 avait montré que Monsanto, la plus importante entreprise de biotechnologie au monde, utilisait souvent des bactéries génétiquement modifiées afin de produire de l'aspartame dans leurs usines de production aux Etats-Unis. Le résultat final est une fusion entre deux des principaux risques sanitaires majeurs ayant un impact sur l'industrie alimentaire - les édulcorants artificiels et une panoplie d'organismes génétiquement modifiés. Tous deux ont mené à des débats de grande envergure, l'aspartame étant sujet à la critique scientifique ainsi qu'à de multiples auditions au Congrès. Les scientifiques et les militants pour la défense de la santé ne sont cependant pas les seuls à se prononcer contre l'aspartame. La FDA a reçu une tonne de plaintes de consommateurs utilisant NutraSweet, un produit contenant de l'aspartame. Depuis 1992, la FDA a arrêté de documenter les rapports sur le sujet.
Le procédé par lequel l'aspartame est créé consiste en la combinaison d'un acide aminé appelé phénylalanine avec de l'acide aspartique. Synthétisé pour la première fois en 1965, l'aspartame nécessite une bactérie dans le seul but de produire la phénylalanine. Monsanto a découvert qu'en modifiant génétiquement cette bactérie, la phénylalanine serait créée bien plus rapidement. Dans le rapport publié par The Independent, Monsanto admettait ouvertement que leur bactérie modifiée est une étape clée dans le processus de création de l'aspartame.
« Nous avons deux variétés de bactérie - l'une est modifiée de façon classique et l'autre est génétiquement modifié », a déclaré la source de chez Monsanto. « Elle possède un enzyme modifié. Elle a un acide aminé différent ».
De nombreuses études ont été menées concernant la manipulation génétique, entraînant beaucoup de conclusions sinistres. Une étude a montré que plus les souris étaient nourries avec du maïs OGM, mois elles avaient de bébés. Une autre étude, publiée dans le Journal International des Sciences Biologiques (International Journal of Biological Sciences), a montré que les organes qui répondent naturellement à une empoisonnement alimentaire par des produits chimiques étaient les premiers à rencontrer des problèmes après que les sujets aient consommé des aliments OGM. La même étude déclarait également que la nourriture OGM ne devrait pas être commercialisée.
« Pour la première fois dans le monde, nous avons prouvé que les OGM ne sont pas suffisamment sains ni bons pour être commercialisés. [...] A chaque fois, pour les trois OGM, les reins et le foie, qui sont les principaux organes qui réagissent à un empoisonnement alimentaire par des produits chimique, avait des problèmes », indiquait Gilles-Eric Seralini, un membre expert de la Commission pour la Réévaluation des Biotechnologies.
Les groupes de consommateurs se demandent maintenant si d'autres produits peuvent secrètement contenir des composants génétiquement modifiés. A cause du fait que l'ADN du produit fini ne change pas quand on utilise une bactérie génétiquement modifiée, il est difficile de le savoir. Avec la FDA qui s'est positionnée contre l'étiquetage du saumon OGM, il devient de plus en plus difficile de déterminer si un produit contient des composants génétiquement modifiés ou pas. Les consommateurs durcissent leur opposition contre les éléments OGM qui restent incognito, les produits sans OGM représentant le secteur ayant la plus forte croissance.
« Le public veut savoir et a le droit de savoir », dit Marion Nestle, professeur à l'Université de New York pour le Département de la Santé Publique et des Études sur l'Alimentation et la Nutrition (Nutrition, Food Studies and Public Health Department).
Dévoiler le procédé secret par lequel l'aspartame est créée constitue un autre rappel afin de rester à l'écart des édulcorants artificiels, et tout le monde peut choisir des alternatives naturelles comme le sucre de palme, le xylitol, ou la stévia.
Commentaires des Lecteurs
RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L’ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES
L’aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l’information entre les neurones. Trop d’aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l’aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.
L’acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d’une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate. L’excès d’aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l’ingestion d’aspartame ou de produits contenant de l’acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.
La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d’un excès de glutamate ou d’aspartame, aussi bien que de toxines, 1) n’est pas complètement développée pendant l’enfance, 2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et 4) permet l’infiltration d’un excès de glutamate et d’aspartame dans le cerveau, même lorsqu’elle est intacte.
L’excès de glutamate et d’aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d’une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d’une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu’elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d’audition, crises d’épilepsie, maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.
Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu’il était prudent d’éviter l’utilisation de suppléments diététiques d’acide L-glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L’existence d’une évidence d’effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu’une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu’un supplément d’acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs."
(4) L’acide aspartique de l’aspartame possède les mêmes effets délétères sur le corps que l’acide glutamique.
Le mécanisme exact des réactions aiguës à l’excès du glutamate et de l’aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu’il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent :
(5) Maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l’entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d’anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.
Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l’aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l’aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l’un des nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l’ingestion d’aspartame et de MSG. Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l’aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. De même, Olney, professeur dans le département de psychiatrie, School of Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur et l’une des autorités les plus représentatives en matière d’excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l’acide aspartique causait des trous dans le cerveau des souris). Également, Francis J. Waickman, Docteur en médecine, à qui a été attribué le Rinkel and Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie, allergies et immunologie.
D’autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en médecine, Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine légale et H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du diabète et sélectionné par une publication médicale nationale comme "Le meilleur docteur aux États-Unis".
De même, John Samuels est concerné. Il compila une liste de recherches scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l’ingestion excessive d’acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d’autres encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette longue liste.
PHÉNYLALANINE (50% DE L’ASPARTAME)
La phénylalanine est un acide aminé qui est normalement présent dans le cerveau. Les personnes souffrant du désordre génétique, phenylketonuria (PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau (parfois mortels). Il a été démontré que l’ingestion d’aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n’est pas une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de grandes quantités d’aspartame au cours d’une longue période de temps et ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues possédant des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une décroissance du niveau de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des désordres émotionnels comme la dépression. Il a été démontré au cours de tests sur l’homme que les niveaux de phénylalanine dans le sang étaient accrus d’une façon significative chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l’aspartame. (6) Même une seule prise d’aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine. Dans son témoignage devant le Congrès américain, le Dr. Louis J. Elsas démontra qu’une haute teneur en phénylalanine dans le sang peut se concentrer dans des parties du cerveau et est particulièrement dangereuse pour les nourrissons et les foetus. Il a également démontré que la phénylalanine est métabolisée bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7)
La prise en compte d’un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement élevés provoqués par l’aspartame a été publiée récemment par le "Wednesday Journal" dans un article intitulé "An aspartame Nightmare" (un cauchemar à l’aspartame). John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour. Ces symptômes débutèrent par des pertes de mémoire et de fréquents maux de tête. Il continua par développer un besoin accru de boissons édulcorées à l’aspartame. Sa condition physique se détériora tellement qu’il connu des changements d’humeur importants et de violentes colères. Alors même qu’il ne souffrait pas de PKU, un examen sanguin révéla un niveau de phénylalanine de 80 mg/dl. Il dévoila également une fonction cérébrale anormale et une détérioration du cerveau. Après avoir interrompu sa consommation d’aspartame, ses symptômes se sont améliorés radicalement. (8)
Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières études mesurant l’accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent des hausses significatives des niveaux de phénylalanine. Spécifiquement, les régions de l’hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum du cerveau avaient l’augmentation la plus importante en phénylalanine. Blaylock poursuit en soulignant que l’augmentation excessive de phénylalanine dans le cerveau peut causer de la schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de souffrir d’une attaque d’apoplexie.
Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de l’aspartame peut mener à une accélération des ventes des inhibiteurs à la sératonine tel que le Prozac et des médicaments pour contrôler la schizophrénie et les attaques.
MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D’AKA/POISON) (10% DE L’ASPARTAME)
Le Méthanol/alcool de bois est un poison mortel. Certaines personnes peuvent se rappeler du méthanol comme étant le poison qui a été à l’origine de la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques "risque-tout". Le méthanol est graduellement libéré dans l’intestin grêle lorsque l’aspartame du groupe méthyle rencontre l’enzyme chymotrypsine.
