Mais j'aimerais soulever quelques points de vue qui n'ont guère été abordés ces dernières semaines, et qui indiquent une interprétation des chiffres assez différente de celle sur laquelle le gouvernement agit. Je suis professeur en pathologie récemment retraité et pathologiste consultant du NHS [Système de santé en Grande-Bretagne - NdT], et j'ai passé la plus grande partie de ma vie adulte dans le domaine des soins de santé et des sciences — des domaines qui, trop souvent, sont caractérisés par le doute plutôt que par la certitude. Concernant les données actuelles, elles fournissent la place nécessaires à différentes interprétations. Si certaines de ces autres interprétations sont correctes, ou du moins plus proches de la vérité, alors les conclusions sur les actions requises changeront en conséquence.
La façon la plus simple de juger si nous sommes atteints d'une maladie exceptionnellement mortelle est d'examiner les taux de mortalité. Y a-t-il plus de personnes qui meurent que ce à quoi on s'attendrait de toute façon pour une semaine ou un mois donné ?
Statistiquement, nous nous attendons à ce qu'environ 51 000 personnes meurent en Grande-Bretagne ce mois-ci. Au moment où nous écrivons ces lignes, 422 décès sont liés au Covid-19 — soit 0,8 pour cent de ce total prévu.
Sur une base mondiale, nous nous attendons à ce que 14 millions de personnes meurent au cours des trois premiers mois de l'année. Les 18 944 décès dus aux coronavirus dans le monde représentent 0,14 pour cent de ce total.
Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont actuellement inférieurs à ceux d'autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe). Ce ne sont pas des chiffres qui, en soi, devraient provoquer des réactions mondiales drastiques.
Les premiers chiffres communiqués par la Chine et l'Italie suggéraient un taux de mortalité de 5 à 15 pour cent, semblable à celui de la grippe espagnole. Étant donné que les cas augmentent de manière exponentielle, cet aspect laisse entrevoir des taux de mortalité auxquels aucun système de santé au monde ne pourrait faire face. La nécessité d'éviter ce scénario justifie la mise en place de mesures : la grippe espagnole aurait infecté environ un quart de la population mondiale entre 1918 et 1920, soit environ 500 millions de personnes et 50 millions de décès. Nous avons élaboré des plans d'urgence en cas de pandémie, prêts à être mis en œuvre au cas où cela se reproduirait.
Au moment où nous écrivons ces lignes, les 422 décès et les 8 077 cas connus au Royaume-Uni donnent un taux de mortalité apparent de 5 pour cent. Ce taux est souvent cité comme une situation préoccupante, alors que le taux de mortalité de la grippe saisonnière est estimé à environ 0,1 pour cent. Mais nous devons examiner très attentivement les données. Ces chiffres sont-ils vraiment comparables ?
La plupart des tests effectués au Royaume-Uni l'ont été dans des hôpitaux, où l'on trouve une forte concentration de patients vulnérables aux conséquences de toute type d'infection.
Comme le savent tous ceux qui ont travaillé avec des malades, tout programme de dépistage basé uniquement sur les hôpitaux surestime la virulence d'une infection. De plus, nous ne traitons que les cas de Covid-19 qui ont rendu les gens suffisamment malades ou inquiets pour qu'ils soient testés. Beaucoup d'autres ne sauront même pas qu'ils sont porteurs du virus, soit de façon asymptomatique, soit avec des symptômes légers.
Tout programme de dépistage basé uniquement en milieu hospitalier surestimera la virulence d'une infection.
C'est pourquoi, et alors que la Grande-Bretagne comptait 590 cas diagnostiqués, Sir Patrick Vallance, le principal conseiller scientifique du gouvernement, a suggéré que le chiffre réel se situait probablement entre 5 000 et 10 000 cas, soit dix à vingt fois plus. S'il a raison, le taux de mortalité global dû à ce virus est probablement dix à vingt fois inférieur, soit 0,25 à 0,5 pour cent. Ce qui place le taux de mortalité dû au Covid-19 dans la fourchette associée aux infections comme la grippe.
