Traduction : Initiative citoyenne

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© Inconnu
« Les milliers de pages que j'ai consultées, les centaines d'heures de travail que j'ai consacrées à la recherche m'ont permis de découvrir l'horrible vérité par rapport à ce qui est fait aux gens, comme aux animaux partout dans le monde sous le faux prétexte de « santé publique ». Dr Suzanne HUMPHRIES, néphrologue.

Je suis le Dr Suzanne Humphries M.D., spécialiste en néphrologie, formée en médecine interne. Je possède des licences actives (sans restrictions) pour la Virginie et pour le Maine. Après 10 années de travail comme néphrologue au Centre Médical du Maine (Est), j'ai démissionné de mon poste, vendu mes parts suite aux problèmes auxquels j'avais été confrontée avec mes patients au sujet de la vaccination. Pour moi, les problèmes ont commencé suite à la politique de l'hôpital qui, en 2008, a voulu vacciner un maximum de patients dès leur entrée à l'hôpital, même quand ces personnes souffraient d'insuffisance rénale aiguë, d'insuffisance cardiaque, de septicémie ou de cancer (sous chimiothérapie).

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La vaccination : « un traumatisme d’une intensité considérable » :

- 200 enfants de plus de 5 ans
- Stress des surrénales
- Diminution des réserves alcalines
- Augmentation des marqueurs inflammatoires
- Facteurs de coagulation
- Chute puis augmentation des lipides
- Fonction cardiaque
Del Campo, 1967 PMID : 5379945
Un pharmacien rentrait dans la chambre du malade, lui montrait un document émanant du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) avec une information limitée et biaisée, puis lui proposait un ou plusieurs vaccins. Si le patient marquait son consentement, ce que faisaient la plupart d'entre eux, une ordonnance était imprimée par ordinateur avec le nom du médecin traitant avant qu'un médecin ait pu voir le patient ou avant qu'un diagnostic ait été établi. Ensuite l'infirmière venait vacciner le patient.

Parfois, je retrouvais mon propre nom sur l'ordonnance bien que je n'avais jamais donné l'ordre de faire tel ou tel vaccin. Comme la chose ne me plaisait pas, je décidai de parler à la direction de l'hôpital de ce que j'avais pu observer. - Je mis finalement mes préoccupations par écrit. Des réunions furent mises sur pied pour discuter de la question, mais je ne fus pas invitée à y assister. Le résultat ? On m'a fait savoir que l'on continuerait à proposer des vaccins aux patients malades qui rentraient à l'hôpital. Je me suis alors posé la question : « mais en fait, où se trouve la science qui dit que ces vaccins sont sans danger pour ces gens malades ? ».

Je supposais qu'il devait y avoir des études sur le sujet, des articles dans la littérature médicale pour rassurer les médecins de la justesse de leur politique. Après tout, n'est-ce pas de science dont nous parlons ? Et la science était supposée avoir dit son dernier mot sur la sécurité et l'efficacité des vaccins ! Comme la politique hospitalière était principalement centrée sur les vaccinations contre la grippe et la pneumonie, c'est sur ces deux vaccinations que commencèrent mes recherches.

J'ai, dans la suite, soumis un rapport écrit à l'administration que l'on peut trouver sur le site drsuzanne.net ICI.

Ce document décrit les nombreuses questions soulevées par les vaccins des adultes et des insuffisants rénaux. J'ai donc, pendant un an, discuté de toutes ces preuves avec le personnel administratif, comme avec de nombreux collègues. D'autres médecins ont commencé à changer d'avis, de même qu'un nombre important d'infirmières. Et comme l'administration de l'hôpital ne pouvait pas réfuter mes arguments, elle a fait appel à un expert pour me faire « rentrer dans l'ordre ». Cet expert ne s'est jamais intéressé aux questions que je me posais par rapport aux insuffisants rénaux aigus ou par rapport aux nouvelles admissions à l'hôpital de personnes gravement malades. Cet expert s'est contenté de me donner la liste des études montrant que certains vaccins élevaient les taux d'anticorps chez les personnes les plus immunodéprimées atteintes du VIH ou d'insuffisance rénale. Il prétendait ipso facto que pour les patients gravement malades des reins, atteints de septicémie, de crises cardiaques, de Guillain Barré, de cancer, d'obstruction des voies urinaires, de néphropathie et ainsi de suite, les vaccins étaient sans danger.

Comme sa lettre était assez bizarre, je n'ai cessé de penser: « Et serait-ce là un expert ? Pourquoi cet expert ne peut-il pas répondre à mes préoccupations spécifiques ? Où se trouvent les preuves que des effets secondaires ne se produisent pas chez mes patients ? ». Je n'ai pu trouver nulle part des études qui auraient porté sur la vaccination de patients atteints de graves maladies observées par les néphrologues. Même mes collègues pro-vaccins ont reconnu qu'il n'existait aucune base scientifique pour administrer des vaccins dès l'entrée à l'hôpital. Ces mêmes collègues ont soutenu ma proposition de changement de politique vaccinale.

