Suite à la publication de son étude concernant l'impact du maïs BT176 (produisant une toxine BT) sur la santé des vaches, basée sur les données récoltées pendant 5 ans sur les 70 vaches d'une fermier allemand, et à la conférence de presse qu'il a donné au parlement européen avec Michèle Rivasi et José Bové, Gilles-Eric Séralini explique brièvement ses résultats et ce qui en découle concernant la nécessaire évaluation des OGM.


Commentaire : On sait qu'il y a des risques de transfert d'ADN d'OGM vers les êtres humains :

L'ADN des OGM transféré aux humains qui les mangent ?

Avec ceci et des plantes qui produisent elles-mêmes des pesticides, qui pourrait avoir l'envie insensée d'expérimenter sur son propre corps les effets d'une alimentation dégénérée ? Personne. On comprend pourquoi l'étiquetage OGM fait tiquer les ténors du business bio-technologique...