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Chaque jour, 2 000 hectares de terres irriguées deviennent impropres à la culture à cause de l'accumulation de sel dans le sol. Déjà 20% des zones irriguées sont perdues.
et bien désolé j'étais entrain de modifier mon message quand le délai imparti a expiré. Mon message complet et revu est celui du bas.
Salut, merci pour ton commentaire. Dieudonné – le passant juif [Lien] ~2 minutes «je me suis dit je vais le pousser dans ses retranchements» «je...
Oui mais ! Les méchants sont les terroristes du Hamas e l'Iran qui "attaque illégalement Israël" ! Et la pauvre victime c'est Israël . Et ceux qui...
L'état terroriste d'Israël spécialiste des attentats sous faux drapeau: [Lien]
La similarité avec le conflit en Ukraine est assez claire: Des bombardements sur les civils du Dombass, des résolutions non appliquées jusqu'à...
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Commentaires des Lecteurs
je ne sais pas sur quel fil poster ma question alors pourquoi pas ici du moment qu'on y parle du virus couronné :
Quelqu'un peut il m'expliquer (mederic loxo ? ) les statistiques de l'Allemagne ?
[Lien]
un taux de contamination supérieur à la France un taux de mortalité incomparable
Allemagne : 100 000 contaminés et 1600 décès
France : : 80 000 contaminés et 10 000 morts
En considérant que les moyens médicaux sont comparables il y a un truc !
Selon moi le nombre de contaminés en France est 5 fois supérieur à celui affiché parce que pas de dépistage contrairement à l'Allemagne
Ensuite c'est vrai que les Allemands mangent beaucoup de choux verts et il y a peut être un anticorps naturel...(je plaisante à moitié)
les gens que je connais qui ont été coronavirés n'entrent en effet pas dans les stats puisqu'ils sont restés chez eux à guérir tout seul...
les "asymptomatiques" représentent la majeur partie de l'iceberg ?
pourriez vous m'expliquer ce choix de désinformation ? quel intérêt de gonfler les chiffres sur les décès covid ?
Pour le décompte en Allemagne, ça semble beaucoup moins nébuleux qu'en France puisqu'ils dépistent et qu'il est ainsi plus difficile à laisser des chiffres approximatifs s'afficher
Plus de tests veut dire plus de prise en charge précoce, ce qui évite que trop de cas dégénèrent, ce qui arrive parfois en deuxième semaine de la maladie, et qui explique vraisemblablement pourquoi la létalité est élevée en Italie, en Espagne et en France, puisqu'ici on laisse les gens chez eux par manque de capacités de lits et de tests.
Autre hypothèse : le virus serait davantage compatible avec des latitudes tempérées chaudes et peut-être océaniques. On dit que les épidémies sont des phénomènes écosystémiques, ce qu'on ne comprend pas encore bien. On voit que Wuhan est à peu près aux mêmes latitudes que le nord de l'Egypte, mais avec un climat plus proche de la méditérannée du nord. or on observe que les régions les plus touchées en Europe sont plutôt dans ce type de climat, si on excepte le nord et le nord-est de la France, et peut-être la Grande-Bretagne, mais son traitement de l'épidémie est différent. Il faut aussi tempérer ça en prenant en compte que la maladie explose dans certaines métropoles, mais pas dans toutes... Le cas de New York se comprend probablement comme le nord-est de la france : couverture de santé insuffisante avec des zones urbaines denses qui favorisent la propagation. On sait qu'un évènement religieux dans le nord-est serait à l'origine de la flambée de cas.
On dit aussi que l'Allemagne ne teste pas tous les morts, mais ailleurs on attribue aussi des morts au covid à des gens atteints de leucémie, de cancers, de diabète avancé, etc.
Pour résumer, les facteurs qui aident à comprendre pourquoi il y a des flambées ici et pas là seraient, par ordre probable d'importance : 1) l'efficacité du système de santé (tests, lits, matériel, formation), 2) la densité urbaine (Wuhan, New York, Londres, Paris, la Lombardie sont tous des épicentres à forte densité urbaine), 3) le climat (il faudrait creuser cet aspect là), 4) les cas de rassemblements massifs ayant pu causer une super-contamination (le nord-est de la France, et probablement le cas de ma région autour de Lyon et Saint-Etienne, après le fameux match de foot...) 5) tout ce qu'on ne sait pas encore... par exemple l'importance de la génétique face à la maladie... les latins sont-ils plus vulnérables que les germaniques ? On sait que certaines maladies touchent surtout certaines populations, par exemple le lupus se répand nettement plus chez les populations noires.