Mais il y a un autre problème, potentiellement encore plus grave : la façon dont les décès sont enregistrés. Si une personne meurt d'une infection respiratoire au Royaume-Uni, la cause spécifique de l'infection n'est généralement pas enregistrée, à moins que la maladie ne soit une « maladie à déclaration obligatoire » rare. Ainsi, la grande majorité des décès dus à des maladies respiratoires au Royaume-Uni sont enregistrés comme bronchopneumonie, pneumonie, vieillesse ou une désignation similaire. Nous ne faisons pas vraiment de tests pour la grippe ou pour d'autres infections saisonnières. Si le patient a, par exemple, un cancer, une maladie des neurones moteurs [comme la maladie de Charcot - NdT] ou une autre maladie grave, c'est ce paramètre qui sera pris en compte pour enregistrer la cause du décès, même si l'ultime maladie était une infection respiratoire. Cela signifie que les certifications britanniques sous-enregistrent généralement les décès dus aux infections respiratoires.
Examinons maintenant ce qui s'est passé depuis l'émergence du Covid-19. La liste des maladies à déclaration obligatoire a été mise à jour. Cette liste — qui contient également la variole (disparue depuis de nombreuses années) et des maladies telles que l'anthrax, la brucellose, la peste et la rage (que la plupart des médecins britanniques ne verront jamais durant toute leur carrière) — a été modifiée pour inclure le Covid-19. Mais pas la grippe. Cela signifie que tout test positif pour le Covid-19 doit être notifié, contrairement à ce qui se passe pour la grippe ou la plupart des autres infections.
Dans le climat actuel, toute personne testée positive au Covid-19 sera certainement identifiée par le personnel clinique qui s'occupe d'elle : si l'un de ces patients meurt, le personnel devra inscrire la désignation Covid-19 sur le certificat de décès — contrairement à la pratique habituelle pour la plupart des infections de ce type.
Il y a une grande différence entre le Covid-19 responsable d'un décès et la présence du Covid-19 détecté chez une personne décédé en raison d'une ou de plusieurs autres maladies. Rendre le Covid-19 notifiable pourrait donner l'impression qu'il cause un nombre croissant de décès, peu importe si c'est vrai ou pas. C'est simplement en raison de la façon dont les décès sont enregistrés que ce virus peut paraître bien plus meurtrier que la grippe.
Si des mesures drastiques sont prises pour réduire l'incidence du Covid-19, il s'ensuit que le nombre de décès diminuera également. Nous risquons d'être convaincus d'avoir ainsi évité avec succès un problème dont la gravité restera inférieure à que nous avions redouté de prime abord.
Cette façon inhabituelle de signaler les décès dus au Covid-19 explique le constat évident selon lequel la plupart de ses victimes présentent des affections sous-jacentes — des personnes qui seraient de toute façon sensibles à d'autres virus saisonniers, lesquels ne sont pratiquement jamais enregistrés comme une cause spécifique de décès.
Considérons également les graphiques relatifs au Covid-19, qui montrent une augmentation exponentielle des cas — et des décès. Ils peuvent paraître alarmants. Mais si nous suivions de la même manière la grippe ou d'autres virus saisonniers, nous constaterions également une augmentation exponentielle. Nous verrions également certains pays en retard sur d'autres, et nous verrions aussi des taux de mortalité frappants. Les Centers for Disease Control des États-Unis, par exemple, publient chaque semaine des estimations des cas de grippe. Les derniers chiffres montrent que depuis septembre, la grippe a infecté 38 millions d'Américains, provoqué l'hospitalisation de 390 000 personnes, et 23 000 en sont mortes. Ces chiffres ne suscitent pas l'inquiétude du public, parce que la grippe nous est familière.