L’absorption du méthanol par l’organisme est accélérée considérablement lorsque du méthanol libre est ingéré. Le méthanol libre est créé à partir de l’aspartame lorsqu’il est chauffé au-dessus de 30° centigrade. Ceci s’opère lorsque le produit contenant de l’aspartame est incorrectement stocké ou lorsqu’il est chauffé (par exemple, comme composant d’un produit "alimentaire" tel que le Jello). Le méthanol se décompose dans le corps en acide formique et en formaldéhyde. Le formaldéhyde est une neurotoxine mortelle. Une évaluation du méthanol établie par l’EPA déclare que le méthanol "est considéré comme poison cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est éliminée une fois qu’il est absorbé. Dans l’organisme, le méthanol s’oxyde en formaldéhyde et en acide formique ; chacun de ces deux métabolites sont toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de 7.8 mg/jour. Un litre de boisson édulcorée à l’aspartame contient environ 56 mg de méthanol. Les gros utilisateurs de produits contenant de l’aspartame consomment jusqu’à 250 mg de méthanol quotidiennement ou 32 fois la limite fixée par l’EPA. (9)
Les symptômes d’un empoisonnement au méthanol sont des maux de tête, bourdonnement d’oreilles, dérangements gastro-intestinaux, faiblesse, vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement et névrite. Les problèmes les plus connus d’un empoisonnement au méthanol sont les problèmes de la vue comprenant vision embrumée, rétrécissement progressif du champ visuel, vision voilée, vision obscurcie, dommages rétiniens et perte de la vue. Le formaldéhyde est un cancérigène connu, il cause des dommages à la rétine, s’oppose à la reproduction de l’ADN et cause des malformations congénitales. (10)
Étant donné l’absence de certains enzymes clefs, les humains sont beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que les animaux. Par conséquent, des tests d’aspartame ou de méthanol sur des animaux ne reflètent pas précisément les dangers encourus par les humains. Ainsi que le souligne le Dr. Woodrow C. Monte, Directeur du Food Science and Nutrition Laboratory à l’Université de l’État de l’Arizona, « Il n’existe aucune étude sur les humains ou les mammifères pour évaluer les effets mutagène, tératogène ou cancérigène possibles conséquentes à l’administration chronique de l’alcool de méthyle. » (11)
Il se sentit tellement concerné en voyant les conclusions sur la sécurité demeurer sans solutions qu’il adressa une requête à la FDA réclamant une audition afin de discuter de ces résultats. Il demanda à la FDA de « ralentir la publication des conclusions concernant les boissons sucrées assez longtemps afin qu’il soit possible de répondre à quelques-unes des questions essentielles. Il n’est pas juste que vous laissiez tout le poids de l’authentification sur le petit nombre que nous représentons alors que nous possédons des ressources tellement limitées. Vous ne devez pas oublier que vous êtes l’ultime défense du public américain. Une fois que vous en aurez autorisé l’usage (de l’aspartame), il n’y aura littéralement plus rien que moi ou mes collègues ne pourrons faire pour inverser le processus. L’aspartame rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites et Dieu sait encore combien d’autres composants contestables prescrits pour insulter la constitution humaine avec l’approbation du gouvernement. » (10) Peu de temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull Hayes, Jr. approuva l’utilisation de l’aspartame dans les boissons gazeuses, puis il fut engagé par une société de relations publiques de la G.D. Searle. (11)
Il a été souligné que certains des jus de fruits et des boissons alcoolisées contiennent de petites quantités de méthanol. Il est important de se rappeler, cependant, que le méthanol n’apparaît jamais seul. Dans tous les cas, l’éthanol est présent, usuellement en plus grandes quantités. L’éthanol est un antidote à la toxicité du méthanol chez l’homme. (9) Les hommes des troupes de l’opération "Desert Storm" (guerre du Golfe) furent "régalées" avec de grandes quantités de boissons édulcorées à l’aspartame qui avaient été chauffées à plus de 30° centigrades par le soleil de l’Arabie Saoudite. Beaucoup d’entre eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires à ceux trouvés chez des individus qui avaient été chimiquement empoisonnés par le formaldéhyde Le méthanol libre dans ces breuvages peut avoir été un facteur contribuant à ces maladies.
D’autres produits dérivés de l’aspartame tel que le DKP (voir ci-dessous) peut également avoir été un facteur.
En 1993, dans un acte qui peut être décrit comme "inconscient", le FDA approuva l’aspartame comme ingrédient dans un certain nombre d’articles d’alimentaires qui seraient toujours chauffés au-dessus de 30° centigrades.
DIKETOPIPERAZINE (DKP)
La DKP est un produit dérivé de la métabolisation de l’aspartame. La DKP a été impliquée dans l’apparition de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP, lorsqu’elle était nitro azotée dans l’intestin, produisait un composant qui était similaire au N-nitrosourea, un composant chimique puissant causant des tumeurs au cerveau. Certains auteurs ont dit que la DKP est produite après ingestion de l’aspartame. Je ne suis pas sûr que ce soit correct. Il est définitivement vrai que la DKP est formée dans des produits liquides contenant de l’aspartame au cours d’un stockage prolongé.