Note sur les asymptomatiques et la proportion de contaminé : des études indiquent des taux d'asymptomatiques allant de 30% jusqu'à 78%... Ce qui double déjà d'office le rapport de contaminés. Le nombre de contaminés réel est estimé entre 10 et jusqu'à 150 ou même 200 fois les cas confirmés... Ce qui fait entre 1 million et 20 millions de cas réels rien qu'en France. Il y a plus d'une semaine, l'Imperial College estimait la médiane à plus de 3% de la population française contaminée avec une marge haute allant jusqu'à 10%, alors qu'un autre institut anglais va beaucoup plus loin, jusqu'à 20 ou 30%, estimant l'Espagne à potentiellement 40% de cas maximums.
Si on ajoute à ça l'idée que la maladie pourrait en fait trainer chez l'humain depuis des années voire des décennies (estimation d'une récente étude chinoise), qui sait si on n'est pas encore bien plus haut ? Donc la fourchette large de contamination pour la France pourrait aller de 0,5% jusqu'à 60% de la population... autant dire qu'en terme d'incertitude, on est large... Il me semble raisonnable de penser qu'aujourd'hui, on doit se trouver plutôt quelque part entre 5% et 30%... Si on prend mon chiffre bas de 5%, ça ferait disons 3,5 millions de personnes pour 10 000 morts (j'estime ce chiffre à peu près fiable parce que certains cas ne sont pas décomptés mais d'autres le sont abusivement). Ce qui donnerait une létalité en temps réel (pouvant donc encore évoluer) de l'ordre de l'ordre de 1/350 = autour de 0,3% à 0,4%. Pour faire là aussi une fourchette large, on pourrait dire que ça va de 2% jusqu'à moins de 0,1%... Or le réseau allemand pour la médecine fondée sur les preuves (cf un article posté ici même) l'estime autour de 0,2%... Donc, même la mortalité observée en Allemagne serait encore surestimée, ce qui est logique : c'est le processus observée lors de tous les débuts d'épidémie.
L'ironie de la chose est que la grippe AH1N1 de 2009 est estimée, a posteriori, avoir un taux de létalité de l'ordre de 0,5%. Cette grippe avait fait beaucoup parler, mais finalement on l'avait complètement laissée de côté sans en faire une panique mondiale. Il pourrait s'avérer qu'elle était deux fois plus dangereuse que ce qu'on a aujourd'hui. Cependant, elle n'a fait "que" 280 000 morts officiellement, parce que la population avant une immunité partielle, ce que nous n'avons pas contre le covid 19, qui pourrait donc faire plus de victimes au final. Aujourd'hui, tous les spécialistes qui l'observent avec recul et raison estiment que sa létalité est bien en dessous de 1%, donc je n'invente rien. Les taux de l'ordre de 10% en Europe du sud sont seulement dus au fait qu'on observe seulement la pointe de l'iceberg et qu'on soigne avec des moyens limités (et là est le vrai drame). Bien sûr, il y a aussi le fait que le covid engendre plus de cas graves que les différentes grippes. reste à savoir réellement dans quelles proportions, car si on regarde, encore une fois, seulement la pointe de l'iceberg, ce taux semble être de 15%, alors qu'il est probablement autour de 2-3% en réalité...
l'hypothèse 1 avec dépistage et réaction plus rapide ajouté à l'observation du sommet de l'iceberg différente selon les pays me convient et effectivement ça peut faire toute la différence.
pour en revenir au choux vert :
[Lien]
Ensuite le facteur génétique yes! mais aussi le facteur système immunitaire d'une population modulé par ses vaccinations nationales imposées ou non d'ailleurs. Apparemment, les vaccinations BCG et rougeoles auraient une influence positive sur la réaction immunitaire et pourrait éviter la phase inflammation aiguë qu apparait au bout de 8-10 jours après les premiers symptômes, cas type Boris Johnson.
pour les vaccinations, il faudrait pouvoir comparer les campagnes obligatoires d'il y a 50 ans et plus parce qu'en fait c'est bien les populations âgées qui sont touchées massivement par la phase inflammatoire aiguë post symptômes grippaux qui mène à la mort.