Les données sur le Covid-19 diffèrent énormément d'un pays à l'autre. Regardez les chiffres pour l'Italie et l'Allemagne. Au moment où nous écrivons ces lignes, l'Italie compte 69 176 cas enregistrés et 6 820 décès, soit un taux de 9,9 pour cent. L'Allemagne compte 32 986 cas et 157 décès, soit un taux de 0,5 pour cent. Pensons-nous que la souche du virus est à ce point différente dans ces pays quasi limitrophes qu'elle puisse représenter des maladies différentes ? Ou que les populations ont une vulnérabilité au virus à ce point distincte que le taux de mortalité peut varier de plus de vingt fois ? Si ce n'est pas le cas, nous devons soupçonner une erreur systématique, à savoir que les données du Covid-19 observables dans les différents pays ne sont pas directement comparables.
Observons ailleurs dans le monde d'autres pourcentages de décès [calculé sur le nombre d'infectés - NdT] : Espagne 7,1 pour cent, États-Unis 1,3 pour cent, Suisse 1,3 pour cent, France 4,3 pour cent, Corée du Sud 1,3 pour cent, Iran 7,8 pour cent. Il est fort probable que nous soyons en train de comparer des pommes et des oranges. Enregistrer des cas où le test de dépistage du virus s'avère positif constitue une donnée très différente de celle qui enregistre le virus en tant que cause principale de décès.
Les premières données en provenance d'Islande, un pays doté d'une organisation très solide pour effectuer des tests à grande échelle au sein de la population, indiquent que les infections presque totalement asymptomatiques représentent jusqu'à 50 pour cent du total. La plupart des autres 50 pour cent sont relativement mineures. Avec 648 cas et deux décès attribués, les chiffres de l'Islande révèlent en fait un taux de mortalité de 0,3 pour cent. À mesure que les tests sur les populations se généraliseront ailleurs dans le monde, nous trouverons une proportion de plus en plus importante de cas où l'infection s'est déjà produite et n'a causé que des effets bénins. En fait, avec le temps, cela deviendra généralement plus vrai aussi, car la plupart des infections ont tendance à diminuer en virulence à mesure qu'une épidémie progresse.
La mort est un indicateur relativement précis. Si une nouvelle infection provoque la mort de nombreuses personnes supplémentaires (par opposition à une infection présente chez des personnes qui seraient mortes de toute façon), elle entraînera une augmentation du taux de mortalité global. Mais nous n'avons pas encore vu de preuves statistiques d'un excès de décès, dans quelque partie du monde que ce soit.
Le Covid-19 peut clairement causer une grave atteinte aux voies respiratoires chez certains patients, en particulier ceux qui ont des problèmes pulmonaires. Les personnes âgées sont probablement plus à risque, comme c'est le cas pour les infections de toutes sortes. L'âge moyen des personnes qui meurent en Italie est de 78,5 ans, avec près de neuf décès sur dix parmi les plus de 70 ans. L'espérance de vie en Italie — c'est-à-dire le nombre d'années que l'on peut espérer vivre à la naissance, toutes choses égales par ailleurs — est de 82,5 ans. Mais toutes choses ne sont pas égales lorsqu'un nouveau virus saisonnier circule.
Il est tout à fait raisonnable, à ce stade, de maintenir un certain degré de distanciation sociale pendant un certain temps, surtout pour les personnes âgées et celles qui sont immunodéprimées. Mais lorsque des mesures drastiques sont introduites, elles doivent l'être sur la base de preuves irréfutables. Dans le cas du Covid-19, ce n'est pas le cas. Le confinement du Royaume-Uni a été mis en place sur la base de modélisations d'une potentielle menace. En savoir plus sur ces modélisations est essentiel. Corrigent-elles l'âge, les conditions préexistantes, la fluctuation de la virulence, les effets de l'attestation de décès [notifiant le Covid-19- NdT] et d'autres facteurs ? Si l'on modifie l'une de ces hypothèses, les résultats — et le nombre de décès estimés — peuvent changer radicalement.
Une grande partie de la réaction face au Covid-19 semble s'expliquer par le fait que ce virus est surveillé d'une manière totalement inédite. Les scènes des hôpitaux italiens sont choquantes, et font de la télévision un lieu sinistre. Mais la télévision n'est pas une science.