C'est à cette époque que l'hôpital a fait monter la pression sur moi. Mes notes de progression hospitalière ont été revues. C'était là une chose tout à fait nouvelle pour moi. Personne n'avait jamais mis en cause mon intégrité ou les soins que j'administrais aux patients. Le consultant a tenu cette position parce qu'il n'existait pas de données montrant que les vaccins contre la grippe pourraient provoquer des troubles rénaux et donc que ma suggestion de faire preuve de prudence en vaccinant des gens malades était injustifiée.

Pourtant ce consultant ne m'a jamais montré de données démontrant qu'il était sans danger de vacciner des personnes atteintes de troubles cardiaques, de septicémie ou d'inflammation des reins. Le comité exécutif de l'hôpital m'a également fait savoir qu'il ne convenait pas que je m'oppose aux vaccinations de mes patients et qu'en outre je perturbais le personnel infirmier [...]

Après avoir pris conscience des problèmes de vaccination avec les adultes, j'ai commencé à m'intéresser aux problèmes liés aux vaccins de l'enfance. Le résultat de ces recherches a abouti à la publication d'un livre : Dissoudre les illusions: la maladie, les vaccins et l'histoire oubliée.

Même si les vaccins peuvent protéger pour un certain temps de certaines maladies (ce qui est le mieux que certains vaccins peuvent prétendre réaliser), les assurances données aux personnes malades ou bien portantes concernant l'efficacité et la sûreté des vaccins ne sont pas confirmées par la science, l'histoire, ou même par une grande partie de la littérature médicale. Nous disposons de documents revus par les pairs qui expliquent en détails les tragédies historiques qu'ont présentées certaines campagnes de vaccination. Nous sommes en possession de rapports détaillant des cas de dommages vaccinaux inattendus, et nous connaissons certains de leurs mécanismes.

Nous possédons une liste de lanceurs d'alerte hautement qualifiés qui ont été harcelés et réduits au silence par des agences gouvernementales. Ces personnes essayaient de protéger le public des médicaments et des vaccins qu'ils savaient dangereux. Nous connaissons d'éminents vaccinologues pro-vaccins qui font savoir que la coqueluche, la grippe et les vaccins contre la rougeole manquent d'efficacité et que le problème n'est pas seulement le refus du vaccin, mais ces gens sont ignorés.
En ce qui me concerne, je ne crois pas qu'il soit garanti que les vaccins soient sûrs. Nous savons qu'Il existe des problèmes de production, qu'il y a de l'ADN animal et des produits chimiques dans les vaccins qui ne protègent pas de manière fiable. On donne au public un faux sentiment de sécurité quant à l'efficacité et la sûreté des vaccins. Il n'existe aucune littérature qui traiterait de la vaccination des différents types de personnes malades que je m'efforce de protéger.
Il existe des preuves que dans les années 1950 des virus ont été introduits dans la population via les vaccinations. Ces virus peuvent provoquer le cancer et d'ailleurs le provoquent, mais les problèmes qui surviennent sont mis en relation avec d'autres causes médicales. Les tentatives de différents scientifiques d'examiner ces questions en profondeur ont été sabotées et découragées. Aujourd'hui, nous continuons d'avoir des vaccins contaminés par des virus d'origine animale comme le circovirus porcin des vaccins contre le rotavirus, et qui ont été découverts par des tiers et non par les fabricants de vaccins.

Le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) est en fait un canard boiteux. Ses arguments n'ont pas de poids pour assurer la sécurité attendue pour les enfants. Quand, en tant que médecin, j'ai fait parvenir des rapports au VAERS, j'ai été harcelée par des appels téléphoniques répétés du CDC me disant que cela devait être d'autres personnes qui avaient appelé. Ce petit jeu a duré pendant des mois jusqu'à ce que j'aie une discussion claire et nette avec un médecin du CDC qui m'a demandé ce que me prenait !

Tous ces problèmes m'ont poussée à quitter ma carrière, à abandonner ma stabilité financière, mon confort familial pour me lancer dans une recherche ininterrompue sur tous les aspects des vaccins, leur utilité, leur fabrication, leur sécurité, ainsi que tous les autres aspects liés au problème des vaccins. J'avais prévu qu'un jour viendrait où les parents pourraient perdre le droit de refuser les 69 doses de 16 vaccins prévues pour être administrées avant l'âge de 18 ans. Le tout premier vaccin qui contient de l'aluminium étant déjà administré le jour même de la naissance !