Par ailleurs, petite histoire :
ce midi je vais acheter du poisson aux étales en face de mon bureau (je ne suis plus confiné mais autorisé à travailler au bureau) et je demande à la poissonnière si elle connait des cas de coronavirus dans son entourage ou par ouï dire et elle me dit que non, le coin est calme et qu'à part 4 décès à l'hopital local, il n'y a pas trop d'agitation. Puis on parle un peu d'autre chose et je lui relate le cas d'une jeune agricultrice de 18 ans et d'un gendarme d'un petit village pas loin qui ont été contaminé probablement le jour des élections etc; et là la dame me raconte que sa petite fille et toute la famille 4 enfants et 2 parents ont été confinés une semaine et avaient tous à priori le covid19 !
j'ai ressenti à ce moment là le côté "secret de famille" motus etc. typiquement français dans ce cas et je me suis dit aussi que l'étau se resserrait autour de moi parce qu'en vérité je ne vois pas comment je ne pourrais pas l'attraper d'ici 6 mois avant d'avoir un vaccin ou une solution.
je suis asthmatique, bronchiteux et un peu fumeur (ex fumeur de gros pétards au quotidien) et j'ai aussi 5 personnes différentes au moins par semaines qui viennent pour les soins de ma femme clouée au lit par une sclérose en plaque. Malgré les précautions, la cruche à l'eau va finir par casser...
c'est pour cela que je suis au régime vitamines C depuis 1 mois (2à 3 grammes par jour)
[Lien]
Je te conseille aussi la vitamine D... très utile en fin d'hiver, d'autant qu'on est carencé au maximum autour de mars-avril. Privilégier celle d'origine animale (D3). Respecter les doses, car au contraire de la vitamine C, la D peut devenir toxique à haute dose. Elle a un effet antiviral ainsi qu'un effet équilibrant sur le système immunitaire. D'autant plus vrai qu'en période de confinement, on ne profite pas assez du soleil, qui synthétise la vitamine D, ce qui aide par ailleurs à fixer le calcium (c'est bien connu, y compris l'effet antiviral à dose normale, mais peu l'appliquent car la médecine officielle est toujours en retard d'un train sur les études...).
Dans mon coin je connais quelques cas dont un ami. Il a aussi perdu une tante âgée (80 ans), dans le nord-est, mais je ne l'aurais jamais su, si elle était morte de la grippe ou d'autre chose... Je suis dans un coin plutôt touché, mais heureusement pas dans la grande ville, donc il est clair qu'on pourrait tous l'attraper à un moment. J'ai aussi des troubles chroniques bénins mais demandant un suivi, et là je résiste vraiment à contacter mon médecin... et je parle pas du dentiste, deux dents à refaire. Or le dentiste, c'est plutôt à risques en ce moment.
Reste toujours la possibilité que le machin disparaisse de lui-même : l'immense majorité des maladies respiratoires sont saisonnières à nos latitudes, et disparaissent spontanément autour de fin avril... Faut pas trop rêver, mais ça peut disparaître complètement ou revenir à l'automne (scénario privilégié par les spécialistes qu'il ne faut pas toujours écouter...).
D'après ces données de New York, il y aurait bien une légère fragilité latine face à la maladie. Par contre je me ris de ceux qui disaient que le virus avait été conçu pour tuer des asiatiques... Ils sont bien moins touchés que les autres.
Mais bon, il peut y avoir aussi des explications liées à la culture, l'habitat, c'est compliqué.
Les blacks semblent aussi fragiles, pourtant l'Afrique semble peu touchée, mais je pense que c'est parce que la population est beaucoup plus jeune (et peut-être le climat ? mais il y a pas de mal de cas en Amérique du sud).
la réponse est dans la pyramide des âges :
[Lien]
pas de population âgée donc pas de débordement des services de réanimation comme en occident et puis cette fatalité africaine qui sera une force politique.