Il est clair que les différents confinements ralentiront la propagation du Covid-19, ce qui réduira le nombre de cas. Lorsque nous assouplirons les mesures, il y aura à nouveau plus de cas. Mais cela ne devrait pas constituer un motif pour le maintien du confinement : la propagation des cas n'est une chose à craindre que si nous avons affaire à un virus exceptionnellement mortel. C'est la raison pour laquelle les méthodes utilisées pour enregistrer les données seront extrêmement importantes. À moins de renforcer les critères d'enregistrement des décès dus au seul virus (par opposition à la présence du virus chez les personnes décédées d'autres causes), les chiffres officiels pourraient indiquer un nombre de décès bien plus élevé en apparence que le nombre réel de décès causés par le virus en tant que tel. Qu'en sera-t-il alors ? Comment mesurer les conséquences sanitaires de populations entières privées de vie sociale et d'activité professionnelle, des populations qui n'ont plus de loisirs ni d'objectifs personnels, tout ça pour se protéger d'une menace anticipée ? Alors, quel est le moins dommageable ?
Le débat moral n'est pas celui de la vie contre l'argent. Ce débat oppose des vies contre des vies. Il faudra des mois, voire des années, avant que nous puissions évaluer les implications plus larges de nos actions. Les dommages causés à l'éducation des enfants, la multiplication des suicides, l'augmentation des problèmes de santé mentale, le détournement de ressources médicales jusque là consacrées à d'autres problèmes de santé auxquels nous faisions face efficacement. Ceux qui aujourd'hui ont besoin d'une aide médicale, mais qui ne la solliciteront pas ou à qui on ne la proposera peut-être même pas. Et qu'en est-il des effets sur la production alimentaire et le commerce mondial, dont les conséquences sont incalculables pour les personnes de tous âges, peut-être surtout dans les pays dont l'économie est en développement ?
Partout, les gouvernements disent qu'ils suivent les recommandations scientifiques. Au Royaume-Uni, le gouvernement déclare ne pas être responsables des mesures politiques adoptées, puisqu'ils essaient d'agir de manière responsable en se basant sur les avis scientifiques qui leur sont fournis. Mais les gouvernements doivent se rappeler qu'une science hâtive est presque toujours une mauvaise science.
Nous avons décidé de politiques d'une ampleur extraordinaire sans preuves concrètes de dommages excessifs déjà existants, et sans examen approprié de la science utilisée pour les justifier.
Dans les jours et les semaines à venir, nous devons continuer à examiner de manière critique et impartiale les preuves relatives au Covid-19 au fur et à mesure qu'elles nous parviennent. Par-dessus tout, nous devons garder l'esprit ouvert — et chercher ce qui est, et non ce que nous craignons qu'il puisse en résulter.
L'article original a été publié le 30 mars 2020
Commentaires des Lecteurs
Un crash boursier n'atteindrait que la populace, pas eux.
Ça vous arrive de vous dire que nous assistons au plus grand spectacle mis en scène de façon conjointe par presque l'ensemble de la planète ? Il est toujours question de contrôle, et ça fait longtemps qu'ils attendent l'événement pour le mettre en place, maintenant qu'ils ont tous les outils pour ce faire et que l'humanité est "mûre".
Neuro-esclaves - Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse , Marco Della Luna & Paolo Cioni
La ponérologie politique , Andrew Lobaczewski
Petit traité de manipulation à l'usage des gens honnêtes , Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois
Un si fragile vernis d'humanité - Banalité du mal, banalité du bien, Michel Terestchenko
La stratégie du choc - La montée d'un capitalisme du désastre , Naomie Klein
La décomposition des nations européennes - De l'union euro-atlantique à l'État mondial , Pierre Hillard
La marche irrésistible du nouvel ordre mondial , Pierre Hillard
La langue des médias - Destruction du langage et fabrication du consentement , Ingrid Riocreux
L'enseignement de l'ignorance , Jean-Claude Michéa
Soumission à l'autorité , Stanley Milgram
La mort est mon métier , Robert Merle
Pardon mais pourquoi provoquer le chaos, lorsqu'on maitrise tous les leviers du pouvoir et de la domination ? Votre affirmation est dénuée de toute logique.