Je me suis exprimée publiquement sur de nombreux aspects de l'immunité du nourrisson, sur les fonctions rénales, la toxicité de l'aluminium et individuellement sur la plupart des vaccins. Des vidéos sont disponibles gratuitement sur YouTube. Aucun médecin n'abandonnerait une carrière réussie et lucrative, comme je l'ai fait, s'il n'existait pas une raison de grande importance. Je supplie tous ceux qui votent les lois d'effectuer une recherche approfondie sur l'histoire des vaccins, leur sûreté et leur efficacité, indépendamment du large éventail de documents que fournissent l'OMS et le CDC.

Je voudrais également vous prier de regarder la vidéo d'une heure que j'ai réalisée et baptisée « Honesty vs Polocy » disponible ICI. Dans cette vidéo, je fournis toutes les références médicales et journalistiques de tous les éléments que j'ai évoqués dans cet article, y compris celles qui concernent les conflits d'intérêts connus des membres de l'ACIP, du CDC et de l'OMS.

La vaccination est un acte médical administré à des enfants sains et dont les conséquences ne sont pas complètement connues. Nous savons que la vaccination constitue un traumatisme d'une intensité considérable qui a depuis longtemps été mesurée par le Dr Del Campo en 1967. Il a étudié le cas de 200 enfants de plus de 5 ans après que ces derniers aient été vaccinés. Ci-dessous, un bref résumé de ce qu'il a découvert.

Fait intéressant, il est presque impossible de trouver d'autres études portant sur l'impact métabolique des vaccins qui sont administrés aujourd'hui. Mais il y a d'autres études qui montrent comment les gènes du cancer, les gènes ayant trait à l'auto-immunité, les gènes des allergies, ainsi que de nombreux autres gènes pathogènes se retrouvent à la hausse après les vaccinations. Je vais également inclure les études d'Orntoft et de Lahndenpera, ainsi que les diapositives adéquates. En 2013, le Dr Orntoft a publié une recherche détaillant les changements survenus au niveau génétique dans les globules blancs avant et six semaines après la vaccination de rappel DTC chez 8 jeunes-filles. Ci-dessous la liste des principaux réseaux du corps qui furent modifiés après le vaccin selon les conclusions d'Orntoft :

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Quels sont ces effets ?

- Altérations épigénétiques qui engendrent :
- Des troubles génétiques
- La mort cellulaire
- Troubles gastro intestinaux
- Troubles du développement
- Problèmes de métabolisme(médicament, nourriture)
- Signalisation cellulaire
- Maladies cardiovasculaires
- Troubles immunologiques
- Troubles du tissu conjonctif
- Problèmes de production énergétique
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« L’explication immunologique des effets non spécifiques des vaccins n’est pas actuellement connue »
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Nourrissons de 3 à 5 mois après DTCa – Polio – Hib :

- PBMC stimulée par la toxine coquelucheuse 12 heures plus tard
- 33 cas d’activation de gènes en rapport avec des allergies
- 66 cas d’asthme liés à l’activation de gènes
- 67 cas de gènes de cancer sur-régulés
- 25 cas de maladies immunologiques avec gènes sur-régulés
Les auteurs suédois Landenpera et al. ont prouvé que ce qu'Orntoft a trouvé s'avère également vrai pour le DTCa, ainsi que pour le DTC. Ces auteurs pensent également que les suites potentielles des vaccinations pourraient être très graves. Pour moi, du fait qu'il n'existe aucune autre étude qui a examiné de tels problèmes dans les délais appropriés, il ne peut exister aucune garantie de sécurité. Un coup d'œil à ces résumés devrait alerter tout lecteur qu'il n'est pas possible de garantir aux parents que leur enfant se portera mieux après s'être fait vacciner. Forcer pareilles politiques vaccinales et rendre obligatoires ces injections aux enfants du Maine constitue à mon avis un crime flagrant.

Nous ne disposons d'aucune étude portant sur les effets à long terme de ce programme sans cesse croissant de vaccination par rapport au cancer, aux maladies neurologiques, aux maladies auto-immunes, aux allergies et autres maladies chroniques qui sont maintenant devenues épidémiques chez les enfants parallèlement à l'extension des programmes de vaccination dans les années 1980 et 1990. Si vous pensez utile de voter pour éliminer les exemptions philosophiques et religieuses des parents du Maine pour pouvoir créer une immunité collective en vue de protéger toute la population, c'est que vous ne disposez pas de toute l'information nécessaire.

Et pire, si vous votez pour éliminer les exemptions, vous faites preuve de naïveté par rapport au fait que vous serez concerné par un barrage de vaccins en tant qu'adulte. Si cette loi est adoptée, alors vous collaborez à ouvrir la voie, non seulement à la politique vaccinale agressive d'aujourd'hui, mais aussi à une politique future qui ne vous permettra plus de faire marche-arrière.