G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des animaux pour vérifier la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain nombre d’erreurs, y compris « des erreurs d’écriture, d’animaux mélangés, d’animaux à qui on n’administrait pas la drogue qu’ils étaient supposés prendre, de perte de spécimens pathologiques due à une mauvaise manipulation » et de nombreuses autres erreurs. (12) Ces procédures de laboratoires négligentes peuvent expliquer pourquoi les animaux servant aux tests et ceux servant de groupe contrôle avaient seize fois plus de tumeurs au cerveau que le nombre auquel on pourrait s’attendre au cours d’expérimentations de cette durée.
Par un tour du sort, très peu de temps après la découverte de ces erreurs d’expérimentation, la FDA utilisa des protocoles recommandés par G.D. Searle pour développer les standards industriels de la FDA pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11) La DKP a également été impliquée comme ayant causé des polypes utérins et des modifications du taux de cholestérol par le Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le Sénat des États-Unis. (13) REFERENCES (1) Department of Health and Human Services, Rapport sur les effets contraires du système de surveillance des effets contraires, ( 25 et 28 février 1994).
(2) Compilé par des chercheurs, docteurs et experts des édulcorants artificiels pour Mission Possible, un groupe dédié à la mise en garde des consommateurs quant à l’usage de l’aspartame.
(3) Excitotoxines : The Taste That Kills, par Russell L. Blaylock, M.D.
(4) Safety of Amino Acids, Life Sciences Research Office, FASEB, FDA Contract n° 223-88-2124, Task Order N° 8.
(5) Département de la FDA chargé de la surveillance des réactions adverses.
(6) Wurtman et Walker, "Dietary Phenylalanine and Brain Function", réunions du premier meeting international sur la Phénylalanine diététique et la fonction du cerveau, Washington, D.C., 8 mai 1987.
(7) Audition devant le Committee On Labor and Human Resources du Sénat des Etats-Unis, première session sur l’examen des problèmes de santé et de sécurité du NutraSweet (aspartame).
(8) Compte-rendu de John Cook publié dans Informed Consent Magazine. "How Safe Is Your Artificial Sweetener" par Barbara Mullarkey, Septembre/octobre 1994.
(9) Woodrow C. Monte, PhD., R.D., "aspartame : Methanol and the Public Health", Journal of Applied Nutrition, 36 (1):42-53.
(10) Cour d’appel des USA du Circuit du District de Columbia, N° 84-1153 Community Nutrition Institute et le Dr. Woodrow Monte contre le Dr. Mark Novitch, Acting Commissioner de la FDA des USA (24/9/85)
(11) Main courante sur l’aspartame par Barbara Mullarkey, publiée dans Informed Consent Magazine, Mai/juin 1994.
(12) Brigade d’inspection de la FDA "Final Report of Investigation of G.D. Searle Company" (24 mars 1976)
(13) Déposition du Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, devant la commission sénatoriale des USA sur le travail et les Ressources Humaines, (3 novembre 1987)
Extrait du Nexus MagazineVolume 2, 28 (Oct-Nov 95) et Volume 3, 1 (Déc. 95-Janv 96) © 1995 par Mark D. Gold, 35 Inman St, Cambridge, MA 02139, USA Tél. : (617) 497 7843, mgold@tiac.net
Page principale de Mark Gold sur l’aspartame (en anglais seulement) : [Lien]
Sonia Deffrennes pour www.ADAPA.org
[Lien]
Surtout quand le produit en question est une association de deux acides aminés, et pas un organisme vivant.
L'insuline des diabétiques aussi est fabriquée par des bactéries modifiées, et on pourrait citer un bon paquet d'autres médicaments.
Les posts d'Ambre ok, l'article non.
C'est toxique oui, mais tout est question de quantité. Comme l'alcool.
METHANOL
Le méthanol est à l'état naturelle dans les tomate par exemple et autre fruits et légumes frais.
c'est sur le méthanol rend aveugle. si le corps a une quantité qu'il ne peut digérer . comme l'alcool.
Le méthanol est dégradé en acide formique qui est toxique. utilisé jusque y'a un an dans les produits detartants de cafetières. Mais si on rince 3 fois la dose est minime.
GLUTAMATE
Glutamate produit depuis des millénaires en Chine en faisant bouillir des os (bouillon). Os, En allemand Knoch.
Qui donne le nom Knorr car toutes les sauces et les soupes en sachet contiennent du glutamate
le glutamate est produit à partir de canne a sucre.