Vous dites qu'un krach boursier ne les atteindrais pas, c'est sans compter les niveaux subalternes en dessous d'eux et les intérêts, nombreux, du crime organisé qui verrait leur profits fondrent à vue d'oeil à cause d'une poignée de décideurs milliardaires et qui adopteraient rapidement des contres mesures coercitives pour leurs faire regretter la décision du black out.
Je connais parfaitement les réseaux à l'oeuvre derriére les cabinets ministériels ou l'OTAN, notamment celui nommé GLADIO. Ces réseaux sont abondamment approvisionnés en main d'oeuvre d'horizons divers et il n'est pas dans leur intérêt de tuer le système, sauf à considérer que GLADIO se serait rebeller, et aurait pour prerogative de tuer le systême et leurs maitres psychopathes, ce qui est toujours possible, à la manière des révoltés du Bounty.
Ce sont des cas très isolés, hypermédiatisés pour le "show" et pour alimenter la propagande.
De nombreux témoignages (y compris de première main) de personnes qui se sont rendues dans leurs hôpitaux locaux (et d'autres plus éloignés) abondent dans le même sens : les hôpitaux sont pratiquement vides. Il y a une raison à cela.
On dit aux gens de s'isoler chez eux et de ne sortir que pour faire leurs courses afin d'éviter la propagation du virus. Cela inclut les visites à l'hôpital. D'où les salles vides. Seulement… Dans le cadre du processus de "confinement", les hôpitaux deviennent des "centres" de traitement des personnes soupçonnées d'être atteintes de coronavirus (nombre d'entre elles sont très probablement atteintes d'autres maladies semblables à la grippe saisonnière, mais c'est une autre histoire) afin, une fois encore, de ralentir la propagation du virus.
Le résultat ? Un petit nombre d'hôpitaux massivement surpeuplés font l'objet d'une forte médiatisation, tandis que d'autres, situés à proximité, sont vides. Et tout cela à dessein. Non pas à cause de quelque conspiration, mais pour alimenter la rhétorique plausible du "ralentissement de la propagation du virus".
Il n'en reste pas moins que le profil de ce virus (taux d'infection et de mortalité, et populations à risque) ne justifie PAS le confinement de l'ensemble de la société.
Je ne serais pas surpris de cela, mais en l'absence de preuves formelles, ton affirmation est dénuée d'intérêt et tu peux le comprendre. D'un autre côté si c'était vrai, je serais trés surpris que cela ne se sâche pas plus largement, comment passé sous silence une telle information si elle était avérée ?
Quid de l'italie, de la chine, de la Russie qui vient en aide militairement à l'Italie actuellement et qui parle elle-mêmede guerre bacteriologique ?
Qui de l'inde, des philippines dont on sait que son président Duterte est plutôt anti américain, plutôt pro russe....est ce que tous ces éléments participent d'une conspiration mondiale sans que personne ne puisse officiellement contestée la véracité par des preuves flagrandes, du genre de celle que tu évoques ( hopitaux vides ) ???
Je réitére ma question, pourquoi cela au risque de se faire prendre et de provoquer le chaos, lorsque la stabilité est de mise quand on tire tous les leviers du pouvoir et de la domination. C'est sur ce point qu'il faut débattre à défaut de prouver une quelconque falsification sans pouvoir parler du mobile, car trouver un mobile permettrait de regarder en direction des commanditaires potentiels si il s'agit d'une attaque et non d'une fatalité.
@Hesichya le 30 mars post le contraire de ce qui est dit sur le fil du hashtag filmyourhospital.
De plus ces images proviennent des USA dans des régions qui seront probablement impactées plus tard.
Hesichya montre au contraire l'endroit ou cela a commencé, l'épicentre, on y voit une file interminable de voitures de personnes venant demander des soins.
Ce fil n'est en aucune manière une preuve.
Il serait pourtant facile de filmer une fois pour toutes ce qui se passe dans les hopitaux parisiens, ce serait facile et ce serait une preuve. Il est probable que cela ai déjà été fait, mais il n'y a rien a commenter car la réalité est celle de ce que dise les médias.
