Je dois mettre le contexte en place. Comme je l'ai souligné, ce que l'on appelle COVID-19 n'est pas une maladie ayant une seule cause. Ce n'est pas une seule chose.
Au contraire, les personnes atteintes de DIVERSES maladies traditionnelles sont rassemblées, regroupées et comptées par les responsables de la santé publique sous un faux terme générique, « COVID-19 ».
J'ai également souligné que dans ces situations de faux regroupement, certaines personnes peuvent souffrir de nouvelles affections. Par exemple, les effets d'une campagne de vaccination - qui, soit dit en passant, a apparemment été menée dans une région du nord de l'Italie avant « l'émergence du COVID ».
Dans cet article, j'ai des commentaires sur la technologie sans fil 5G - non pas comme une explication globale au « COVID » - mais comme une explication possible de ce que plusieurs médecins observent chez certains patients à New York et en Italie.
Qu'observent-ils ? Un essoufflement extrême, mettant la vie en danger, mais sans les indicateurs habituels d'insuffisance respiratoire ou d'incapacité des poumons à fonctionner. Les poumons sont capables de fonctionner. Les patients souffrent apparemment d'une simple privation d'oxygène. Manque d'oxygène. Comme s'ils étaient soudainement propulsés en haute altitude.
Plusieurs médecins disent que ces patients doivent être alimentés en oxygène par des respirateurs - mais pas à haute pression, car cela pourrait endommager les poumons et même causer la mort. Au lieu de cela, l'augmentation de l'oxygène doit être effectuée en douceur.
Par exemple, un médecin des urgences de Brooklyn a réalisé une vidéo dans laquelle il décrit ce qu'il appelle une nouvelle situation désastreuse. Il s'appelle Cameron Kyle-Sidell. Regardez la vidéo et écoutez ce qu'il dit. Il prévient qu'une mauvaise utilisation des respirateurs pourrait nuire aux patients et les tuer.
En Italie, plusieurs médecins rendent compte d'une situation très similaire, voire identique : « Le Covid-19 ne conduit pas à un syndrome de détresse respiratoire aiguë "typique" », par Luciano Gattinoni1, Silvia Coppola, Massimo Cressoni3, Mattia Busana, Davide Chiumello :
« Cependant, les patients atteints de pneumonie Covid-19... présentent une forme atypique du syndrome. En effet, la principale caractéristique que nous observons (confirmée par des collègues d'autres hôpitaux) est la dissociation entre leur mécanique pulmonaire relativement bien préservée et la gravité de l'hypoxémie [niveau d'oxygène anormalement bas]... l'intubation [avec des ventilateurs respiratoires] devrait être prioritaire pour éviter les pressions négatives intrathoraciques excessives et les lésions pulmonaires auto-infligées. Après avoir envisagé cela, tout ce que nous pouvons faire en ventilant ces patients, c'est « gagner du temps » avec un minimum de dommages supplémentaires : la PEP la plus basse possible [une méthode de ventilation dans laquelle la pression des voies respiratoires est maintenue au-dessus de la pression atmosphérique] et une ventilation douce. Nous devons être patients. »Des patients qui ne souffrent pas d'insuffisance respiratoire, dont les poumons fonctionnent, qui sont en manque d'oxygène. Qu'est-ce qui pourrait expliquer cela ?
https://www.atsjournals.org/doi/pdf/10.1164/rccm.202003-0817LE
Ici, d'après un article de rfglobalnet.com de 2001, nous avons peut-être un indice :
« À la fréquence d'onde millimétrique de 60 GHz, l'absorption est très élevée, 98 % de l'énergie transmise [par les ondes 5G] étant absorbés par l'oxygène atmosphérique. Alors que l'absorption d'oxygène à 60GHz limite fortement la portée, elle élimine également les interférences entre les terminaux de même fréquence. »En d'autres termes, a) 60GHz est une très bonne bande de fréquence pour les transmissions 5G, et b) presque toute l'énergie 5G est absorbée par l'oxygène. Supposons que cela soit également vrai pour l'oxygène dans le corps humain ?
https://www.rfglobalnet.com/doc/fixed-wireless-communications-at-60ghz-unique-0001
Quels seraient les effets des transmissions 5G sur le corps ? Ces ondes pourraient-elles déformer l'oxygène et/ou son absorption par l'hémoglobine, qui transporte cet élément vital vers les cellules du corps ? La déficience pourrait-elle créer une privation pure et simple d'oxygène dans l'organisme - sans affecter structurellement les poumons eux-mêmes - créant ainsi la nouvelle condition décrite par les médecins que j'ai cités plus haut ?
Ajoutez à cela le fait que 60GHz est une bande de fréquence sans licence, ce qui signifie que les sociétés de télécommunications peuvent l'utiliser sans avoir à payer des frais très importants qu'elles paieraient pour des bandes sous licence.
La 5G à 60 GHz est-elle actuellement déployée à New York, en Italie et à Wuhan ?
Je dois également ajouter : ces médecins devraient envisager l'utilisation de chambres à oxygène hyperbares pour leurs patients. Les techniciens, les médecins et les chercheurs impliqués devraient être des experts, et d'après ce que j'ai vu, peu le sont. Une utilisation hasardeuse et fantaisiste de l'oxygène hyperbare ne fera pas l'affaire. Il pourrait en résulter des dommages. L'appareil lui-même est, bien sûr, non invasif.
Les médecins intéressés peuvent consulter le Dr Paul Harch à hbot.com.
Traduction : Ciel voilé
"Il est possible de cloner la bactérie de la rougeole, d'un simple rhume ou de la grippe sur les génes du venin de vipére. L'individu soumis à une telle toxine mutante aura les symptômes de l'une de ces maladies mais sera tué en réalité par le venin. On pourrait même ne pas détécter ce dernier".
"La reproduction des chaines d'ADN s'éffectue par division céllulaire. Si l'on émet à ce moment précis un élément perturbateur comme un champ électromagnétique, on obtient des anomalies génétiques, comme des tumeurs cancéreuses. C'est aussi à cet instant que l'on peut insérer un géne exterieur afin de modifier le patrimoine génétique initial de la chaine d'ADN. C'est aussi ce procédé qui est utilisé par les laboratoires de guerres bactériologiques pour produire de nouvelles bactéries ou de nouveaux virus afin de rendre inefficaces les vaccins ou antidotes éxistants".