Le "dioxyde de titane" est utilisé pour blanchir des aliments, des confiseries ou des médicaments. Ce produit, appelé aussi E171, présenterait un risque cancérigène. A l'origine, il s'agit d'un minerai présent dans la nature : on l'utilise dans les montres, les ordinateurs, les avions pour sa résistance à l'érosion.
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Pour transformer ce minerai en poudre, on verse de l'acide, puis il est broyé en particules très fines, invisibles à l'œil nu : des nanoparticules...

Une étude publiée en janvier 2017 par l'Institut national de la recherche agronomique avait mis en évidence la nocivité de l'E171.
"Menée sur des rats, elle démontrait que l'absorption de cette substance représente un danger pour les êtres vivants. Une fois ingéré, le dioxyde de titane passe au travers de la paroi de l'intestin pour finir par se retrouver dans l'organisme, entraînant des troubles du système immunitaire. Une exposition régulière à ce produit induit l'apparition de lésions précancéreuses pour le rongeur."
Cet additif se présente sous la forme d'une poudre composée de nanoparticules, employée pour blanchir et nacrer des dentifrices, des crèmes cosmétiques, des dentifrices ou encore, des confiseries et de nombreux aliments préparés. Cet additif est partout, même là où on ne le soupçonnerait pas... et même dans des médicaments qui sont normalement faits pour soigner.

Comment les laboratoires peuvent-ils utiliser des produits toxiques pour fabriquer des médicaments ? Où est la cohérence ? A moins que les laboratoires soucieux de leurs chiffres d'affaires ne veuillent générer de nouvelles maladies afin d'engranger toujours plus de profits ! Une stratégie machiavélique dans un monde où l'argent est roi, dans un monde où on fait fi de la santé des gens...

Que deviennent l'éthique, la morale quand des labos créent des médicaments remplis d'additifs délétères ?

Et que penser des industriels de l'agro-alimentaire qui intègrent des produits nocifs dans des confiseries pour enfants ?

Sont ainsi impactés des organismes particulièrement fragiles : des enfants, des malades.

Les labos devraient recevoir injonction de fabriquer des médicaments sans polluants...
Mais les industriels se soucient fort peu de la santé des consommateurs, et ce, dans de nombreux domaines.

Certains médicaments sont ainsi vendus fort cher, alors même qu'ils contiennent des substances nocives : colorants et additifs chimiques. Seuls les colorants naturels devraient être autorisés.