Il s'agit d'une Pandémie.
Définition de pandémie : Une pandémie est une épidémie présente sur une large zone géographique internationale
Je suis d'accord avec toi qu'il est important de connaître la vérité, on a des éléments qui peuvent nous orienter. Parler de pandémie ne nous aide pas à avancer, car les données ne vont pas dans ce sens. Sur ce site, les chiffres sont donnés jour par jour, et c'est un site officiel:
[Lien]
On sait que ce virus donne des symptomes de gravité variable. Les plus graves, ce sont souvent des sujets âgés avec comorbidités et lourd traitement pour le coeur par exemple, ou bien des personnes relativement jeunes avec un cancer donc faible immunité. Ceux-là se retrouvent en service de réanimation. Les autres sont surveillés et traités en hospitalisation. Ceux qui ont une atteinte faible à modéré sont sommés de rester en quarantaine chez eux, suivre scrupuleusement le traitement prescrit et les règles d'hygiène, et avec suivi par leur médecin traitant. Donc, tous les patients infectés ne se retrouvent pas en réanimation. Du coup, si on fait le calcul d'après ces chiffres officiels, on a: 3523/ (22672 + 9443 + 5496) = 0.09 soit 9% de mortalité. On considère épidémie à partir de 12% .
Pour ce qui est des vidéos: il faut vérifier la date et le lieu. De vieilles videos peuvent être présentées comme liées au virus. Imagine que c'est une vidéo faite après un accident par carambolage, avec plusieurs personnes hospitalisées, ça peut donner foule devant l'hôpital. Ou une visite d'une star ou du prince William qui vient pour la naissance de son petit dernier
Et aussi, en ces temps de compétitions en sensationalisme, n'oublie pas que des jeunes mettent en lignes des vidéos pour faire sensation, pour attirer des followers, des likes etc.
Et encore: la phobie du virus peut attirer foule sur une période données avec des consultations flash! Donc la vidéo que tu indiques peut effectivement être réelle, dûe simplement à toutes ces personnes qui pensent avoir le virus (la phobie du virus, surtout en ces temps d'hystérie).
Donc, je ne me contenterais pas de ces vidéos, mais je me renseignerais irl (dans la vie réelle). J'ai donc appelé une amie infirmière pour lui demander. Ben suis tombé des nues quand elle m'a dit que beaucoup de lits d'hospitalisations sont vides, que le service de réanimation n'est pas aussi plein que ce à quoi tout le personnel s'attendait. Elle m'a aussi dit qu'heureusement que les cliniques sont fermées car sinon ils (dans son hopital) n'auraient presque rien à faire. Car les personnes hospitalisées ne sont pas que des coronavirus, mais pas mal d'urgences de toutes sortes comme avant et bien plus du fait de la fermeture d'un grand nombre de cliniques. Par exemple, hier ils ont reçu un jeune qui a dû être opéré dans la nuit d'une péritonite compliquée, ils est mis en réa pour un traitement particulier avec coma induit.
Donc, mon conseil à tous c'est de vous renseigner auprès d'amis qui bossent dans un hôpital.
Je l'ai fait, et ça fait du bien car je n'angoisse plus comme avant. YHWH, si tu as cette possibiltié, ton retour m'intéresserait bien . Celui des autres aussi. On aurait ainsi une vue de nos différentes régions.
Alors je ne dis pas que ce virus est une invention. Loin de là. Ce que je dis, c'est que la panique et la peur ne nous aident pas à y voir plus clair. Que ce virus n'est pas aussi mortel qu'on l'aurait imaginé, qu'il y a des variations d'un pays à l'autre; il a été plus mortel en Italie (mais là aussi c'était des personnes fragilisées, donc pas de panique les gars!). Je me demande pourquoi et je n'ai pas la réponse.
pour la chine j'ai fait une traduction rapide d'une analyse complète sur les événement de wuhan :
[Lien]
Sur une base mondiale, nous nous attendons à ce que 14 millions de personnes meurent au cours des trois premiers mois de l'année. Les 18 944 décès dus aux coronavirus dans le monde représentent 0,14 pour cent de ce total."
