
© AFP / Sean Prior
Les scientifiques auteurs de l'étude ont sélectionnés trente-sept des 134 pesticides auxquels la population européenne semble le plus exposée. Les tests in vitro de 23 d'entre eux ont prouvé leurs caractères anti-androgènes, soit inhibiteur de libido par chute de la testostérone.
Censés prévenir le développement des champignons parasites, les fongicides sont particulièrement décriés par les auteurs de l'étude car «employés en mélange avant la récolte, ils peuvent engendrer une exposition considérables des consommateurs à ces pesticides anti-androgènes», insistent-ils.
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