Voilà les faits, chers lecteurs, mais si vous vous contentez de lire la presse mainstream occidentale, on vous pardonnera d'être totalement ignorants de ces faits et de souscrire à la croyance erronée selon laquelle Trump serait une espèce de criminel perfide. Heureusement, ce traquenard cynique ourdi par certains éléments au sein de l'État profond américain - dominé par les agences de renseignement - est en passe d'être dévoilé.
Le 7 décembre, le directeur du FBI, Christopher Wray, a été interrogé par le Comité judiciaire du Sénat à propos de plusieurs aspects liés à l'enquête en cours du procureur Robert Mueller, enquête qui, jusque-là, n'a pas trouvé le moindre début de preuve susceptible de confirmer la véracité des allégations qui ont précisément motivé l'ouverture d'une telle enquête. Le républicain Jim Jordan, membre du Congrès (Ohio), a posé quelques questions pointues au directeur Wray, questions qui ont permis de dévoiler toute la fourberie de l'enquête Mueller, son caractère franchement illégal, et son véritable objectif.
Les questions de Jordan portaient sur le rôle joué par le chef adjoint du contre-espionnage au FBI, Peter Strzok - ancien membre de l'équipe Mueller - qui, durant la campagne présidentielle, fut apparemment chargé de dissimuler les méfaits des Clinton et de reporter toute l'attention sur Trump. Il se voit également accusé d'avoir participé à la création du dossier Trump (le dodgy dossier de sinistre mémoire), financé par l'argent de la campagne Clinton via un cabinet d'avocats, via la société Fusion GPS, et enfin via l'agent du MI6 Christopher Steele, lequel a ensuite payé des Russes pour qu'ils lui fournissent des « renseignements » grotesques sur Trump, renseignements que le FBI a présenté comme des informations légitimes fournies par des tiers objectifs. Le FBI s'est ensuite emparé de ce dossier douteux, et l'a présenté à la FISA (Cour de Surveillance du Renseignement Étranger des États-Unis) afin d'obtenir un mandat autorisant la surveillance des membres de la campagne de Trump.
Remarquez que la FISA, créée en 1978, a normalement pour but d'examiner les requêtes en obtention de mandats visant les espions étrangers sur le sol américain. Pour résumer, le FBI et Clinton ont conspiré pour fabriquer des preuves bidon afin de dénoncer Trump et les membres de sa campagne comme de véritables espions à la solde de la Russie. Mais en agissant ainsi, ce sont Clinton et le FBI - et non Trump - qui ont pactisé et conspiré avec les Russes, dans le cadre de machinations illégales visant à détruire un président américain (aujourd'hui en exercice).
Voici les passages clés de la série de questions posées par Jordan :
Rappelons quelques points au sujet du dossier, a-t-il dit. « Le Comité national démocrate et la campagne Clinton, qui, comme nous le savons aujourd'hui, étaient « bonnet blanc et blanc bonnet », ont payé un cabinet d'avocats, lequel a payé la société Fusion GPS, laquelle a payé Christopher Steele, lequel a ensuite payé des Russes pour qu'ils rédigent un rapport que nous qualifions de dossier rempli de fake news, d'inepties publiées par le National Enquirer. Il a été rapporté que ce dossier avait été concocté par le FBI et présenté à la FISA comme un document de renseignements légitime - qui a justifié l'émission d'un mandat visant à espionner des Américains. » [...]Et voilà un court extrait d'une récente interview de Trey Gowdy, où il admet que l'intégrité du FBI est désormais remise en doute (sans blague ?!) du fait de ses dissimulations, de ses mensonges et de sa subversion de l'État de droit américain.
« La façon la plus simple de clarifier tout cela est de nous dire ce que contenait cette requête, et qui l'a présentée », a dit Jordan. [...]
Jordan a ajouté en conclusion : « Voilà ce que je pense. Je pense que Peter Strozk... M. le Super Agent du FBI... je pense que c'est lui qui a présenté la requête à la FISA, et si c'est le cas, si le FBI a effectivement travaillé de concert avec les membres de la campagne des démocrates, s'il a repris des recherches menées par l'opposition, les a traficotées pour les transformer en dossier de renseignements à présenter à la FISA pour qu'elle leur donne l'autorisation d'espionner les membres de la campagne des républicains, si c'est ce qui s'est passé, alors on ne peut pas faire pire. »
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