Personne se demande d'où viennent ces chiffres de 51 000 et 14 millions et sur quelle échelle de temps cette estimation est basée ? Quand on commence un argumentaire comme ça en donnant des chiffres sans justifications je ne suis pas très confiant pour la suite de l'article.
Si quelqu'un sait d'où ça vient je suis preneur.
[Lien]
[Lien]
Ces liens montrent bien certains biais liés à des façons de calculer qui peuvent être soit trop formalistes, soit trop déformées par des a priori. L'histoire montre que le pire n'arrive presque jamais, car les calculs trop formels loupent beaucoup de paramètres difficiles à intégrer, voire indétectables alors qu'ils s'avèrent presque toujours majeurs. On ne sait pas pourquoi les épidémies s'arrêtent pratiquement toujours bien avant d'avoir contaminé le maximum de gens qu'elles étaient censées contaminer selon les calculs formels de type fréquentiste, par exemple. On le constate seulement. Mais peut-être qu'un jour, le calcul fréquentiste s'avèrera juste ? Nous sommes toujours dans l'inconnu, et nous réagissons en fonction du pire possible, ce qui est logique, mais pas forcément très pertinent, et pourrait faire plus de dégâts que ce qui est attendu de la maladie elle-même.
[Lien]
trump rétorque amer, "ils auraient pû nous avertir....".
Le point central est une organisation criminelle ultra puissante qui veut disséminer un virus qui ne tue " Que les faibles ".
Sortie en 2019 avec john statam dispo sur xevdaz.com
la scéne est globalement déséspérante on y voit des personnes implorant des symboles chrétiens brisés. Tandis qu'au milieu trone un vitrail de type ritualique d'origine inconnu.
jeu sortie en 2019.
Le titre professoral de l'auteur de l'article n'impréssionne pas, de même que le contenu.
A t-on jamais vu en France des services hospitaliers saturés au point de transférer des malades vers d'autres pays, par avion, par hélicoptére militaire, par TGV spécialement affrétés pour cela ?
A t-on déjà vu le président de la chine, XI PIN, pourtant issu d'une culture zen et président de la première puissance économique mondiale déclarer que "Ce virus est un démon, et que la chine doit tout mettre en oeuvre pour le combattre" ? Et dans la foulée contstruire 2 hopitaux d'une capacité d'acceuil de 2000 personnes à wuhan, et se trouver malgré tout débordée au point de laisser les gens mourrir chez eux, sans soins, et ce à la face de toutes les chaines télévisées du monde ?
A t-on déjà vu les gouvernements, dont la France, se ridiculiser et se trouver rxposés à leurs propres irresponsabilités et incompétences devant le fiasco sanitaire, et aux yeux de leurs nations ?
A t-on déjà vu les puissants, les riches, les ultra-riches, renoncer ou mettre en danger leurs fortunes et provoquer un krach boursier inagalé dans son potentiel létal, et pour quelle raison ?
Seule la dépopulation forcée justifierai de telles actions de la part des décideurs du monde, dépopulation justifiée pour une décroissance forcée en raison du risque de dommages irrévérsibles de l'industrie sur notre environnement.
Il y aurait pourtant des voies plus raisonnables pour ce faire, et moins enclines à provoquer la rébéllion des populations.
Reste l'entrée inoportune de ce virus par un apport spatial cométaire, quoiqu'en pense le magazine science et avenir, trés critique envers le spécialiste Mr Shandra.
Reste également l'hypothése de l'accident d'un laboratoire P4, ou encore la dissémination par un groupe bio terroriste anti système.
De mon point de vue, j'opte pour l'entrée atmosphérique du virus, soit par le biais cométaire, soit par le biais des vaisseaux de l'espace du gouvernement secret en forme de triangles.
A t-on déjà vu tout cela à l'échelle planétaire.
Que cela nous incite à l'introspection sur quelle est la métaphysique à laquelle nous nous raccrochons, est elle suffisament réelle pour nous permettre de bâtire La Civilisation face aux défis du cosmos.