ASPARTAME
A un an d'intervalle, deux études scientifiques ont mis à jour les dangers de l'absorption régulière d'aspartame pour la santé.
En 2006, la première étude montrait une augmentation de l'incidence des leucémies, des lymphomes et de l'apparition de tumeurs malignes.
En septembre 2007, un seconde étude vient de mettre en évidence les conséquences de l'exposition du foetus à l'aspartame ... résultat: l'aspartame serait à classer parmi les carcinogènes. Les études sont entre les mains de l'Agence Européenne pour l'Alimentation et de l'AFSSA dont l'avis est attendu depuis un an
[Lien]
Deux études qui concernent globalement les édulcorants mettent en avant les dangers de l’aspartame, selon les informations recueillies par Europe 1. Une étude danoise qui a porté sur exactement 59.334 femmes enceintes montre qu'abuser des sodas, non gazeux sucrés aux édulcorants, augmente le risque de prématurité du bébé de 29 %. L'étude révèle que boire un soda par jour augmente le risque de 27 % et de 35 % pour deux à trois sodas quotidiens.
Une deuxième étude, qui sera présentée dans quelques jours, réalisée par un institut italien, porte, elle, uniquement sur l'aspartame. Des souris en gestation ont été exposées à l'aspartame et les chercheurs ont vu, en les observant sur toute la durée de leur vie, qu'elles développaient des cancers du foie et des cancers du poumon.
Les scientifiques à l'origine de ces deux études sont inquiets. Ils demandent clairement que les autorités réexaminent sérieusement les dangers de l'aspartame et autres édulcorants.
[Lien]
L’amère vérité sur l’aspartame et les exhausteurs de goût (Mono sodium de glutamate ou MSG
Les substituts du sucre à base d’aspartame causent des symptômes inquiétants allant de la perte de mémoire jusqu’à des tumeurs au cerveau. Mais en dépit de l’approbation par la FDA (Food & Drug Administration - organisme de certification et de contrôle des aliments et médicaments aux États-Unis) le plaçant au tableau des additifs alimentaires "sans danger", l’aspartame est l’une des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public sans méfiance
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L’amère vérité sur l’aspartame et les exhausteurs de goût (Mono sodium de glutamate ou MSG, p1
L’amère vérité sur l’aspartame et les exhausteurs de goût (Mono sodium de glutamate ou MSG
) Extrait du Nexus Magazine, © 1995 par Mark D. Gold
Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous aurez des dossiers sur la pollution et votre santé, le climat, et les écosystèmes. De l’information pour les consommateurs, les médias ; les séquelles de la Guerre du Golfe et plus encore... Du travail sérieux !
L’aspartame est le terme technique pour les marques portant le nom de NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L’aspartame fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament antiulcéreux. L’aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour les boissons gazeuses en 1983. Il fut au début approuvé pour les aliments secs le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections émises par le Dr. John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par l’Avocat général à la consommation, James Turner, en août 1974, et suite à des enquêtes sur les pratiques de recherche de G.D. Searle, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a dû retarder son approbation de l’aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes.
L’aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L’aspartame est tenu pour responsable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a été fait rapport à la FDA. Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu’il en a été fait récemment état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services. (1) Quelques-uns des 90 symptômes répertoriés et énumérés dans le rapport comme étant causés par l’aspartame incluent : Maux de tête/migraines, étourdissements, crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d’ouie, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d’anxiété, difficultés d’élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.
Selon les chercheurs et les médecins étudiant les effets indésirables de l’aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être causée ou aggravées par l’ingestion d’aspartame : (2) tumeurs au cerveau, sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, retard mental, lymphome, malformations congénitales, fibromalgie et diabètes.
L’aspartame est composé de trois produits chimiques :
l’acide aspartique,
la phénylalanine
le méthanol
DKP
Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l’aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir, c’est exactement ce qu’il est.
L’ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L’ASPARTAME)
Le Dr. Russell L. Blaylock, professeur en neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment publié un ouvrage détaillant in extenso les dommages causés par l’ingestion excessive d’acide aspartique issu de l’aspartame. [Quatre vingt dix neuf pour cent du glutamate de mono sodium 9MSG est de l’acide glutamique. Les dommages qu’il cause sont également documentés dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de 500 références scientifiques afin de démontrer comment un excès d’acides aminés libres excitateurs tels que l’acide aspartique et l’acide glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques chroniques et d’une myriade d’autres symptômes aigus. (3)